Avis : Le Nouveau - Page 4

Un bon film...c'est drôle,touchant...les très jeunes acteurs sont époustouflants de justesse dans leur jeu...j'ai passé un très bon moment...les situations sont justes...les dialogues bien écrits...

Une comédie française pleine de fraîcheur, à la fois tordante et sensible, sur les affres de la prime adolescence, cet âge où se faire des copains en classe est affaire de vie ou de mort.
J'avoue, je suis allé voir ce film à contrecoeur, accompagnant ma femme et mes enfants, car j'étais convaincu que j'allais avoir droit à une resucée de Ducobu ou de la guerre des boutons. Comme je n'avais lu aucune critique, ni vu aucune bande-annonce, comme de plus le nom du réalisateur - Rudi Rosenberg - n'enclenchait aucun son de cloches dans ma tête, et bien je pensais que j'allais perdre mon temps.
Du coup, mon bonheur a été d'autant plus grand de découvrir cette petite pépite d'émotion et de drôlerie. Le ton est juste, l'approche est sincère et humble. Le réalisateur fait preuve d'un respect, d'une compréhension subtile des enfants et de leur univers. Il refuse de grossir le trait, il évite également d'exagérer la dramaturgie - les "petites" situations du quotidien scolaire suffisent à créer de la tension et de la narration. Les jeunes comédiens sont tous extraordinaires. Pour tout vous dire, ça m'a rappelé les merveilleux films de François Truffaut sur l'enfance, notamment "L'argent de poche".
Faites-vous plaisir, si vous avez des enfants, allez voir ce film en famille, autrement, si vous n'en pas d'enfants ou qu'ils sont plus grands, allez-y aussi : vous allez adorer retourner dans le pays de votre adolescence!

Je ne comprends pas l’engouement pour ce film, qui pour moi est surtout un petit documentaire raté sur la vie de quelques collégiens. Une mise en scène bâclée, une image style reportage télé, souvent un peu défraichie, sale, et surtout beaucoup trop d’incohérences. Tout cela ne tient pas la route. Le principal problème est le mauvais cadrage de l’âge des enfants. On est parfois dans de l’humour et des considérations d’enfants de CE2, puis on bascule dans des préoccupations de classes de début de collège, avec l’humour un peu potache ,et parfois on est avec des considérations d’ados de 16 ans , avec les soirées, les premières tentations sexuelles. Les personnages ne sont pas crédibles non plus. Le nouveau ne sait où se positionner, sa présence à la dernière soirée est complètement anachronique, il atteint son but mais fait l’imbécile et tout pour quitter le groupe qui l ‘avait enfin accepté ?!. Tout cela pour finir dans la chorale des loosers (caricature méchante du sujet). On ne comprend pas non les « méchants », aucune psychologie des personnages . Le personnage de la suédoise, sentimentalement volage ne tient pas la route non plus. Beaucoup d’incohérences, dans un scénario mal ficelé. Il n’y a pas de morale à tirer de l’histoire, un coup d’épée dans l’eau. On ne comprend pas ce que Boublil est venu faire dans cette galère, il n’est pas drôle du tout et ne trouve pas son rythme face à ces gamins, trop jeunes pour son humour.Les seuls gags sont ceux qui étaient dans la bande annonce, on ne rit presque jamais, on s’ennuie beaucoup. La seule bonne note du film est dans la magnifique composition de Géraldine Martineau , pas une jeune ado du tout , mais une vraie jeune femme actrice, très douée, qui est actuellement à l’affiche au théâtre dans la pièce « Le Poisson Belge » , partenaire de Marc Lavoine , où elle est absolument formidable, elle y fait déjà une composition exceptionnelle et remarquée, comme dans ce film, dans le rôle intéressant ( mais pas assez travaillé) de cette handicapée qui veut pécho le looser .. Certainement une actrice au gros potentiel, à suivre : 4 étoiles pour elle.

LE NOUVEAU
de Rudi Rosenberg avec Max Boublil Rephael Ghrenassia Joshua Raccah
Johanna Lindstedt Guillaume Cloud Roussel Géraldine Martineau
La bande annonce du film donnait une grande impression de déjà vu sur les écrans. Le réalisateur a accordé une interview au magazine Première et a exprimé son désaccord avec la production au niveau de la bande annonce du film.
Le nouveau n’est pas du tout le genre de film auquel on s’attend, c’est a dire une nouvelle comédie qui montre l’adolescence avec un grand gamin qui les aide a rester enfant.
Pour son premier long métrage le réalisateur montre de nouvelles choses. En effet il montre et exprime fièrement le passage de l’enfance à l’adolescence. Il me semble que le thème avait déjà été abordé par lui dans ses courts métrages (Aglaée et 13 ans). Le thème est traité de façon très différente qu’un American Pie de Paul et Chris Weitz, LOL de Lisa Azuelos ou encore Les beau gosses de Riad Sattouf.
Le personnage de Max Boublil n’est pas le plus important ce n’est qu’un petit rôle. Les vrais rôles principaux sont les enfants. Max joue un rôle de grand adolescent plutôt sympathique qui préfère vivre sa vie comme un enfant. Son personnage ajoute une touche d’humour en plus.
Le film n’est pas qu’une succession de blagues ou de situations comiques. Le film dépeint les situations que l’on peut subir dans notre jeunesse. Les moqueries, la solitude que l’on peut subir quand on est nouveau ou non dans une ville. Quand on peut être victime des tyrans de sa classe…
Chacun d’entre nous en voyant le film se rappelle de son vécu que l’on soit dans le « camp » des gens qui se moquent ou ceux qui reçoivent et puis notre réflexion nous donne un petit pincement au cœur ou d’être mal à l’aise pour ces gosses-là.
Le film est ancré dans une certain intemporalité et cela facilite donc une certaine identification et empathie du spectateur pour les enfants. On sent au niveau de la réalisation que les années 80 ont une place importante, on retrouve des vinyles, peu d’allusions aux réseaux sociaux actuels. Vouloir mettre une époque pour situer le film dans le temps n’est pas une bonne idée sinon on passe à côté du message.
Les enfants du films pourraient être de notre famille ou autre. Mais on retrouve là une bande celle qui se forme dans les classes avec les éternels rejetés, les premiers amours d’un côté, ceux qui « osent » parler aux filles et les approcher, de l’autre ceux qui sont trop timides ou maladroits pour se rendre compte qu’ils se plaisent.
Le nouveau aborde des situations et de nombreuses questions et toute générations peut se voir dans ses questions.
La première réalisation de Rudi Rosenberg est assez simple mais cela est complètement oublié grâce a une performance des adolescent qui jouent avec énormément de naturel. Le scénario et les seconds rôles sont travaillés. Le film ne tombe jamais dans le vulgaire ou le trash. Le film aborde des situations qui peuvent marquer les jeunes.
Rudi Rosenberg offre donc a son spectateur un film sincère et touchant.

Sympathique, distrayant, léger, relaxant, amusant, sans prétention, édulcoré,…, même si la bêtise (la gentille, la méchante, l'intégrale), la cruauté l’esprit de clans y sont évoqués. Deux formes de handicap sont abordées : le h. physique et l'incapacité des éducateurs (parents, enseignants). Point fort : l’interprétation naturelle des ces jeunes acteurs amateurs. En creusant plus, il y aurait matière à un dossier critique sérieux, mais ce n'est pas le but de Rosenberg ... qui aurait bien fait de nous dispenser de passages d’un goût douteux et sans rapport avec le thème du film spoiler: (la scène des préservatifs durant la fête)
. S'adresse aux adolescents comme aux adultes. Bien programmé pour cette période de fête où il est bon de se relâcher. Je reproche au Pathé Chavant d’avoir été incapable de fournir une projection de qualité normale : vignettage noir dans l’angle inférieur gauche de l’écran, pendant la TOTALITE de la SEANCE ; non seulement il n’a pas vérifié lui-même la qualité de la projection mais il s’est montré incapable de traiter le problème signalé !

Très bonne comédie. Je m'attendait a pire mais les blagues sont super. ça m'a rappelé le collège pour le bon et le pire. On y croit vraiment. les jeunes acteurs jouent bien.

Les personnages sont des stéréotypes (le nouveau, l’intello, la plus-jolie-fille-de-la-classe, le gros rigolo, le beau gosse, etc…) mais pas des caricatures. Les situations sont souvent cocasses mais aussi émouvantes ou même cruelles car à 13 ans, les piques assassines et les bons mots caustiques peuvent frapper comme des coups de poignard. Les jeunes acteurs non-professionnels sont exceptionnels, Guillaume Cloud Roussel, Rephael Ghrenassia et Eytan Chiche en tête.

LA SUITE :

La Mauvaise Blague : ni queue ni tête, pas marrant, absolument inintéressant...profondément déçu. Il n'y a pas de fil rouge , pas vraiment d'histoire...tout s'enchaîne béatement avec de la grossièreté gratuite et des passages à vide. Le nouveau ne gagne pas à être connu : un nouveau bide oui.

Un petit film mais une grande comédie très drôle, de par ses dialogues, la personnalité de certains, ou encore avec leurs gamineries. Et puis c'est un film qui traite de l'adolescence au collège avec réalisme, sans en faire trop, où chacun joue parfaitement son rôle.

Excellent premier film à voir et revoir en famille. Le jeu d'acteur est très juste. La casting est très bon. Bruno à la TEAM #LeNouveau

Un super film et les acteurs sont géniaux !!! Un moment de bonheur et de détente pour adultes et enfants !! Je le conseille vivement !! Les gosses sont de futures stars c'est certain !! En particulier Joshua Raccah et l'acteur principal :)

Un vrai vent de fraîcheur sur la comédie teenager.
Des bons fous rires et beaucoup de tendresse pour nos héros adolescents.

"Le nouveau"décrit avec justesse l'univers des adolescents avec ses rivalités,ses gentils naïfs ou maladroits,ses leaders pas toujours gentils parfois méchants,on voit comment certains de ces leaders se font une place au soleil au détriment des plus sincères et des plus honnêtes qui heureusement ont assez d'intelligence,de lucidité et d'humour pour ne pas se laisser dominer par ces faux durs !

Une très jolie comédie, drôle, sensible, réaliste !
Les comèdiens sont super !!
A voir et à revoir !

J'ai aimé car ça m'a rappelé quelques situations de mon enfance et aussi parce que j'ai 2 garçons qui vont bientôt être confrontés à "ça". Et finalement ce n'est pas très éloigné du monde adulte.