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L'Info Tout Court
Soyons francs : Les rois du monde ennuie voire agace parfois son spectateur. La sur-dramatisation du long-métrage le transforme en un mélodrame pompeux, dont le public a envie de s'extraire dès les premières minutes. Ce triangle amoureux écume tous les genres cinématographiques, du western au thriller en passant par la comédie, jusqu'à une issue évidente et forcée. Dommage pour une oeuvre dont la bande-son est originale et inspirée. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
Un film dense et intense entrecroisé de luttes pour s'échapper de l'enfermement d'un petit village de province.
Faute de respecter l'ode à une campagne désœuvrée et consanguine, certains resteront à jamais dans la souffrance et la folie, d'autres trouveront l'échappatoire par l'élan de génie.
Un jeu d'acteur époustouflant mené tambours battants par une Céline Sallette rayonnante marquant la confrontation sanguinolente d'un Sergi Lopez assoiffé de tendres ivresses et d'un Eric Cantona tendre boucher de cœur. Sang chaud sang froid aux frontières des lois, pas évident de trancher pour un amour décliné possédant, possédé, passionné, perturbé, forcé...
Des scènes d'une esthétique éloquente à la croisée de la tragi-comédie et du western moderne.
On en oublierait presque de respirer l'air des paysages du Sud-Ouest... attention de venir pour la peine en condition.
Bref on aime et on recommande ce premier film mûri et prometteur d'un Laurent Laffargue toujours aussi théâtral.
Faute de respecter l'ode à une campagne désœuvrée et consanguine, certains resteront à jamais dans la souffrance et la folie, d'autres trouveront l'échappatoire par l'élan de génie.
Un jeu d'acteur époustouflant mené tambours battants par une Céline Sallette rayonnante marquant la confrontation sanguinolente d'un Sergi Lopez assoiffé de tendres ivresses et d'un Eric Cantona tendre boucher de cœur. Sang chaud sang froid aux frontières des lois, pas évident de trancher pour un amour décliné possédant, possédé, passionné, perturbé, forcé...
Des scènes d'une esthétique éloquente à la croisée de la tragi-comédie et du western moderne.
On en oublierait presque de respirer l'air des paysages du Sud-Ouest... attention de venir pour la peine en condition.
Bref on aime et on recommande ce premier film mûri et prometteur d'un Laurent Laffargue toujours aussi théâtral.
velocio
Beaucoup trop de scènes complaisantes qui n'ajoutent rien à un film qui n'avait déjà pas grand chose au départ. En plus, on ne comprend pas la moitié de ce que marmonnent Sergi lopez et Eric Cantona.
Une certaine tension se dégage de l'ensemble mais quelques rôles inutiles viennent parasiter la trame principale rendant le tout très long...
defleppard
Mise en scène trop décousue pour retenir l'attention, l'ennui vous gagne. Prise de son trop grave. 1 étoile et demie.
Avec cette comédie dramatique, Laurent Laffargue qui réalise ici son premier long-métrage, nous offre une tragédie qui repose sur la plus vieille thématique du monde : une femme, deux hommes. Chantale et Jeannot se sont aimés follement, mais les années de prison qui les ont séparés ont jeté Chantale dans les bras de Jacky . Maintenant sorti de prison, Jeannot est bien décidé à reprendre sa belle, qui hésite et ce malgré l'évidente opposition du nouveau soupirant. Dans ce Sud-Ouest truculent, le réalisateur nous offre une intrigue finalement assez classique et pas loin d'être prévisible qui voit l'affrontement de Sergi López (toujours magistral) et d'Eric Cantona. Si cette partie du film est plutôt intéressante on se demande pourquoi le réalisateur, par ailleurs également scénariste, à voulu en parallèle construire cette histoire d'un autre triangle amoureux entre ces jeunes adolescents... Ce n'est pas inintéressant, mais cela n'apporte pas grand-chose au film, au détriment de la première intrigue qui aurait gagné en puissance à être plus développée. Sinon que dire de cette comédie... Ben, elle est plaisante, parfois drôle et assez distrayante. À voir à l'occasion.
Nous assistons dans ce drame à une compétition d'acteurs quasi-sportive entre Sergi López et Eric Cantona, chacun jouant dans la même catégorie "mâle brun virile et rustre", avec un avantage final à Sergi dans son rôle de composition de psychopathe où il distille le doute permanent sur son état mental et ses réactions violentes jusqu'à la chute, moment le plus violent de cette confrontation. Cantona montre tout de même d'excellentes dispositions pour le cinéma dans ce rôle dramatique. Le personnage joué par Céline Sallette est l'objet de cette rivalité masculine, c'est d'ailleurs toute l'histoire de ce film de brutes, son rôle consistant surtout à apporter un peu de féminité, et à arbitrer.
Cinéphiles 44
Les Rois du Monde est un film aux thématiques d’ivresses, d’amitiés, de violences amoureuses ou il fait bon vivre comme ils pourraient le dire à Casteljaloux. C’est un film qui se vit au jour le jour, notamment par la performance du casting étonnamment cohérente. Toutes ces scénettes sont identifiables et les propos qui suivent en prennent une force encore plus percutante. Malheureusement le drame est un peu décousu et les dialogues sont parfois un peu trop bruts. C’est la vrai vie diront-ils encore. Effectivement, mais les querelles d’Eric Cantona et Sergi Lopez pour leur princesse aurait pu être tempérées si on voulait réellement s’identifier à la réalité. Les Rois du Monde navigue donc entre le thriller purement fictif ou le drame social du terroir. Ce manque de décision dans le ton laisse sur sa fin.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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De l'outrance, un manque de subtilité caractérisent ce film. Il y aurait certainement eu moyen d'en tirer quelque chose de bien meilleur mais le réalisateur et le ou les scénaristes ont préféré tomber dans le stéréotypé. l'affrontement de deux brutes pour les beaux( très beaux) yeux de Céline Salette. Sergi Lopez qui peut avoir un jeu trés nuancé, ici offre une prestation de bourrin bourré quant à Cantona, il faudrait que quelqu'un lui dise d'aller prendre des cours parce qu'il ne suffit pas d'avoir une gueule et un physique imposant pour devenir acteur. Il a une diction déplorable, débite son texte donc souvent inaudible, à toute berzingue et joue toujours sur le même registre. Reste le charme de Céline Salette, actrice toujours désespérement inspirée.
Raphaël O
S'inspirant du western, Laurent Laffargue signe pour son premier film une tragi-comédie au récit inégal, convenu et plat, ennuyeux parfois et tombant dans le grotesque dans certaines de ses situations ou répliques, même si la distribution est convaincante et le final surprenant. Dommage, il y avait mieux à faire.
Une histoire formidable pour des performances formidables même pour un sujet déjà raconté mille fois auparavant. C'est une pure tragédie avec un Sergi Lopez à son apogée qui incarne un ex-détenu qui a été envoyé en prison pour avoir failli tuer un homme. Mais seulement parce qu'il était follement amoureux de la toujours exceptionnelle Céline Salette. Elle est la petite amie de l'impressionnant Eric Cantona qui est ici plus impressionnant que jamais. Tout est mis dans ce film pour permettre à la tragédie d'exploser. Les Rois du monde est une tragédie rurale réussie...
Cette histoire est assez classique : un ex qui sort de prison, jaloux, violent, qui ne sait pas se contenir, essaie par tous les moyens de récupérer sa compagne qui a refait sa vie avec un autre homme du village, dont on sent qu'il fait des efforts pour se contenir. Le film aborde le problème de la violence conjugale, surtout morale, mais d'une manière beaucoup trop superficielle. Vient se greffer là-dessus une histoire secondaire de jalousie entre deux jeunes et une jeune fille.
Le film vaut surtout par le jeu des trois acteurs principaux :
Céline Salette qui prend de plus en plus d'épaisseur dans ses rôles, parfaite en femme torturée entre deux hommes, Eric Cantona, excellent en homme se contenant pour ne pas donner une raclée à son rival, et surtout Sergi Lopez, en homme ténébreux et glauque qui n'est pas sans rappeler son personnage de "Harry, un ami qui vous veut du bien".
Le film vaut surtout par le jeu des trois acteurs principaux :
Céline Salette qui prend de plus en plus d'épaisseur dans ses rôles, parfaite en femme torturée entre deux hommes, Eric Cantona, excellent en homme se contenant pour ne pas donner une raclée à son rival, et surtout Sergi Lopez, en homme ténébreux et glauque qui n'est pas sans rappeler son personnage de "Harry, un ami qui vous veut du bien".
Film cahotique, histoire décousue, on a du mal à comprendre qui est qui dans les personnages secondaires. Première scène sans aucun rapport avec l'histoire, des personnages avec un QI très bas, sauf Chantal, qui ne s'expriment pas autrement qu'en hurlant, une fin prévisible, démontrant une fois de plus que la bêtise mène toujous au drame. Côté acteurs, une magistrale Céline Salette, aussi affolante que dans Nos années folles, Eric Cantona fidèle à ses rôles habituels, Sergi Lopes dans un personnage de brute épaisse qui ne lui va pas. En résumé, un film décevant, bien en-deça de son potentiel sur le papier.
Absolument inutile. Haineux et scénario d'une pauvreté affligeante. Les dialogues off qui tentent de nous faire croire qu'il y a une explication à tout cela sont les pires. Passez votre chemin.
Les acteurs jouent bien maison voit trop de scènes d'ivrognerie. Cependant c'était intéressant de voir l'avant première car cela m'a fait comprendre le sens du film qui doit se voir comme une tragédie grecque
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