Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
On reconnaît la patte de Téchiné, ses obsessions et ses motifs, mais il en ajoute d’autres, essentiels. Faire couple, faire groupe, faire corps.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Eric Libiot
On le croyait perdu... André Téchiné revient avec une histoire d'amour magnifique.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Quand on a 17 ans", qui signale le retour d’André Téchiné au sommet du cinéma français, explore un territoire fabuleux, l’adolescence, pour en exalter l’ardeur, pour cristalliser ce moment où la sensation d’être unique au monde est si forte qu’elle en devient vraie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Plus de vingt ans après "Les Roseaux sauvages", André Téchiné filme l’adolescence des années 2010, ses désirs, ses errances, son sérieux, sa violence. Un véritable retour en grâce.
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
C'est un mélo qui se coltine le quotidien, une histoire d'amour qui n'évacue jamais le temps présent (...) Le mélange est casse-gueule ; qu'il soit aussi réussi élève le film vers les sommets.
Critikat.com
par Clément Graminiès
Loin des bavardages empesés qui alourdissaient ses deux précédentes réalisations, cette nouvelle livraison surprend même par son dépouillement et par sa belle capacité à circonscrire l’enjeu central à un petit territoire (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par William Lurson
On n'avait pas vu un film du réalisateur aussi touchant depuis longtemps, qui sache à nouveau conjuguer ambitions romanesques et accompagnement aussi vif de ses personnages. "Quand on a 17 ans" s'inscrit à priori dans le genre rebattu du film sur l'adolescence, mais il prend la forme inattendue d'un film d'action.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Cette chronique douce-amère sur l'adolescence et ses bouleversements offre à Sandrine Kiberlain l'un de ses plus beaux rôles.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
À 73 ans, André Téchiné se révèle un observateur inspiré de l'adolescence et signe un film résolument moderne.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par La Rédaction
Un film physique, où ce sont les corps qui parlent le mieux. Où la nature des quatre saisons est omniprésente – après les roseaux, les sapins sauvages. Et où, sous le regard d’adultes étonnamment bienveillants (Sandrine Kiberlain en tête), les deux jeunes interprètes sont exceptionnels de naturel, de spontanéité, d’énergie et même de naïveté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Téchiné revient sur les émois et les écorchures vives de l’adolescence, en retrouvant un peu la grâce et la sensibilité de ses roseaux sauvages.
Le Figaroscope
par Armelle Héliot
Le charme du film tient à ce qu'il a de très aigu sur l'adolescence et à ses élans romanesques. On songe au Tonio Kröger de Thomas Mann. Que leur restera-t-il de ces années ? Des souvenirs douloureux et doux. En mère bienveillante, Sandrine Kiberlain est superbe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Deux révélations qui confirment qu'André Téchiné reste l'un de nos meilleurs dénicheurs de talents.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Avec l'apport de Céline Sciamma au scénario, André Téchiné signe son film le plus accompli depuis “Les Témoins” : une chronique initiatique d'une grande douceur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Clément Ghys
Ce n’est que du conditionnel, et c’est pourtant là que le film touche le plus, quand il nous invite à retrouver un temps qui n’est jamais advenu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par La Rédaction
Il y a quelque chose de très beau, presque utopique dans la manière de ne jamais opposer les classes sociales, de montrer une communauté humaine qui s’entraide devant les difficultés de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
Tant qu'il reste de l'ambiguïté, (...) Téchiné, qu'on avait un peu perdu ces derniers temps, séduit. Et atteint son but : prolonger la jeunesse par les films. Aller vers la vie.
Télé 2 semaines
par Jérémy Mingot
Et en dépit d’un final un poil brouillon, on retrouve avec plaisir ce héros à poils, toujours aussi gourmand, maladroit et terriblement attachant. Même si la nouvelle famille du héros pourrait presque lui voler la vedette…
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télérama
par Louis Guichard
Malgré quelques scènes sur le fil, ce film-là est le plus vibrant de son auteur depuis "Les Témoins", en 2007.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
En une année des relations entre deux lycéens que tout semble opposer, André Téchiné brosse le portrait subtil d’adolescents en quête d’eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Téchiné parvient malgré tout à nous émouvoir. Son talent de metteur en scène et sa sensibilité y font beaucoup.
Première
par Christophe Narbonne
A posteriori, certains personnages semblent avoir une fonction purement utilitaire et gâchent un peu la bonne impression laissée par le trio principal, formidablement incarné.
La critique complète est disponible sur le site Première
VSD
par Olivier Bousquet
Deux ados pris dans les rouages d’un amour qui les dépasse. Frustrant.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Téchiné revient aux troubles amoureux de la jeunesse, non sans empathie pour ses personnages, mais l’initiation adolescente arpente des reliefs dramatiques moins tumultueux que certaines de ses œuvres antérieures plus vertigineuses et plus viscérales.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Si avec les années, la fièvre « à la Téchiné » paraît de plus en plus décrétée et son lyrisme plus contrit, il reste toujours un cinéaste parfois inspiré (…). De quoi regretter que le « romanesque » de papier ait pris à ce point le pas sur ses tropismes paysagers ou picturaux qui auraient pu davantage aimanter la fiction.
Bande à part
On reconnaît la patte de Téchiné, ses obsessions et ses motifs, mais il en ajoute d’autres, essentiels. Faire couple, faire groupe, faire corps.
L'Express
On le croyait perdu... André Téchiné revient avec une histoire d'amour magnifique.
Le Monde
"Quand on a 17 ans", qui signale le retour d’André Téchiné au sommet du cinéma français, explore un territoire fabuleux, l’adolescence, pour en exalter l’ardeur, pour cristalliser ce moment où la sensation d’être unique au monde est si forte qu’elle en devient vraie.
Les Inrockuptibles
Plus de vingt ans après "Les Roseaux sauvages", André Téchiné filme l’adolescence des années 2010, ses désirs, ses errances, son sérieux, sa violence. Un véritable retour en grâce.
Studio Ciné Live
C'est un mélo qui se coltine le quotidien, une histoire d'amour qui n'évacue jamais le temps présent (...) Le mélange est casse-gueule ; qu'il soit aussi réussi élève le film vers les sommets.
Critikat.com
Loin des bavardages empesés qui alourdissaient ses deux précédentes réalisations, cette nouvelle livraison surprend même par son dépouillement et par sa belle capacité à circonscrire l’enjeu central à un petit territoire (...).
Culturopoing.com
On n'avait pas vu un film du réalisateur aussi touchant depuis longtemps, qui sache à nouveau conjuguer ambitions romanesques et accompagnement aussi vif de ses personnages. "Quand on a 17 ans" s'inscrit à priori dans le genre rebattu du film sur l'adolescence, mais il prend la forme inattendue d'un film d'action.
Femme Actuelle
Cette chronique douce-amère sur l'adolescence et ses bouleversements offre à Sandrine Kiberlain l'un de ses plus beaux rôles.
Franceinfo Culture
À 73 ans, André Téchiné se révèle un observateur inspiré de l'adolescence et signe un film résolument moderne.
L'Obs
Un film physique, où ce sont les corps qui parlent le mieux. Où la nature des quatre saisons est omniprésente – après les roseaux, les sapins sauvages. Et où, sous le regard d’adultes étonnamment bienveillants (Sandrine Kiberlain en tête), les deux jeunes interprètes sont exceptionnels de naturel, de spontanéité, d’énergie et même de naïveté.
Le Dauphiné Libéré
Téchiné revient sur les émois et les écorchures vives de l’adolescence, en retrouvant un peu la grâce et la sensibilité de ses roseaux sauvages.
Le Figaroscope
Le charme du film tient à ce qu'il a de très aigu sur l'adolescence et à ses élans romanesques. On songe au Tonio Kröger de Thomas Mann. Que leur restera-t-il de ces années ? Des souvenirs douloureux et doux. En mère bienveillante, Sandrine Kiberlain est superbe.
Le Point
Deux révélations qui confirment qu'André Téchiné reste l'un de nos meilleurs dénicheurs de talents.
Les Fiches du Cinéma
Avec l'apport de Céline Sciamma au scénario, André Téchiné signe son film le plus accompli depuis “Les Témoins” : une chronique initiatique d'une grande douceur.
Libération
Ce n’est que du conditionnel, et c’est pourtant là que le film touche le plus, quand il nous invite à retrouver un temps qui n’est jamais advenu.
Paris Match
Il y a quelque chose de très beau, presque utopique dans la manière de ne jamais opposer les classes sociales, de montrer une communauté humaine qui s’entraide devant les difficultés de la vie.
Positif
Tant qu'il reste de l'ambiguïté, (...) Téchiné, qu'on avait un peu perdu ces derniers temps, séduit. Et atteint son but : prolonger la jeunesse par les films. Aller vers la vie.
Télé 2 semaines
Et en dépit d’un final un poil brouillon, on retrouve avec plaisir ce héros à poils, toujours aussi gourmand, maladroit et terriblement attachant. Même si la nouvelle famille du héros pourrait presque lui voler la vedette…
Télérama
Malgré quelques scènes sur le fil, ce film-là est le plus vibrant de son auteur depuis "Les Témoins", en 2007.
La Croix
En une année des relations entre deux lycéens que tout semble opposer, André Téchiné brosse le portrait subtil d’adolescents en quête d’eux-mêmes.
Le Journal du Dimanche
Téchiné parvient malgré tout à nous émouvoir. Son talent de metteur en scène et sa sensibilité y font beaucoup.
Première
A posteriori, certains personnages semblent avoir une fonction purement utilitaire et gâchent un peu la bonne impression laissée par le trio principal, formidablement incarné.
VSD
Deux ados pris dans les rouages d’un amour qui les dépasse. Frustrant.
aVoir-aLire.com
Téchiné revient aux troubles amoureux de la jeunesse, non sans empathie pour ses personnages, mais l’initiation adolescente arpente des reliefs dramatiques moins tumultueux que certaines de ses œuvres antérieures plus vertigineuses et plus viscérales.
Cahiers du Cinéma
Si avec les années, la fièvre « à la Téchiné » paraît de plus en plus décrétée et son lyrisme plus contrit, il reste toujours un cinéaste parfois inspiré (…). De quoi regretter que le « romanesque » de papier ait pris à ce point le pas sur ses tropismes paysagers ou picturaux qui auraient pu davantage aimanter la fiction.