Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Entre vision de la vie de province et mise en abyme de la réalité et du théâtre, un film qui n’évite pas toujours les maladresses, mais fort et singulier.
Sergi Lopez en taureau fou et Eric Cantona en taureau doux se livrent à une sacrée corrida. Inégal, excessif, ce drame passionnel, alcoolisé au pastaga, est comme un vide-greniers dans le Sud-Ouest. Y a trop de trucs, mais on peut y trouver son bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Inégal, le premier long-métrage de Laurent Laffargue vaut surtout par l'intensité de l'affrontement de deux "natures". Eric Cantona, notamment, devient bien meilleur lorsqu'il retire le frein à main.
Le résultat n'est pas toujours à la hauteur des ambitions pour une raison essentielle : la volonté d'explorer toutes les pistes ouvertes par le scénario et de prendre la thématique (la solitude amoureuse) par toutes les entrées possibles.
Avec des personnages minés par l'échec et les désillusions, (...) Laurent Laffargue, metteur en scène de théâtre dont c'est le premier long-métrage, nous plonge dans une France aussi rance qu'irréelle, où les rapports homme-femme, comme le dégoût de soi, semblent figés quelque part dans les années 1940.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Entre numéros d'acteurs appuyés, des séquences parfois longuettes, une artificielle scène d'amour et un final façon tragico-western, ce drame romantique nourri aux corticoïdes passe son temps à chercher son style et sa voie.
Directeur d’acteurs pourtant rodé, Laffargue se casse les dents comme tant d’autres avant lui sur une laborieuse transposition de la scène à l’écran, entravée par la radicalité de ses héros rivés à leurs idées fixes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La Croix
Trois acteurs, magnifiques d'intensité, portent ce récit.
Le Dauphiné Libéré
Entre vision de la vie de province et mise en abyme de la réalité et du théâtre, un film qui n’évite pas toujours les maladresses, mais fort et singulier.
Metro
Entre western et tragédie grecque, le résultat, bien que lesté d'imperfections, surprend de façon positive.
Paris Match
Sergi Lopez en taureau fou et Eric Cantona en taureau doux se livrent à une sacrée corrida. Inégal, excessif, ce drame passionnel, alcoolisé au pastaga, est comme un vide-greniers dans le Sud-Ouest. Y a trop de trucs, mais on peut y trouver son bonheur.
Critikat.com
Malheureusement, le programme régionaliste s’accompagne d’un passéisme inadapté à une intrigue contemporaine.
Franceinfo Culture
Inégal, le premier long-métrage de Laurent Laffargue vaut surtout par l'intensité de l'affrontement de deux "natures". Eric Cantona, notamment, devient bien meilleur lorsqu'il retire le frein à main.
Les Fiches du Cinéma
Le premier long métrage de Laurent Laffargue met maladroitement en scène une tragédie antique croquée comme un western. L'ensemble laisse dubitatif.
Positif
Le résultat n'est pas toujours à la hauteur des ambitions pour une raison essentielle : la volonté d'explorer toutes les pistes ouvertes par le scénario et de prendre la thématique (la solitude amoureuse) par toutes les entrées possibles.
Première
Inspirée par le western et ses déclinaisons modernes signées Jeff Nichols, la tragédie s'enlise pourtant dans une violence stéréotypée.
Studio Ciné Live
Pour son premier long, Laffargue construit une tragédiequi, hélas, se perd en détours.
aVoir-aLire.com
Un film dopé à la testostérone, plein de bruit et de fureur, mais desservi par un trop plein de grandiloquence.
Le Monde
Avec des personnages minés par l'échec et les désillusions, (...) Laurent Laffargue, metteur en scène de théâtre dont c'est le premier long-métrage, nous plonge dans une France aussi rance qu'irréelle, où les rapports homme-femme, comme le dégoût de soi, semblent figés quelque part dans les années 1940.
Le Parisien
Entre numéros d'acteurs appuyés, des séquences parfois longuettes, une artificielle scène d'amour et un final façon tragico-western, ce drame romantique nourri aux corticoïdes passe son temps à chercher son style et sa voie.
Libération
Directeur d’acteurs pourtant rodé, Laffargue se casse les dents comme tant d’autres avant lui sur une laborieuse transposition de la scène à l’écran, entravée par la radicalité de ses héros rivés à leurs idées fixes.