Derniers Avis : The Predator - Page 19

Trente ans plus tard, revoici la vilaine bébête sur notre jolie planète et comble du bonheur pour elle, l'ami Schwarzy n'est plus là pour lui botter le train, en revanche pour nous autres cinéphiles ce n'est pas la même limonade ... Pour commencer, pour les chanceux qui ont découvert l'original avant celui-ci, oubliez le monument de tension qu'était le tout premier opus, ici on comprend d'emblée que l'on vient pour se marrer et reluquer quelques giclées de sang rien de plus ! Très franchement ça peut tout à fait plaire au néophyte mais le prédatorien aguerri risque d'être surpris. Le casting ne fait déjà pas rêver, mis à part Jacob Tremblay qui est venu se perdre ici, mais c'est surtout l'atmosphère qui pose problème, rien n'est pris au sérieux, on ne fait que rire (ou sourire) aux vannes des personnages après avoir été parachuté dans un scénario famélique avec une scène d'entrée visuellement bien dégueu. Après, passée cette plongée dans l'espace, l'ensemble niveau réalisation est plus que correct, les SFX sont bons et le maquillage également mais cette nouvelle version n'a aucune âme, elle est juste là pour divertir, ce qu'elle fait au demeurant mais ça ressemble au travail d'un "yes man" sans ambition au final, d'autant plus dommage que le réalisateur Shane Black faisait parti de l'aventure de 1987 ...

Quelle déception !!! Déjà, la bande-annonce donnait un bon indice sur la qualité de ce "film", et, malheureusement, il n'y a pas eu la moindre bonne surprise. Au bout de 15 minutes, j'ai senti que ça allait être difficile d'aller au bout de ce navet : le scénario est affligeant, les acteurs totalement perdus dans une suite de scènes toujours aussi plus absurdes les unes que les autres. Autant j'avais adoré le 1er opus, autant les 2 suivants ont été à des années lumière de pouvoir jouer crédiblement la comparaison. A voir uniquement si on a du temps à perdre ... ou après une soirée alcoolisée ;)

cette année on relance les vieilles franchises, car peut être les scénaristes d'hollywood, ont plus d'inspirations, et des fois ils feraient mieux de s'abstenir, car ce film est plus proche d'une série Z, l'histoire est longiligne on passe d'une scène a une autre sans transitions, il y a aucune cohérence, et les 15 dernières minutes du grand n'importe quoi, film a éviter 6.5/20

J'ai beau être un fan inconditionnel de cette figure emblématique du plus grand frimeur de l'espace, il arrive un moment où cela devient compliqué de prendre du plaisir devant un film bâclé :
- La lisibilité des scènes d'action est inexistante,
- La 3D n'apporte absolument rien mis à part assombrir l'image jusqu'à la rendre incompréhensible (c'est pas la peine d'avoir un plastron d’invisibilité mon gas ! De toute façon on te voit pas ^^).
- La où la franchisse se prenait au sérieux ce qui donnait de la force au film, là on hérite d'une équipe de déconneurs qui s'amusent bien face à la mort.
spoiler: Si il n'y avait que cela, on pourrait se dire que c'est juste un loupé (de plus?) dans la franchise, mais quand arrive l'heure de la fin du film, et que l'on nous présente l'armure de "Iron Man" comme étant le salue de l'humanité, là j'ai touché le fond. La où c'est dramatique, c'est que cette fin ouvre sur des suites qui promettent un avenir des plus navrants. Désormais, nous sommes prévenus, Predator n'est plus qu'une bête de foire pour ados mordus de super héros.

Comment expliquer la laideur congénitale du produit fini, la nullité d’un scénario qui semble reposer sur l’enchaînement d’improvisations dramatiques, les coupes au montage qui se ressentent cruellement, le jeu d’acteurs caricatural et inerte ? Ce que l’on retiendra de The Predator c’est qu’à force de renchérir sur l’œuvre originelle et originale à grands coups de gadgets minables et d’armures à la Marvel, le mythe s’affaisse, se désintègre peu à peu sous nos yeux meurtris. Grand amateur de blagues, Shane Black semble beaucoup s’amuser avec ses militaires à l’humour raffiné ; son statut de scénariste du premier volet et de figurant lui accordait, peut-être, une légitimité certaine pour prendre les commandes de cette suite. Mais il faut être sacrément égoïste, surtout très imbécile, pour faire joujou à la guerre pendant 1h40 en pensant faire du cinéma. Le film blesse le spectateur par l’irrespect qu’il lui porte, méprise la mythologie de son monstre en le changeant en marionnette grotesque toujours plus grosse et toujours plus forte. Métaphore sexuelle bien masculine certainement. C’est honteux voilà tout.

En voyant la bande annonce, je me suis dit il va valoir 2/5 pas plus. J'y vais pour l'action et voir les chiens prédators bouffer de l'humain. Même si j'aime cette franchise, que j'ai pas apprécié Predators et AVP2 là c'est le summum. Les 2 raisons pour lesquelles je voulais le voir n'y sont pas. Les chiens sont des toutous obéis par les humains pour suivre les hélicoptères ou allez chercher la baballe, et l'action pourris à des moments improbables et qui ne sert à rien. Des blagues, des blagues encore des blagues voici le résumé du film. Et les personnage mon dieu, une biologiste qui coure super vite pour aller d'un endroit à un autre qui de plus ne pense qu'à prendre les armes et tire mieux qu'un marines spoiler: ( sauf la fléchette dans le pied mais c'est elle qui abime le vaisseau du prédator pour qu'il s'écrase), le gamin ' autiste ' qui a des symptômes quand y'a du bruit au début de film mais rien quand y a des explosions et les balles qui siffles et limite responsable du labo de la nasa à la fin et qui comprend le prédator en 1 jour, Le super prédator qui à la vision thermique sans son masque, le casque du prédator qui tire tout seul,
l'agent du gouvernement qui n'est pas du tout crédible qui insulte devant le gamin et menace qu'on lui tire dans ses jambes, les 2 prédators qui ne cherche même plus à détruire les preuves de ses semblables et qui cherche même plus à chasser où se cacher, le marines de la légion d'honneur qui c'est tout faire et irréprochable même chier une bille de 3cm de diamètre comme si c'était un passeur. spoiler: Même la mort du prédator, il se prends 200 balles en pleine tête sa lui fait une douleur aux chicos mais 5 balles quand il est allongé sa le tue
!!! Bref...... La technologie qui ressemble au jeu XCOM est originale mais pas assez pousser, les musique du 1er prédator et spoiler: le principe de récupérer les facultés des êtres les plus fort des différentes planéte est originale
. je mets 0.5 pour le syndrome de gilles de la Tourette.

J'ai moyennement aimé ce film. Malgré la magnifique mise en scène, je trouve qu'on est pas vraiment plongé dans la science fiction. En effet, les actions les plus violentes ne m'ont pas plus transcendées. De plus, le côté humoristique du groupe de soldats gâche un peu le fictif du film ce qui est dommage ! Je reste donc un peu sur ma faim...

https://cinelife3d.blogspot.com/2018/10/the-predator.html

Un jeune garçon active par inadvertance un objet appartenant au Predator. De là, il devient une proie facile.
Pour le protéger, seule une brigade d’anciens soldats complètement dérangés se mettront entre le jeune garçon et le chasseur venu des étoiles.
Mais alors que l’affrontement est rude, un Predator génétiquement modifié et beaucoup plus puissant s’attaque à toute les espèces, sans exception.

Shane Black, alias Hawkins dans l’équipe du film de 1987 avec Arnold Schwarzenegger, reprend la saga en main.
À vrai dire, quand j’ai vu qu’il s’agissait d’un ancien personnage de la franchise, j’étais exalté et très confiant. Malheureusement, mon optimisme est rapidement retombé.
Le réalisateur a fait beaucoup de mauvais choix dans cette production.
Le jour où j’ai visionné la première bande-annonce, j’ai été très surpris. Je ne m’attendais absolument pas à cela. C’était incompréhensible et mon impression était bonne.
L’histoire ne tient pas la route. Le scénario est inintéressant et tiré par les cheveux. Aucune surprise, le résultat est insensé et peu logique.
La raison de la venue du Predator sur terre n'a pas de sens. Vraiment. Cela remet en cause tout ce que John McTiernam - le réalisateur du film de 1987 - a construit autour de la créature.
Le casting est peu attirant et le film confirme mes craintes. Les acteurs n’ont pas de charisme et aucun d’entre eux ne m’a convaincu. Et pourquoi, oui pourquoi, y a t-il un enfant présent dans le casting. C’est une énorme erreur.
Le groupe de 1987, dirigé par Arnold Schwarzenegger, était vraiment cool. Danny Glover dans le film de 1997 avait un incroyable charisme, même dans le film de 2010 avec Adrien Brody. Son équipe tenait tout à fait la route. Mais alors là, dans la version 2018, on atteint le summum de la déception.
On est loin de l’excellent travail de distribution des rôle du film de 1987.
La bande originale du premier était parfaite. Dans cette version, la musique ne procure aucune saveur, mis à part le thème de Alan Silvestri, qu’on retrouve dans tous les épisodes.
Je peux vous assurer que dans 30 ans, les répliques du film de 2018 ne seront pas devenues cultes. C'est simple, il n'y a aucune réplique digne de ce nom, alors que l’on se souvient des dialogues de 1987, qui sont pour ma part éternels.
Pour quelle raison, le réalisateur a t-il mis de l’humour dans cette production? Je ne comprend pas. C’est censé être un film d’action et de science-fiction, pas une comédie. Il y a énormément de situations grotesques et incompréhensibles, que je ne peux pas toutes les noter. Néanmoins, je peux vous donner un exemple qui m’a mis hors de moi: les animaux de compagnie du Predator, je ne vous en dis pas plus.
Je préfère nettement la vision de Nimrod Antal dans le film de 2010 en ce qui concerne les chiens d’attaque des Extra-terrestres.
Et pour finir sur les mauvais points, je vais vous parler de la fin du film. C’est un désastre. Certes, c’est inattendu mais tellement décevant. C'est débile. Le pire, c’est que le dénouement nous laisse penser qu’il y aura une suite et ça c’est une très mauvaise nouvelle. Je n’en croyais pas mes yeux. Comment peut-on foirer à ce point là?

Passons au peu de points positifs. Les caractéristiques du Predator d’origine n’ont pas trop changées et cela est très appréciable.
L’ultime Predator est vraiment bien fait. J’aime beaucoup la façon qu’il a de se tenir et de combattre, physiquement il est incroyable.
Les effets spéciaux sont plutôt réussis eux aussi.

L’épisode le plus mauvais de la saga. Ils en font beaucoup trop, c’est pas crédible.
Une terrible déception 2.3/5

Complètement nul rien ne va !! C'est fou le premier date de 1987 nous sommes en 2018. Les acteurs sont ridicules le scénario affligeant.

Si vous voulez voir plus con qu'un vaisseau alien compatible Apple, ce navet fait les efforts nécessaire. Un gamin qui maîtrise la technologie alien ? Sérieux ? Même les agents gouvernementaux de l'agence ultra secrète qui connaissent les predators sont tellement téléphonés et creux qu'on préférerait être face à une suite de Terre, champ de bataille.quand aux predators ils deviennent aussi terrifiant qu'Alf. Et encore, je suis salop avec Alf.

Suite directe aux précédents tout en oubliant son remake, ce nouveau volet ne brille pas par son script clairement vulgaire par moments. spoiler: Niveau visuel, le costume du predator est toujours aussi frappant et on s'en donne à cœur joie de le revoir encore et encore. En ce qui concerne le numérique, savoir que la Fox à produit ce volet peut décevoir car entendant ce générique mythique, on ne peut que s'attendre à du lourd, bah pas forcément avec preuve de celui-ci. Niveau casting, seul 2 personnes me sont familières mais dans l'ensemble, pas de grandes vedettes,
même s'il existe de nombreux films de genre avec des guest-star qui finalement ne servent à rien. Des scènes mi stupides ou s'accumule quelques grossièretés passagères juste supportable, pas comme chez "DeadPool", et d'autres crédibles ou l'action est géniale et magnifiquement mis en scène. spoiler: A noter que les premières secondes furent géniales avec cette course poursuite spatiale mais n'ayant grand malheur pas durée, çà aurait été juste grandiose.
. Un montage particulièrement fluide et rapide qui nous questionne sur le contenu total du film, à force de défilé rapidement, on se demande si le contenu va défilé à 100 ou 200 à l'heure. Plaisir de revoir la très chère Yvonne mais qui n'est pas suffisamment présente à mon goût. Un nouveau volet 50% réussit et 50% con par moments, et qui aurait pue bénéficier d'un meilleur financement numérique de la part de la Fox et qui aurait pue du côté script, être plus réfléchit par nombre de moments. Mais très curieux d'en découvrir une potentielle suite.

Mise à part le fait que quand le Predator se rend invisible, on ne voit que lui. J'ai apprécié ce
Predator ultime qui reste dans la lignée des autres films avec sa dose de testostérone, sa dose d'humour et sa dose de flingues.

Qu’elle est loin la traque implacable du montre prédateur venant de l’espace contre une unité d’élite! La douleur, le sang, la brutalité, l’indiscible peur palpable qui gagne des soldats aguerris devenus proies sans recours. Qu’il est loin le temps d’un Schwarzie qui en bavait et qui survit à l’arrachée, dans la douleur. Ici, comme toutes les dernières productions américaines, un humour malvenu vient gâcher les scènes d’action. Les personnages détachés jusqu’à la caricature peinent à nous faire croire à l’mmimence d’un danger ou d’une fin prochaine. Sans compter les erreurs de racord et de découpage, sans compter l’absurdité d’une scientifique mue en soldat d’élite, d’un héros chétif qui s’en tire sans bleu ni os brisé, ou d’un enfant autiste, heureux destinataire de l’objet convoité par le Super Prédateur, décryptant le langage alien, leur technologie et hackant leurs codes (l’entrée du vaisseau, etc). Rien ne tient la route dans cette niaiserie décérébrée. Moi qui ai aimé le 1er et même celui avec Adrian Brody, j’ai détesté celui-ci. À ranger avec les « alien versus predator »

Surenchère de monstres, scénario plutôt creux. Je m’attendais à mieux. Parfois il vaux mieux laisser une franchise tranquille

Sans aucun doute ,;le plus mauvais film avec les predators , un scénario tout moisi ; en bref vraiment trop nul !