Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Paris Match
par Karelle Fitoussi
C'est la meilleure surprise de cette fin d'année, hommage tendre et hilarant aux sous-doués des cours de récré.
CNews
par La Rédaction
Cette chronique adolescente met dans le mille en traitant son sujet avec beaucoup de sensibilité et parfois de drôlerie. Les situations sont bien vues tant dans les instants de malaise que d’euphorie qui caractérisent cet âge.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Interprétée par des non-professionnels, tous très justes, cette sorte de prequel des Beaux Gosses est une belle surprise.
L'Express
par Eric Libiot
Ca fait du bien parce que le film est franchement drôle (...) Ca fait du bien parce que Rudi Rosenberg, dont c'est le premier long-métrage, y va franco, sans chichis ni discours, se foutant royalement du politiquement correct.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre fantaisie de comédie potache et cruauté de l’exclusion, un film qui trouve le ton juste.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On sourit davantage que l'on ne s'esclaffe, mais les comédiens, notamment Max Boublil, parfait en oncle dégingandé et immature, distillent leur bonne humeur et suscitent la sympathie. Un premier long métrage attachant et plein de peps qui séduira les ados.
Le Monde
par Noémie Luciani
Rien de nouveau dans cette épiphanie programmée du film, en somme, mais les chemins qu’il ouvre, par l’humour, la douceur, la gentillesse réhabilitée en tentation concurrente de la méchanceté et l’affirmation constante du droit de grandir sans renoncer à l’enfance, réécrivent avec vivacité et pertinence cette leçon aussi ancienne que difficile à acquérir, lorsqu’on a douze ans et le vertige d’une vie devant soi.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Enfin une comédie qui parle avec acuité de l'adolescence en mode scolaire avec ses grandes solitudes et ses déconcertantes aspérités. On adore ce film pertinent, touchant, ébouriffant et ses cas d'école !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Mehdi Omaïs
Avec "Le Nouveau", en salles ce mercredi, Rudi Rosenberg dirige une bande de gamins enthousiastes le temps d’une balade inspirée au cœur de l’adolescence, des couloirs de lycée et de ces moments charnières où tout se construit.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Rudi Rosenberg, dans ce premier long-métrage, évite bien des écueils et nous épargne en particulier la fin édifiante et attendue qui verrait le boloss se transformer en BG. Une jolie réussite.
Première
par Gael Golhen
Rosenberg cherche le point d'équilibre la justesse. Et ce qui trouble le plus, c'est le fil sur lequel son film danse gracieusement. Entre chronique légère et sujet grave qui tord le bide. Le cinéaste déstructure (des attitudes, des comportements) pour mieux reconstruire et montrer ses héros sens dessus dessous.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un irrésistible portrait de l'adolescence. Fous rires garantis.
TF1 News
par Romain Le Vern
C'est toujours bien vu, très tendre, touchants même par endroits. Sans conteste la meilleure surprise de cette fin d'année.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Les gamins sont d'un naturel désarmant, et les dialogues écrits avec un cœur gros comme ça.
Télérama
par Guillemette Odicino
Rudi Rosenberg filme des situations justes, et souvent amusantes, sur cet âge où être accepté, intégré, est une question de vie ou de mort.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un peu sommaire question cinéma, mais néanmoins de la justesse et de la pertinence dans les propos, les aspirations et les comportements des acteurs.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le sujet n'est pas inédit, mais tout sonne juste dans cette comédie sur les années collège : les codes générationnels et la cruauté entre ados sont évoqués avec autant d'intelligence que de drôlerie. Et les clichés n'ont pas leur place.
VSD
par Bernard Achour
Avec une authenticité confondante à laquelle l'humour, l'observation, les rebondissements et une certaine cruauté fusionnent en toute harmonie, les mécanismes de l'exclusion et de l'amitié y sont décortiqués sans l'ombre d'un cliché.Dommage que la maladresse d’écriture et d’interprétation de l’adulte campé par Max Boublil parasite un peu la réussite.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le casting est franc du collier, d’un charisme total. Il évite les clichés bourgeois des comédies à la LOL pour se lover dans une universalité consensuelle qui séduit dès les premiers instants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
(...) une sorte de "LOL" taille 13 ans, faisant preuve d'une écriture peu imaginative (tout semble bâti sur l'idée d'une prévisibilité absolue des moeurs adolescentes) et parfois très maladroite, notamment dans sa question du harcèlement scolaire (...).
Paris Match
C'est la meilleure surprise de cette fin d'année, hommage tendre et hilarant aux sous-doués des cours de récré.
CNews
Cette chronique adolescente met dans le mille en traitant son sujet avec beaucoup de sensibilité et parfois de drôlerie. Les situations sont bien vues tant dans les instants de malaise que d’euphorie qui caractérisent cet âge.
Cahiers du Cinéma
Interprétée par des non-professionnels, tous très justes, cette sorte de prequel des Beaux Gosses est une belle surprise.
L'Express
Ca fait du bien parce que le film est franchement drôle (...) Ca fait du bien parce que Rudi Rosenberg, dont c'est le premier long-métrage, y va franco, sans chichis ni discours, se foutant royalement du politiquement correct.
Le Dauphiné Libéré
Entre fantaisie de comédie potache et cruauté de l’exclusion, un film qui trouve le ton juste.
Le Journal du Dimanche
On sourit davantage que l'on ne s'esclaffe, mais les comédiens, notamment Max Boublil, parfait en oncle dégingandé et immature, distillent leur bonne humeur et suscitent la sympathie. Un premier long métrage attachant et plein de peps qui séduira les ados.
Le Monde
Rien de nouveau dans cette épiphanie programmée du film, en somme, mais les chemins qu’il ouvre, par l’humour, la douceur, la gentillesse réhabilitée en tentation concurrente de la méchanceté et l’affirmation constante du droit de grandir sans renoncer à l’enfance, réécrivent avec vivacité et pertinence cette leçon aussi ancienne que difficile à acquérir, lorsqu’on a douze ans et le vertige d’une vie devant soi.
Le Parisien
Enfin une comédie qui parle avec acuité de l'adolescence en mode scolaire avec ses grandes solitudes et ses déconcertantes aspérités. On adore ce film pertinent, touchant, ébouriffant et ses cas d'école !
Metro
Avec "Le Nouveau", en salles ce mercredi, Rudi Rosenberg dirige une bande de gamins enthousiastes le temps d’une balade inspirée au cœur de l’adolescence, des couloirs de lycée et de ces moments charnières où tout se construit.
Positif
Rudi Rosenberg, dans ce premier long-métrage, évite bien des écueils et nous épargne en particulier la fin édifiante et attendue qui verrait le boloss se transformer en BG. Une jolie réussite.
Première
Rosenberg cherche le point d'équilibre la justesse. Et ce qui trouble le plus, c'est le fil sur lequel son film danse gracieusement. Entre chronique légère et sujet grave qui tord le bide. Le cinéaste déstructure (des attitudes, des comportements) pour mieux reconstruire et montrer ses héros sens dessus dessous.
Studio Ciné Live
Un irrésistible portrait de l'adolescence. Fous rires garantis.
TF1 News
C'est toujours bien vu, très tendre, touchants même par endroits. Sans conteste la meilleure surprise de cette fin d'année.
Télé 2 semaines
Les gamins sont d'un naturel désarmant, et les dialogues écrits avec un cœur gros comme ça.
Télérama
Rudi Rosenberg filme des situations justes, et souvent amusantes, sur cet âge où être accepté, intégré, est une question de vie ou de mort.
Ouest France
Un peu sommaire question cinéma, mais néanmoins de la justesse et de la pertinence dans les propos, les aspirations et les comportements des acteurs.
Télé 7 Jours
Le sujet n'est pas inédit, mais tout sonne juste dans cette comédie sur les années collège : les codes générationnels et la cruauté entre ados sont évoqués avec autant d'intelligence que de drôlerie. Et les clichés n'ont pas leur place.
VSD
Avec une authenticité confondante à laquelle l'humour, l'observation, les rebondissements et une certaine cruauté fusionnent en toute harmonie, les mécanismes de l'exclusion et de l'amitié y sont décortiqués sans l'ombre d'un cliché.Dommage que la maladresse d’écriture et d’interprétation de l’adulte campé par Max Boublil parasite un peu la réussite.
aVoir-aLire.com
Le casting est franc du collier, d’un charisme total. Il évite les clichés bourgeois des comédies à la LOL pour se lover dans une universalité consensuelle qui séduit dès les premiers instants.
Les Inrockuptibles
(...) une sorte de "LOL" taille 13 ans, faisant preuve d'une écriture peu imaginative (tout semble bâti sur l'idée d'une prévisibilité absolue des moeurs adolescentes) et parfois très maladroite, notamment dans sa question du harcèlement scolaire (...).