Derniers Avis : The Predator - Page 29

Shane Black ayant fait partie du casting du film de 87 j'imaginais qu'il pourrait nous proposer des idées intéressantes mais non. C'est un mauvais film d'action, un mauvais film de science fiction, l'aspect comédie qui n'a pas sa place dans le film est également raté et plus on avance dans le film plus c'est du grand n'importe quoi jusqu'à une fin absolument absurde et incohérente. Je ne m'attendais pas à un film à la hauteur de l'original mais là on assiste à un massacre de ce qu'est predator. À oublier d'urgence...

Septique, je pense que c' est le bon mot, je suis la série des films predators depuis le premier et pour moi ça évoluait bien jusqu'au Aliens VS Predators qui me semblait un bon départ pour de nouvelles histoires. La on nous sert un film bublegom, quasi tout public, pour moi Predators c' est pas ca, d'accord, il peut y avoir des alliances de circonstance entre eux et les humains, mais de base, ce sont des tueurs, le superpredator qui choisit un enfant comme cible, les predators que j'ai connu l'auraient certainement tué en lui arrachant la tête dans une scène bien gore...
Désolé, mais pour moi, les mômes n'ont pas leur place dans Predator..

ouffff.... vraiment déçu ,je ne m'attendais pas a aussi catastrophique
hormis le super predator, mais a pars ça ,tout a jeter
le réalisateur , ancien acteurs du premier opus a massacré cet icône . et pourtant je suis bon public

Série B limite gore. Dans la veine du remake de La Colline a des Yeux. Le côté humour est un peu bancale (notamment les scènes d'humour avec Olivia Munn). J'ai bien aimé la scène clin d'oeil quand Olivia Munn saute sur le prédator géant.
Se regarde sans réfléchir. Pas le meilleur prédator mais pas le pire non plus (cf celui avec Adrian Brody).

Beaucoup de cinéastes ont des fantasmes, en particulier faire renaître des classiques de l'époque - Denis Villeneuve pour Blade Runner, George Miller pour Mad Max, Ridley Scott pour Alien ou bien J.J Abrams pour Star Wars - et voilà que Shane Black tente de faire revivre les Predators du vétéran John McTiernan ! Soit plus de trente ans après l'original, The Predator se déroule après les deux premiers et donc avant le troisième. Un reboot qui tente de renouer la fraîcheur du tome original sur une histoire spoiler: au sein d'une banlieue et non dans une jungle...
Des predators plus dangereux et plus intelligents faisant menace à l'espèce humaine. Le réalisateur d'Iron Man 3 tente de proposer autre chose sur le papier, ne recopiant guère les anciens épisodes et respectant également les codes du passé... C'est à prendre ou à laisser ! The Predator est clairement une série B décomplexée car tout explose de partout, le sang gicle avec des corps et des têtes découpées en morceaux. Tout ce que Venom et The Meg aurait dû être sur le cahier des charges... Et pour couronner le tout, Black y injecte son humour qui n'est pas à prendre au sérieux ! Il reprend sa formule habituelle spoiler: - des héros énervés et virils, des rires, des effets spéciaux à la pelle -
mais n'atteint pas la folie de son précédent film c'est à dire The Nice Guys. Des personnages nullement développés et très clichés spoiler: (la belle scientifique, le père qui n'assure pas...)
qui ne sont qu'un prétexte pour seulement divertir, sans trop se poser de questions... Cependant, Shane Black ne parvient pas à faire jouir son public de son siège parce que spoiler: les moments tordants ne font que baisser la tension et de ce fait, les scènes d'action se révèlent moins captivantes (peut être celle dans le laboratoire qui sort du lot et une autre rappelant l'Alien Covenant de Scott).
Et de nombreuses répétitions rend le film longuet et assez éprouvant... En l'état, The Predator version 2018 est un film de science-fiction à l'américaine potable, sans grand génie qui ne détrônera absolument pas son aîné avec Arnold Schwarzenegger ! Il est évident que Predator est dans l'ombre d'Alien, c'est pour cette raison qu'il ne connaît pas vraiment de succès viable ! Et dire que spoiler: la conclusion annonce une énième suite...
Dès fois, relancer une saga est parfois une mauvaise idée : The Predator en est l'exemple...

Peut-être aurons-nous une agréable surprise...pas comme les série Aliens vs Predator...
En attendant le nouveau film de 2018, une petite série parodique décalé diffusé à partir de Septembre 2017 (reprenant les certaines scène du Predator 1), devrait être diffusée sur Youtube sur la chaîne LorraineTvADAMs.

Chacune Dr Mrs critiques sont modéré alors que j'ai déjà vu bien pire et lu bien pire l impression de pas pouvoir dire ce Que je veux !!! :( alors Predator 4 sera super sain Schwarzenegger ce sera le blockbuster de 2017 ou 2018 je sais pas ça sera fantastique aussi fantastique Predators en 2010 ou Predator 2 en 1992 je crois c'est sûr ça va déchirer grave comme disent les jeunes

Un excellent film on a passé un pur moment l'action est au rendez vous, le sang gicle comme il le faut, si je ne me trompe pas c'est la suite des deux premiers de 87 et 97 ils en font référence dans le film. Je préfère milles fois les predator à aliens. Et surtout la fin nous mets en haleine. J'espère qu'une suite est prévue. En tout cas je le recommande à tout le monde.

Bon eh bien je comprends pourquoi ce film polarise tant :

The Predator va à l'encontre de tout ce qui se fait aujourd'hui, en revenant à un cinéma très 80's (Shane Black oblige), tant dans la violence graphique montrée à l'écran que dans la "fuck you" attitude.

Loin de brosser le grand public dans le sens du poil, on revient à quelque chose de plus brut, complètement 1er degré et souvent jouissif.

MAIS malheureusement ce n'est pas un triomphe, pour plusieurs raisons.

Le film prend en compte Predator et la suite de 90, et nous fait suivre Quinn McKenna, sniper en pleine mission dans la jungle qui tombe sur un Predator.

De fil en aiguille, il se retrouve au sein d'une bande de soldats marginaux à la poursuite du Predator, tentant à la fois de le tuer mais également de protéger son fils d'une autre sorte de Predator plus imposant.

Il y a 2 manières d'aborder ce film : soit on s'attend à un survival plein de tension avec des Yautja dans la pénombre, soit on prend le film pour ce qu'il est, un film d'action décomplexé et fun où des personnages plus improbables les uns que les autres se retrouvent au prise avec des Predators.

Car Shane Black a bien compris que tenter de recréer les sensations du chef-d'oeuvre de McTiernan aboutirait soit à un échec (Predators en 2010), soit une redite complètement inutile d'une pierre angulaire du cinéma d'action contemporain.

Finalement, et à l'image d'un The Nice Guys, L'Arme Fatale ou Le Dernier Samaritain, le film lorgne énormément du côté de la comédie tout en prodiguant des séquences d'action "on camera" où têtes, membres et colonnes vertébrales volent dans tous les sens, le tout saupoudré de punchlines bien senties.

Parfait pour l'amateur de films de genre et de séries B qui en a dans le pantalon.

Malheureusement, le film n'est pas dénué de défauts, dont le studio est responsable via des reshoots intempestifs, un montage absolu perfectible dans la dernière partie du film, mais également de la part du réalisateur.

L'intrigue se suit avec plaisir, est rythmée, menée par des personnages jouissifs : en tête Keegan Michael-Key (compère de Jordan Peele) accro à la punchline, Thomas Jane dans un perso de fêlé atteint du syndrome de Gilles de la Tourette (comme Shane Black), et enfin l'excellent Streling K. Brown en Will Treager, sorte d'antagoniste dont la coolitude et la décontracte suinte par tous les pores (le voir rentrer dans un vaisseau alien lunettes de soleil sur le nez et mâchouillant du chewing-gum n'a pas de prix

Le reste du casting est bon, que ce soit Bboyd Hollbrook en meneur d'hommes, Olivia Munn en scientifique intrépide, Trevante Rhodes en frère d'armes ou bien Jacob Tremblay.

Le problème vient malheureusement d'un film d'1h40, où tout s'enchaine vitesse grand V, sans atteinte de la structure du récit mais sur sa narration.

C'est d'autant plus flagrant dans la dernière ligne droite (celle sujette aux reshoots) allié à un montage expéditif,où des personnages importants meurent en 1 seconde tandis que d'autres semblent se téléporter d'un point A à un point B sans réelle cohérence temporelle.

Autre conséquence : le récit n'a que très peu de temps pour se poser, et ne met pas forcément ce temps à contribution pour installer des scènes de tension.

C'est d'autant plus dommage car les Yautjas sont très bien mis à l'honneur : athlétiques, badass, des machines à tuer extrêmement efficaces.

Shane Black n'hésite pas à nous les montrer sous toutes les coutures, conscients que le public connait cette créature depuis plusieurs décennies, sans jamais la désacraliser ou la reléguer à un simple alien sous-fifre à dégommer.

Nouveau Predator oblige : l'Ultime est globalement réussi, malgré quelques plans finaux en CGI et en plein jour assez voyants (tout comme les chiens, assez inutiles au récit d'ailleurs). Imposant du haut de ses 3m et introduit de fort belle manière, il offre quand même son lot d'action efficace, gore et assez jouissif (cf une scène dans la maison des McKenna

Dôté d'un enjeu final dérisoire (la scène finale du film est d'ailleurs complètement mauvaise et donne l'impression de devoir respecter un cahier des charges), The Predator arrive à conserver l'intérêt de son intrigue via ses interactions entre personnages (une scène de motel notamment où Shane Black s'en donne à coeur joie), et la progression qui en découle malgré des enjeux simplistes, bien loin de la puissance évocatrice du film de McTiernan.

Les scènes d'action sont dans l'ensemble bonnes, souvent très généreuses et graphiques, revenant à un aspect organique des films d'action 80's et 90's (le recours à de vrais effets pyrotechniques par exemple) , sans toutefois transcender le médium, avec une mise en scène efficace qui aurait gagné parfois un peu de dynamisme (et bien sûr un meilleur montage plus aéré dans sa seconde partie).

L'OST de Henry Jackman n'a pas de fausse note, emprunte le souvent les sonorités d'Alan Silvestri, sans prodiguer de nouveaux thèmes mémorables.

En conclusion The Predator est un film d'action fun, décomplexé, doté de défauts de fabrication qui nuisent à une 2nde partie assez expédiée là où les personnages auraient pu mieux évoluer et finir sur une intrigue plus efficace au lieu d'un final en eau de boudin, mais le tout reste cependant un vrai plaisir en tant qu'actioner débridé, proposant même quelques-unes des meilleures lignes de dialogue écrites par son scénariste-réalisateur,et truffé à intervalles réguliers de trouvailles de mise en scène qui valent à elles seules le visionnage.

Si vous aimez ce genre de divertissement bien loin du lissage habituel et non désincarné, c'est un vrai plaisir, sans être le fils spirituel du film de 87 ou un volet extrêmement marquant de par ses tares de fabrication.

Shane Black s'éclate avec cette suite directe du second opus, omettant des faits interstellaires qui ne donnent pas chers de la peau d'Adrian Brody. L'évolution de nos chasseurs préférés est le pitch et côté indignation scénaristique, comme pour Predators, on embarque dans de la pure série B de luxe. Quelques punchline bien sentis et un casting pour grand renfort, on rigole ainsi des caractères nerveux présents. L'abattage de scène d'action nous maintien à bord avant d'être finalement totalement éjecté dans la scène finale. Sans pour autant se jetter précipitamment dans un réacteur, on en a également mare avouons-le. En tout cas, c'est certain, le jour où les Predators viendront sur terre pour nous piquer nos œuvres cinématographiques, ils n'emporteront que le premier voir le second, et du pop corn s'ils n'en n'ont pas.

« Tristesse »

Voilà quelques choses qui définit bien ce film, mais pas dans l’idée d’un drame où les émotions sont présentes.

C’est encore pire que AVS requiem, on dirait une parodie non assumée.

Dommage

Ce film a du bon et du très mauvais malheureusement. Les effets spéciaux certains sont réussi, et d'autre on dirait qu'ils date de 20 ans. Le casting est horrible, les soi-disant militaires n'ont aucun charisme. Et surtout comme tout les blockbusters il y a une sur en chair ridicule. spoiler: Un predator toujours plus grands toujours plus fort, et surtout des molosses predator ?!

Personnellement je me suis éclaté devant ce film car il a quand même une sacrée pêche! Les personnages principaux sont excellents et les dialogues c'est du pur Shane Black! Alors certes c'est peut-être pas parfait mais y'a quelque chose la dedans qui fait qu'on s'amuse vraiment. Puis soyons honnête voir une équipe de vrais barjots qui défouraille un super prédator c'est juste jouissif! A noter d'ailleurs que certaines scènes d'action valent vraiment leur pesant de cacahuètes!

Des effets spéciaux tonitruants avec de bonnes scènes d'action. L'histoire quant à elle est ultra basique mais permet d'en apprendre plus au sujet des predators. Une légère dose d'humour a été rajoutée mais cela ne correspond en rien à la saga. Même si ce film est sensiblement différent du premier il reste efficace et comblera les fans.

un film tailladé a la serpe au montage, ce qui le rend completement sans queue ni tete. Ajoutez a cela des personnages absolument pas crédibles pour un sou, des situations absurdes et un scenario improbable et vous obtenez un joyeux bordel. Heureusement la mise en scene est bonne et les acteurs également, mais ca ne peut sauver le.film...