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    On voulait tout casser
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "On voulait tout casser" et de son tournage !

    Confirmer l'essai

    On voulait tout casser est le deuxième film de Philippe Guillard, ancien rugbyman passé à la réalisation et ayant connu un joli succès en 2011 avec Le Fils à Jo porté par Gérard Lanvin. Le film avait attiré 1 238 549 spectateurs dans les salles obscures. Joli score pour un premier long métrage !

    Un film de potes

    Le film de Philippe Guillard se penche sur l'histoire d'amitié qui dure depuis plus de trente ans entre cinq hommes. Avec le sujet de l'amitié masculine, le metteur en scène ne devrait pas manquer d'intéresser le public, toujours très friand de ce genre d'histoire, allant des classiques du genre comme Vincent, François, Paul et les autres de Claude Sautet ou Un Eléphant ça trompe énormément de Yves Robert aux récents Coeur des hommes de Marc Esposito et Amitiès sincères de Stéphan Archinard et François Prévôt-Leygonie.

    Un casting hétéroclite

    On voulait tout casser repose avant tout sur le casting de ses cinq acteurs principaux mêlant une star des comédies populaires (Kad Merad), des comédiens venus davantage du cinéma d'auteur (Charles Berling, Benoît Magimel) et la nouvelle génération d'acteurs comiques (Vincent Moscato, Jean-François Cayrey). Côté rôles féminins, Elsa Mollien, repérée dans la série Crossing Lines et Anne Charrier, vue récemment, dans Chefs, complètent le casting.

    Retrouvailles

    Hormis Charles Berling et Jean-François CayreyPhilippe Guillard connaissait bien Kad MeradBenoît Magimel et Vincent Moscato. Dans le cas de ce dernier, il s'agit même d'une amitié de plus de trente ans puisque tous les deux se sont auparavant côtoyés sur les terrains de rugby avant de logiquement se retrouver pour Le Fils à Jo, le premier film de Philippe Guillard en tant que réalisateur.

    Une ville clé

    On voulait tout casser fut en partie tourné à Fécamp en Seine-Maritime. Un choix qui s'explique par plusieurs raisons, d'une part pratiques puisqu'il s'agissait pour le réalisateur de trouver une station balnéaire assez proche de Paris. D'autre part, la ville et son port ont séduit ce dernier qui y a trouvé un charme anglo-saxon qu'il souhaitait conférer au film.

    Un producteur qui a du flair

    Cyril Colbeau-Justin, l'un des producteurs, est en quelque sorte la tête pensante du casting du film. C'est en effet lui qui a soufflé les noms de Kad Merad, Charles Berling et Jean-François Cayrey au réalisateur.

    Des rôles féminins sans clichés

    Film sur l'amitié masculine, On voulait tous casser est également un film qui donne une certaine importance aux femmes. Philippe Guillard a souhaité sortir des clichés dans lesquels sont souvent enfermés les personnages féminins au cinéma. Il explique : "Les rôles féminins étaient primordiaux pour moi : je ne voulais surtout pas tomber dans la caricature de la femme trompée ou castratrice."

    Une amitié de jeunesse

    Le groupe des cinq amis de On voulait tout casser a quelque chose d'autobiographique pour Philippe Guillard. En effet, le réalisateur avait également une bande d'amis fidèles dans sa jeunesse où, comme dans le film, ils étaient cinq. Cette époque lui a laissé des souvenirs précis et il s'est notamment inspiré d'un de ses amis d'antan pour construire le personnage de Pancho, incarné ici par Jean-François Cayrey.

    Une genèse ancienne

    Le projet On voulait tout casser est assez ancien puisqu'il est antérieur à celui du Fils à Jo. Philippe Guillard a souhaité évoquer des souvenirs de jeunesse de l'époque où il était encore adolescent et jouait au rugby dans l'équipe de Fontainebleau. Ce passage dans ce club lui a permis de nouer de solides amitiés avec certains joueurs. A partir de ce motif de l'amitié, le réalisateur a alors ensuite brodé toute l'histoire de son film : "Ensuite, j'ai imaginé un personnage qui revient au pays après un souci professionnel ou de santé et qui reprend contact avec ses potes de jeunesse..."

    Faire éclater les non-dits

    Le film de Philippe Guillard repose sur l'idée des secrets, des non-dits : "Bien entendu : les secrets soudent un groupe. La phrase essentielle du film selon moi est "finalement on boit des bières ensemble depuis 30 ans mais on ne se connaît pas vraiment"... C'est très masculin comme attitude. Les filles, elles ne boivent peut-être pas des coups ensemble mais sont capables de se dire plus de vérités.  Nous, nous avons besoin d'un évènement, une fâcherie, un drame pour le faire ! Je crois que tout le monde a vécu la scène de la Tour d'Argent : ces dîners entre potes où, 20 ans après, on apprend quelque chose sur l'autre. Les silences et les non-dits sont importants mais un jour, au hasard d'une question anodine ou d'un verre de trop, tout est enfin mis sur la table !", témoigne le metteur en scène.

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