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Xstrem
43 critiques
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1,0
Publiée le 4 février 2019
Quoi dire sur ce film tellement c’est mauvais. Ridicule du début à la fin, aucune bonne idée est inventé pour ce film où on dirait presque que c’est un pré adolescent qui l’a écrit. Ridicule et absurde de surcroît et même parfois incohérent. A fuir tout simplement
Quatrième volet de la saga Predator commencée en 1986 avec Arnold, The Predator donne envie avec à la réalisation un acteur du premier (Bon ok le premier à se faire buter dans la jungle) - connu aussi pour iron man 3 et les scénarios de l arme fatale . Il doit surement connaître ce qu il fait . Contrairement aux 3 premiers , il n y pas d acteur connus . (Schwarzy pour le premier , Glover pour le deuxième , Brody pour le troisième avec une pléiade de second rôles connus). Est ce un signe ? Malheureusement si ... un mauvais signe .
On voit le Predator dès les premiers images contrairement aux autres épisodes . Ça casse le mythe directement. Le Predator est devenu un élément que l’on cherche à étudier ... mais bien entendu il s échappe pour trucider tout ce qui bouge .
On a encore un groupe comme dans les précédents mais plus un groupe de militaire ou policier mais un groupe de foldingue. Beaucoup de phrases comiques , qui perturbe sur la volonté du film d en faire un thriller de science-fiction .
Un alien plus gros que le predator d origine, un chien alien qui devient un toutou, un enfant qui programme la technologie alien , le prédateur rafleur d adn des plus grands tueurs de la galaxie , le probleme écologique , le traducteur qui permet au predator de se faire comprendre ... bref le scénario part en vrille !
Le film devient une caricature de lui même et frôle avec la médiocrité .
Dirigé par le réalisateur de « Iron Man 3 », le film « The Predator » s’inspire de celui sorti en 1987 avec Arnold Schwarzenegger. Un vaisseau se crashe sur Terre et un sniper décide de voler quelques accessoires extraterrestres et de les envoyer en colissimo à son fils. Très intelligent, le petit garçon parvient à en découvrir les pouvoirs. En parallèle, papa est envoyé dans une prison de fous pour soldats tandis qu’une belle biologiste va étudier un spécimen secret de Predator. Bien entendu, le monstre se réveille et va mettre le chaos dans la ville. « The Predator » ne vole pas bien haut dans son histoire mais offre un divertissement d’action convenable sans temps morts. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
film bien moyen, on y croit pas une seule seconde! le Predator tué tout le monde sans réfléchir sauf notre bande de bras cassés qui réussissent à survivre à chaque rencontre! même leur toutou devient sympa Shwarzy revient!!!!!
Un raté assez incompréhensible, alors que toutes les planètes semblaient aligner pour relancer la saga Prédator. La narration est horriblement confuse, les saillies d'humour déstabilisent ce qui reste de cohérence au film, tandis que les acteurs peinent à convaincre.
Le navet ultime. mais où est passé le scénario de ce film ? comment peut il être noté 4 étoiles par des critiques du cinéma ? Sauf si c'est un film comique. Quoique ce n'est pas drôle, en fait. Mais le Predator est plutôt bien fait. Pas futé pour un sous mais très violent.
C’est le film de tous les superlatifs : scénario mauvais acteurs mauvais. Pourtant je suis bon public et j’adore toutes les séries mais là c’est une nullité sans nom. Nous sommes au delà de la série Z .... On peut mettre une demie étoiles ?
Mais quasiment rien ne va dans ce film ! Que ce soit la logique n’étant jamais respecté (et cela durant tout le film), l’humour mal venu ou les effets spéciaux foireux. Les seuls bons points sont quelques scènes d’actions et encore... Je pense pas avoir été divertit pourtant c’est le minimum pour ce genre de film.
Alien et Predator. Les deux parfaites forment de vie extraterrestres. Deux monstres du cinéma qui ont marqué leur époque et continuent aujourd'hui de faire le bonheur des studios, aux détriments des cinéphiles. Ridley Scott et John McTiernan insufflaient de leur pâte et de leur maîtrise dans deux films au rythme et à l'atmosphère oppressante pour ceux qui arboraient fièrement leur 12 ans. Si Alien: Covenant, dernier en date ne rendait pas justice à la franchise tout en essayant de s'y conformer, on peut dire que The Predator nous laisse le même ressenti de gâchis malgré une tentative de Shane Black d'y insuffler son humour et sa maîtrise des dialogues.
D'entrée de jeu, on ne fait pas dans la dentelle et le côté presque intimiste et furtif du plus ignoble chasseur de l'espace surprend. Certes, avec les deux tentatives précédentes, l'heure n'est plus à la découverte d'un ennemi invisible mais est-ce vraiment une raison pour y aller en fanfare ? Revoir le premier opus confirme immédiatement que non. On peut savoir à quoi s'attendre sans pour autant envoyer valser un certain mystère. Ainsi, on se retrouve donc immédiatement sur terre avec une confrontation éclair entre notre futur héros et le charcuteur de l'espace. De là, tout va très vite et on se retrouve sur les rails de la série B tout ce qu'elle a de plus consensuelle. Equipe de militaires timbrés et loufoques à la personnalité purement esthétique : des gros bras qui n'ont pas forcément la lumière dans toutes les pièces. Quoi de mieux finalement que des têtes brûlées pour un combat perdu d'avance. Quitte à mourir, autant que ce soit sans crainte et avec panache.
Alors oubliez la tension, la "chasse", Shane Black tente ici quelque chose d'original qu'il faut bien lui reconnaître. Première victime du Predator dans le film de 1987, le scénariste et réalisateur inspiré (L'arme fatale et Last Action Hero au crayon, Kiss Kiss Bang Bang et The Nice Guys à la caméra) donne au film sa pâte entre humour, dialogues et situations décalées. Hors contexte, ça marche et on se marre mais difficile d'oublier d'où on vient. Il faudrait presque appréhender ce 4ème opus comme un reboot plutôt qu'une suite. Un reboot qui ne manque pas d'aligner les clins d'oeil à ses prédécesseurs. Mais difficile lorsqu'on a frémit dans la jungle aux côtés d'Arnold et de sa bande de joyeux drilles de faire abstraction du passé. Pour autant, lorsqu'on se force, The Predator a quelque chose de divertissant même si on est très loin de la virtuosité d'un McTiernan derrière la caméra. Ici, la menace est ce qu'elle est, ni plus ni moins. Une bestiole qui prend plaisir à massacrer avec style, peut-être un brin complexée par sa gueule de Tonton David au lendemain d'une soirée un peu trop fournie en psychotropes.
Dommage que le scénario n'ait pas été différent et un poil plus simple finalement car à trop tenter de nous surprendre, Shane Black nous pond un ovni tiré par les dreadlocks où les tenants et les aboutissants parfois risibles ne servent que de prétexte à l'utilisation d'une icône d'un cinéma fantastique qui a fait la grandeur de la fin des années 80, début 90.
C'est vraiment médiocre et débile. Et dire que l'une des raisons de la venue des Predators est de venir prendre l'ADN des meilleurs êtres humains, c'est la guigne pour eux : il n'y a que des abrutis dans ce film...le pire étant peut être moi puisque malgré ce que je viens de dire j'en reprendrais bien une suite ^^
Franchement, c'est nul. L'histoire ne tient pas, les acteurs ne valent pas un clou. Il y a trop de mélange de genre. Il faut s'accrocher pour tenir jusqu'à la fin. Si vous avez payé, faites une réclamation. Ce film est une insulte au premier predator de schwarzy.
Ce film est un gag du début à la fin, hormis Olivia Blum qui comme à ces habitudes joue bien son rôle, les autres acteurs zéro 👌 une tache sur le CV de Thomas Jane qui est habituellement un excellent acteur. Et le scénario est une insulte aux 2 premiers Predator (1987, 1997)