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On aime Jean-Pierre Bacri à la sortie de la salle au point de pardonner les baisses de régime de l’ensemble et de retourner le voir inlassablement comme une habitude chère qui fait un bien fou. Encore !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Librement adaptée d'un roman de l'anglais Jonathan Coe, avec une fin très sensiblement différente, cette "Vie très privée de Monsieur Sim" est un road-movie sensible à plusieurs entrées qui raconte comment, en coupant les amarres, on peut paradoxalement retrouver ses racines.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Monsieur Sim aime les autres mais il s'aime mal. Ce voyage au bout de lui-même lui permet de découvrir des sentiments insoupçonnés et nous entraîne entre rires et larmes (et retour) dans une réflexion sur les choix ou leur absence.
Ecrit avec une sensibilité diffuse, joliment délayée à chaque étape d’une étonnante road-story initiatique, ce drame solaire –malgré la neige– relate la trajectoire à la fois simple et extraordinaire d’un réveil.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ballade mélancolique, road-trip halluciné et initiatique, exploration profonde de la solitude, l’amer et sincère ...monsieur Sim est surtout un beau voyage des ténèbres vers la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bacri est naturellement formidable, le scénario est irréfutable, l’image en Scope est osée et la BO de Vincent Delerm, adéquate. Seulement voilà, à mesure que le film avance vers son épilogue, et malgré quelques rares scènes où le navrement de M. Sim devient hilarant, sa neurasthénie finit par être contagieuse.
Quasiment de tous les plans, Jean-Pierre Bacri est terriblement attendrissant en quinquagénaire candide et désabusé qui ne s'aime pas mais a tant besoin qu'on l'aime.
Jean-Pierre Bacri est un acteur génial. Il en apporte une nouvelle illustration, en mode tragi-comique, dans ce road-movie mélancolique signé Michel Leclerc. Avec lui, l'humour se pare toujours de finesse et d'émotion.
Il en faut du temps et des lourdeurs scénaristiques pour que le ringard se mue en paumé attachant, pour que l'ennuyeuse caricature devienne un homme de chair et de détresse. Quelques belles trouvailles, et c'est dans la poche. De justesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Pour cette mission, il traverse des zones périurbaines standardisées, qui prêtent à la satire. Mais entre une loufoquerie souvent forcée et une critique sociale trop timide, Michel Leclerc peine à trouver le ton.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
Une des plus belles réussites du cinéma français de la fin de l'année 2015.
20 Minutes
On aime Jean-Pierre Bacri à la sortie de la salle au point de pardonner les baisses de régime de l’ensemble et de retourner le voir inlassablement comme une habitude chère qui fait un bien fou. Encore !
CNews
En antihéros dépressif, Bacri est impeccable dans cette comédie loufoque.
Elle
Un très grand numéro d'acteur.
La Croix
Michel Leclerc adapte assez fidèlement le roman de Jonathan Coe avec Jean-Pierre Bacri plus drôle et émouvant que jamais.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie noire sur la dépression et, au-delà, sur le sentiment de passer à côté de sa vie, qui va comme un gant à la mine triste de Bacri.
Le Parisien
Librement adaptée d'un roman de l'anglais Jonathan Coe, avec une fin très sensiblement différente, cette "Vie très privée de Monsieur Sim" est un road-movie sensible à plusieurs entrées qui raconte comment, en coupant les amarres, on peut paradoxalement retrouver ses racines.
Les Fiches du Cinéma
Monsieur Sim aime les autres mais il s'aime mal. Ce voyage au bout de lui-même lui permet de découvrir des sentiments insoupçonnés et nous entraîne entre rires et larmes (et retour) dans une réflexion sur les choix ou leur absence.
Metro
Ecrit avec une sensibilité diffuse, joliment délayée à chaque étape d’une étonnante road-story initiatique, ce drame solaire –malgré la neige– relate la trajectoire à la fois simple et extraordinaire d’un réveil.
Première
Ballade mélancolique, road-trip halluciné et initiatique, exploration profonde de la solitude, l’amer et sincère ...monsieur Sim est surtout un beau voyage des ténèbres vers la lumière.
aVoir-aLire.com
Drôle et grave à la fois, cette chronique sociale en forme de comédie tragique se révèle d’une richesse narrative étonnante.
L'Obs
Bacri est naturellement formidable, le scénario est irréfutable, l’image en Scope est osée et la BO de Vincent Delerm, adéquate. Seulement voilà, à mesure que le film avance vers son épilogue, et malgré quelques rares scènes où le navrement de M. Sim devient hilarant, sa neurasthénie finit par être contagieuse.
Le Journal du Dimanche
Quasiment de tous les plans, Jean-Pierre Bacri est terriblement attendrissant en quinquagénaire candide et désabusé qui ne s'aime pas mais a tant besoin qu'on l'aime.
Le Monde
Michel Leclerc signe un road-movie à la fois dépressif et drôle.
Les Inrockuptibles
La réussite d'un pitch aussi rebattu tient beaucoup à la qualité de l'écriture et du jeu.
Télé 7 Jours
Jean-Pierre Bacri est un acteur génial. Il en apporte une nouvelle illustration, en mode tragi-comique, dans ce road-movie mélancolique signé Michel Leclerc. Avec lui, l'humour se pare toujours de finesse et d'émotion.
VSD
Un festival Jean-Pierre Bacri, éclipsé par une magnifique sous-intrigue où il ne figure pas.
L'Express
Il en faut du temps et des lourdeurs scénaristiques pour que le ringard se mue en paumé attachant, pour que l'ennuyeuse caricature devienne un homme de chair et de détresse. Quelques belles trouvailles, et c'est dans la poche. De justesse.
Studio Ciné Live
Le réalisateur du "Nom des gens" déçoit de nouveau.
Télérama
Pour cette mission, il traverse des zones périurbaines standardisées, qui prêtent à la satire. Mais entre une loufoquerie souvent forcée et une critique sociale trop timide, Michel Leclerc peine à trouver le ton.