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    Quand on a 17 ans
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    3,8
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    217 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 mai 2016
    Pas vraiment d'émotion en sortant de la séance. Malheureusement, malgré une interprétation plutôt bonne, le film semble long. Un manque de réalisme dans l'ensemble. Des scènes inutiles, voir incohérentes, qui nuisent à l’intérêt du scénario. Difficile dans ces conditions de se laisser porter par cette histoire. Dommage.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 362 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 août 2016
    Sortie de salle. Je ne ressens rien ; comme si je sortais du boulot… Je m’interroge. Je me rends soudainement compte que ce film ne m’avait strictement rien fait. Pourtant il est plutôt beau formellement parlant ; sobre comme je sais parfois les aimer. L’histoire n’était pas dénuée d’intérêt ; l’univers dans lequel se déroulait ce film avait son identité ; l’interprétation était à la hauteur… Et pourtant, rien… Pourquoi rien ? En rentrant du cinéma, je me questionne. Qu’est-ce qui fait que certains films nous tiennent à la gorge et d’autres non ? Ça dépend des gens, certes, bien évidemment. Mais pourquoi, sur moi, ce film n’a eu aucun effet ? J’ai cherché un peu et puis j’ai fini par trouver. Pour moi, le problème de ce film, c’est l’écriture. D’habitude, au cinéma, dans les séries ou dans la littérature, les intrigues qui finissent par me saisir sont celles qui parviennent à me faire oublier que je suis face à une fiction. Or, pour y parvenir, s’émanciper des artifices ne m’est jamais apparu comme une solution. Au contraire, les artifices se doivent d’être multiples pour duper le spectateur, pour l’imprégner pleinement et parvenir à le mettre dans une posture assez similaire à celle des protagonistes. Et c’est là, à mon sens qu’André Téchiné, et sa co-auteure Cécile Sciamma, ont totalement pêchés. A mes yeux c’était trop simple, trop lisible. Au bout d’un quart d’heure, le film semait déjà des éléments tellement évidents sur le « comment-du-pourquoi » de l’intrigue au point que celle-ci perdait déjà tout son mystère. Et malheureusement, me concernant, ce processus n’a fait que se confirmer régulièrement, de quart d’heure en quart d’heure. Chaque nouvel élément d’intrigue annonçait pour moi systématiquement les événements à venir et cela sans alternative possible ( spoiler: la tension homosexuelle entre les deux jeunes hommes, le désir de la mère pour Tom, la mort du père, etc…
    ) Et le pire dans cette histoire, c’est que l’annonce a beau s’être faite de manière évidente, le film met pourtant des plombes à dérouler son intrigue, cherchant à entretenir une ambigüité pourtant éventée depuis longtemps… Et si encore le film tenait ses promesses… Mais, me concernant, ce n’est même pas le cas. Finalement, toutes ces questions abordées par ce long-métrage le sont de manière bien sages, bien consensuelles, et presque trop facilement. Il aurait été si intéressant que spoiler: Damien veuille et que Tom, bien qu’homo, ne veuille pas. Il aurait été tellement intéressant que la tension sexuelle entre Marianne et Tom soit plus forte et – pour le coup – plus ambigüe…
    Mais non… Dans ce film, tout le monde est gentil… Tout le monde est bien sage. Trop peut-être… Alors oui, ce n’est pas désagréable d’avoir un petit groupe de personnages qui, comme ça, incarnent une certaine forme de vie paisible… Oui c’est reposant. Mais le problème, c’est que c’est trop mou, trop lisse, trop fade, par rapport aux enjeux proposés. Il n’y a pas suffisamment de dimensions de lecture au sujet des personnages et des tourments qui les animent pour qu’à mes yeux ils puissent dépasser leur simple statut de faire-valoir au service du propos. Ainsi deviennent-ils tous soit prévisibles, soit mous, soit creux. Tout cela manque d’audace selon moi, voire pire, tout cela manque de profondeur d’écriture. Au final « Quand on a 17 ans » a des allures de dissertation bien scolaire (avec la référence rimbaldienne s’il vous plait) ; une dissertation qui entend ne fâcher personne et surtout ne pas rompre avec le confort douillet de cet univers montagnard au fond bien relaxant. Alors oui, c’est beau… Mais bon, c’est aussi et surtout très timide et ultra-prévisible. Venant d’un vieux briscard comme Téchiné et d’une auteure aussi audacieuse que Cécile Sciamma, c’est quand même un brin dommage je trouve…
    De smet M.
    De smet M.

    12 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 avril 2016
    On ne peut pas lui en vouloir, c’est ce qu’il fait. En bon artisan, Téchiné nous revient avec un film classique, psychologue et qui remet sur pied un schème bien connu de l’œuvre du réalisateur mêlant antagonisme, découverte de l’amour sexué et adolescence. Le mouvement a d’ailleurs le mérite de tendre vers une épuration du schéma dialectique : étalé sur les trois trimestres d’une année scolaire — celle des 17 ans —, le film nous présente la confrontation de Damien et Tom. [...]

    Suite de la critique sur Pours Cinéphilie
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 avril 2016
    Le film commence l’automne et finisse au début de l'été, il prend toute une année scolaire. Même si la personnalité des jeune évolue, on ne trouve pas une vraie continuité. Ils passent d'être fâchés l'un contre l'autre à rester tous calmes d'une façon trop rapide. On ne comprends pas que la violence du début on la doit au rejet de leur attraction sexuelle, c'est pourquoi le spectateur se perd, des fois. On ne détecte aucun dilemme intérieur et le scénario donne des phrases inutiles aux personnages au lieu de nous faire entrevoir ses idées.

    En plus, il y a un fond social pas réussit du tout. Les différences entre le jeune élevé dans du coton et celui qui aide à sa famille sont trop évidentes, sans parler de la condescendance implicite une fois que le fermier déménage chez la docteur. Pas tous les films qui parlent de la découverte de la sexualité doivent devenir un manifeste ni une dénonce de la société, mais le titre qui élude à Rimbaud nous suggère plutôt une fantaisie des temps passées, comme Les roseaux sauvages, j'insiste, qui était plus réussit. Il aurait été mieux d'assumer l’invraisemblance d'une idéalisation des souvenirs de jeunesse. Le côté social du film est confus et il ne montre que le réalisateur nage entre deux eaux: réalité et fantaisie.

    Il faut signaler que le film n'est pas mal, par contre. Les scènes extérieures sont belles encore une fois et Sandrine Kiberlain est magnifique dans son rôle. Mais surtout, le meilleur moment du film c'est une scène de sexe très osée et inattendue entre les deux protagonistes. La scène surprend par sa violence, son réalisme et pour être explicite. Un film amusant et mignon qui nous fait retourner à nos dix-sept ans.

    Encore plus d'erreurs et de fater dans le lien ci-dessous
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 avril 2016
    Oui, les 3 acteurs principaux sont vraiment bons et le scénario assez convaincant. Mais la scène de sexe est un peu courte. On aurait aimé voir "ça" en gros plan et bien plus longtemps. C'est vrai quoi, pour un film "tous publics" il aurait fallu qu'on "se lâche" vraiment et que l'on fasse voir aux plus jeunes que l'homosexualité : c'est le pied non ?. Après "La vie d'Adèle" c'est pas mal. On attend un film qui va encore plus loin maintenant. A plusieurs, c'est tendance non ?
    fcarco
    fcarco

    3 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 avril 2016
    Traitement caricatural de l éveil homosexuel chez un adolescent (l autre subit quelque peu..), pas franchement crédible...très décevant et parfois dérangeant tant ce film manque de douceur et de délicatesse..(comparé à Carol..) : la violence comme révélateur de pulsions et de désir ? Bof...
    Cine vu
    Cine vu

    147 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 avril 2016
    Quand on a 17 ans, rien n’est figé

    Un scénario qui se traine en longueur, quelques clichés vieillissants. La découverte de son identité sexuel à l’adolescence. André Téchiné veut bien faire mais il pris du retard sur son temps.
    Des situations sans raison d’être , un médecin de campagne à l’ancienne, un garçon qui se cherche et l’autre qui ne se trouve pas, des rendez-vous manquées pour eux comme pour nous.
    Un gros plan permanent sur Corentin Fila et c’est vrai qu’il est beau le bougre mais Téchiné en est trop entiché, c’est lassant.

    J’ai quitté Kacey Mottet Klein, il y a une semaine à peine dans « Keeper« , ce gamin joue juste jusqu’à son ambiguïté et sa passion naissante.

    De jolis acteurs, une réalisation soignée mais pas de fureur même dans ces quelques bagarres, d’ailleurs plus contre eux-même, qu’entre eux. Un message académique sur la difficulté de grandir et de faire un choix.

    Sandrine Kiberlain fait de son mieux, elle est brave et gentille, sa prise en charge de Tom, si soudaine, est peu crédible, de l’altruisme en solde pour nous conter du vent.

    Un film presque pour rien, sauf peut-être de mettre à jour la découverte de notre sexualité à 17 ans mais sans rien nous révéler vraiment.

    André Téchiné ne m’a pas bouleversé et il n’y rien de transcendant dans cette petite fable amoureuse en montagne. Le plan de fin avec Corentin Fila courant dans les champs frise le ridicule, c’est digne d’une scène de « Brokeback Mountain » version comédie musicale.

    La collaboration dans l’écriture de Céline Sciamma est évidente, détentrice du monopole sur l’adolescence et ses questionnements.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 avril 2016
    Ce commentaire n’est que spoiler : surtout ne pas lire avant de l’avoir vu. A voir de toutes façons.

    spoiler: Comment une mère peut-être faire subir autant d’humiliations à son fils ? Un calvaire ! C’est poignant de voir le regard de Damien quand sa mère prend parti pour Tom dans le bureau du proviseur ou quand elle le lui impose à la maison. Et Damien ne voit pas tout : la main ferme, chaleureuse, charnelle et sensuelle qu’elle pose sur l’épaule de Tom est bien différente de la la main superficielle, en aller-retour rapides et gênés, qu’elle lui prodigue, parfois. Beauceronne devenue médecin de montagnes, elle se bat pour l’autre, avec un courage certain. Le lien crée avec les patients n’apparaît cependant pas très profond, comme si l’engagement ne franchissait jamais la limite de la volonté. Le père est militaire, aussi glamour et puissant qu’un centurion fonctionnaire à la veille de la chute de Rome. Ce couple n’est chaleureux à lui-même que dans la distance du virtuel. Damien, fruit unique de ce couple, est élevé dans un semblant d’amour qui sonne vide, comme la lave figée d’une aiguille creuse. Il manque la sève. Et la sève, ce sera le sud, l’adopté, le sang neuf. Chaque scène où apparaît Tom, les parents sont chaleur, charme, lien, ils sont séduits voire subjugués. Damien est attiré lui-même, et le film donne l’impression d’une fascination générale. Chacun voit Tom en sauveur. Bel apollon en effet : une gnack de Revenant, une prestance d’inconnu du lac. Une Grande Santé venue d’ailleurs, comme Omar Sy dans Chocolat ou Intouchables. Damien est rejeté dans la faiblesse, comme sur l’affiche du film : Tom au premier plan regardant vers la droite (avenir), Damien juste derrière le bade avec un regard de dominé, et Marianne lorgne sur Tom dans l’ignorance complète de son fils. Cette mère est une horreur, bien pire encore que Mommy dont les erreurs étaient touchantes, pire que la froideur espiègle de Mia Madre. Tout débute à la rentrée scolaire, par Rimbaud et un poème de vie et d’amour, interprété par un Damien d’abord maladroit puis convaincant, comme un homme qui s’apprend. Ensuite vient le coup de tonnerre dans un ciel serein. Filmé en contre-plongée, Damien s’effondre sur le sol suite à un croche pied inattendu de Tom. Pourquoi ? arrogance de Damien dira-t-il plus tard. Cette chute de Damien est la métaphore du 11 septembre. L’occident lui-même est incarné par ce couple militaro-médical jouant de ses propres valeurs sur le théâtre des opérations, non sans un certain courage mais assurément sans foi et ni sève. Damien lui-non plus n’est pas sans courage. Dans la 1ère partie il lutte brillamment, comme Napoléon pendant la campagne de France, mais finalement se soumet : Téchiné multiplie ensuite les scènes ou un Damien quémandeur vient supplier un Tom puissant et charnel qui le repousse. L’hypothèse d’une complémentarité positive n’est même pas envisagée ici : Tom possède à la fois la grande santé du corps et celle de l’esprit : il obtient la meilleure note du cours philosophie sur un sujet comparant les philosophies d’orient et d’occident. Il ne laisse au blanc-bec que « b²-4ac », le monde froid et théorique des mathématiques. Je ne sais pas comment prendre ce film. L’immigration est une énergie qui vient d’ailleurs et qu’il est sain de ne pas refuser. Mais ce film met en scène une dégradation de l’image du soi occidental qui en vient à considérer l’autre comme un sauveur voire un maître. Tant que ce processus de sape reste l’élagage d’un ego occidental grisé de lui-même, c’est certainement utile, quoique la méthode méprisante et culpabilisante me semble douteuse. Mais où et quand s’arrêter ? Ou bien est-ce que Téchiné a souhaité provoquer, comme Houellebecq dans Soumission
    Sylvain P
    Sylvain P

    343 abonnés 1 361 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 avril 2016
    Décevant tant sur la forme que sur le fond, le nouveau Téchiné n'est sauvé que par les excellentes prestations de Kacey Mottet Klein et Sandrine Kiberlain. Cette histoire d'amour-haine un peu parachutée qui se résout « comme dans un film » n'est absolument pas crédible et Corentin Fila, bien que taciturne à souhait, est bien trop vieux pour jouer ce personnage. A mi-parcours, le film tourne au mélo pour n'en plus sortir. Restent quelques scènes fortes, portées par l'interprétation.
    Yves G.
    Yves G.

    1 511 abonnés 3 530 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2016
    Je suis loin de partager l'enthousiasme critique suscité par le dernier film d'André Téchiné.

    Damien et Thomas ont dix-sept ans. Damien est un fils de bonne famille : papa militaire (bien vieux pour être lieutenant... mais, bon, Téchiné n'a pas faut l'IHEDN) et maman médecin de campagne. La situation de Damien est plus compliquée : il est le fils adoptif d'un couple d'agriculteurs installé en montagne à plus d'une heure du lycée. Aussi lorsque la mère de Thomas est hospitalisée, la mère de Damien propose d'héberger Thomas chez elle. Le hic : les deux adolescents se détestent autant qu'ils s'attirent.

    Le scénario est cosigné par Céline Sciamma ("Tomboy", "Bande de filles") et on y retrouve le thème qui lui est cher de la confusion des sentiments chez les adolescents. Damien est attiré par Thomas ; mais Thomas n'est pas au clair avec ses désirs. C'est Marianne, la mère, lumineusement interprétée par Sandrine Kiberlain, qui les rapprochera lentement.

    Le Monde s'enthousiasme pour ce portrait d'une "adolescence pleine de grâce et de fureur". Au contraire, j'ai trouvé ce trio peu crédible sinon caricatural. Les éclats de rire gênés de la salle devant certaines scènes particulièrement ratées en témoignent. La description des premières amours adolescentes, homo ou hétéro, est un sujet cinématographique éculé. André Téchiné lui-même l'a déjà traité avec autrement plus de succès dans "Les Roseaux sauvages".
    lacroix p
    lacroix p

    20 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 avril 2016
    J'ai mis deux étoiles pour les acteurs tous excellents. Et ils ont du mérite, celui d'essayer de donner de la vraisemblance à leur personnage caricatural : médecin de campagne bonasse, ados virils gay refoulés mais très vite fan de sodomie, etc. Le film est une succession de scènes simplistes et exemptes de toute émotion, quant au thème de l'éclosion de l'homosexualité, je conseille au scénariste de quitter les fantasmes douteux pour se rapprocher de la vie réelle, pour un prochain film peut être
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 avril 2016
    Venant d'André Téchiné, je me doutais un peu de quoi ce film sur 2 jeunes hommes presque majeurs allait parler, et c'est entre autre pour cela que je voulais voir ce film.
    Résultat, j'ai failli partir plusieurs fois de la salle, tellement l'histoire m'agaçait.
    A part vers la fin (le film dure 2 h ! mon Dieu que parfois c'est long 2 h ) où le film devient plaisant, le reste est sans intérêt.

    Ca ne vient pas des acteurs qui sont tous très bien dans leur personnage mais de l'histoire en elle-même qui n'est pas crédible.
    2 lycéens de la même classe ne s'entendent pas et en vont même jusqu'à se battre, sans raison. A aucun moment on ne peut supposer qu'il puisse y avoir une quelconque attirance physique entre les 2. Mais au cinéma tout est possible et chez Téchiné, un coup de baguette magique et ce qui était inconcevable se réalise.

    Thomas, le beau métis secret et distant devient gentil et sociable au contact de la mère de Damien, médecin, ce qui a l'art d'agacer Damien (sans réelle personnalité) qui a besoin de se défouler sur un punching ball quand il s'ennuie.

    Sandrine Kiberlain joue une maman médecin très cool et dévouée qui va affronter un malheur (prévisible), histoire de dire qu'il n'y a pas que l'histoire des 2 garçons qui intéresse le réalisateur.

    Pour apprécier ce film, il faut soit être un fan d'André Téchiné et aimer les histoires tordues et peu vraisemblables ou simplement être maso car j'ai trouvé vraiment pénibles et limite grotesques les relations entre Damien et Thomas.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 mars 2016
    J'attendais avec impatience ce nouveau film. Après Les roseaux sauvages, les témoins et avoir visionné la bande annonce, je dois dire que je suis assez déçu. Ce film pêche avant tout par son manque de réalisme; en sortant de la séance, je me suis dit: "ce film est le fantasme d'un vieil homme sur une histoire d'amour adolescente". Un adolescent adopté dans un famille de paysans de montagne en Ariège...bon...il n'a pas le bac mais a son permis...bon pourquoi pas...il adore se promener la nuit dans la neige, voir des empreintes d'ours (mais pourquoi l'ours?) et se baigner nu dans un étang...bon... La vision de l'école est aussi datée: on ne distribue plus les notes et les copies comme cela, on ne récite plus tellement Rimbaud en bac S...surtout en terminale. Le rendez-vous avec l'agriculteur qui tourne à la visite d'élevage...euh oui...
    Du côté positif, l'interprétation de Sandrine Kiberlain, la sensibilité du jeune Damien.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 mars 2016
    Un scénario "cousu de fil blanc".....peut étre ai je eu le tort de regarder la bande annonce ?
    Un manichéisme socio-économico-génético.....difficile à supporter.
    Sandrine Kiberlain maquillée et habillée " dépressive asthénique amaigrie et même vieillie" ...........
    Les paysages sont effectivement superbes ( images commandées par l'office du tourisme?), le documentaire sur l'élevage des bovins, caricatural (Commandé par la FNSEA ?)......Bref : déçu.
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