Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
L'Express
par Éric Libiot
Ce qui s'annonçait comme une énième photocopie, se termine en série B++. Excellente surprise pour le cinéphile fatigué de tous ces super-héros [...].
Le Figaro
par La Rédaction
Monté sur ressort, irrévérencieux, Shane Black signe un joyeux exercice de démystification à l'intrigue pétaradante. Un spectacle régressif au doux parfum des années 1980.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Shane Black, scénariste à succès (« L’arme fatale »), acteur dans le premier « Predator », dépoussière le mythe et en propose une relecture jouissive, à base de scènes d’action et de bons mots.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Filmsactu
par Henry Swanson
Sans être la réussite que l'on espérait, The Predator est loin d'être la bouse intersidérale annoncée par les critiques américains. Au contraire, le film de Shane Black s'assume comme une série B bourrine, décomplexée, rythmée et débile au parfum 80's.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
IGN France
par Erwan Lafleuriel
On ne s'ennuie pas devant ce chaos digne de la licence, mais difficile de passer outre une accumulation de défauts plus ou moins importants.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Ecran Fantastique
par Gilles Penso
Avec ses nombreuses libertés de ton et son final qui semble cligner de l'oeil vers "Iron Man", "The Predator" ne convaincra certes pas totalement les aficionados du chasseur extraterrestre. Mais face au marasme artistique dans lequel a sombré la franchise depuis le début des années 2000, ce petit grain de folie s'avère franchement rafraîchissant.
Libération
par Marius Chapuis
Probablement charcuté au montage, parfois nébuleux dans la résolution de certaines intrigues, il se gaufre à chaque fois qu’il se concentre sur la créature, étrangement maousse et robotique, ou lorsqu’il s’embarque dans une course à la surenchère alien. "The Predator" cultive néanmoins un art du détour narratif très plaisant et on reste persuadé que le style de Shane Black peut résonner auprès du public Marvel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Si sur le fond, "The Predator" respecte le cahier des charges de Black, la forme est loin d'être aussi enthousiasmante.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Bouffi de testostérone, "The Predator" est empli non seulement d'hémoglobine, mais aussi d'une violente nostalgie. Un véritable plaisir coupable !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Frédéric Strauss
Mineur, mais plutôt sympathique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Souvent amusant, parfois très lourd, globalement bancal et inégal.
Critikat.com
par Josué Morel
The Predator est de ces suites qui, sans être dénuées d’idées pour redynamiser et repenser les figures qu’elles tentent de dépoussiérer, butent sur leur dimension iconique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On ressort de cette chasse extraterrestre, bredouille.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
À l’arrivée, rien de saillant dans cette suite vaseuse, s’éloignant trop de l’original de 1987 avec Schwarzenegger, fondé sur un combat singulier dans la jungle entre une bête surnaturelle et un humain plein de ressources.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Pastiche total de la version Schwarzenegger (dans laquelle le réalisateur avait un rôle, en 1987), avec scènes gore, effets spéciaux de fête foraine et répliques bien senties. Ma favorite, en VO : "Vous avez sorti ce plan de votre cul ?" Le sous-titre français : "Vous avez trouvé ça toute seule ?" A voir entre copains, de préférence déjà bourré.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On apprécie la démarche radicale de Shane Black, mais le scénario manque d’ambition et le casting de charisme.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Cette surenchère de péripéties étouffe un peu le film, mais diverses trouvailles de scénario, en donnant le rôle central à des personnages au comportement parfois irrationnel, décalent un récit qui, sinon, croulerait sous la banalité.
Première
par Elodie Bardinet
A trop vouloir moderniser le concept, Black et Dekker signent un Predator hybride, qui ne ressemble plus vraiment au classique de John McTiernan, mais qui n'est pas non plus sa version "augmentée". Ce serait plus son cousin bourré racontant des blagues à tout va en souvenir de son aîné décédé. Sur le moment, ça parait fun et décomplexé, mais au fond, c'est un peu triste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Shane Black, acteur dans l'aventure initiale, a beau être ici réalisateur, les incohérences sont légion. Reste quelques séquences sanglantes, pour les fans.
aVoir-aLire.com
par Franck Lalieux
Shane Black s’empare de la franchise et délivre un blockbuster bas du front qui se contente de recycler quelques traits caractéristiques de son écriture mais sans l’intelligence de ses oeuvre précédentes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Mal écrit, bêta, totalement ringard, ce "Predator" ferait presque de la peine. Qu’est-il arrivé à Shane Black ?
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
(…) Le tableau est bon enfant (la clique pétaradante de soldats post-traumatisés, quelques gags gore) et peu importe sa laideur (mention spéciale au staff terrier de l’espace), mais cette façon de chasser tous azimuts nous dit clairement qu’on ne sait plus bien où se trouve cette satanée source.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Elodie Bardinet
Le résultat est une comédie d'action qui devient vite épuisante.
L'Express
Ce qui s'annonçait comme une énième photocopie, se termine en série B++. Excellente surprise pour le cinéphile fatigué de tous ces super-héros [...].
Le Figaro
Monté sur ressort, irrévérencieux, Shane Black signe un joyeux exercice de démystification à l'intrigue pétaradante. Un spectacle régressif au doux parfum des années 1980.
Le Parisien
Shane Black, scénariste à succès (« L’arme fatale »), acteur dans le premier « Predator », dépoussière le mythe et en propose une relecture jouissive, à base de scènes d’action et de bons mots.
Filmsactu
Sans être la réussite que l'on espérait, The Predator est loin d'être la bouse intersidérale annoncée par les critiques américains. Au contraire, le film de Shane Black s'assume comme une série B bourrine, décomplexée, rythmée et débile au parfum 80's.
IGN France
On ne s'ennuie pas devant ce chaos digne de la licence, mais difficile de passer outre une accumulation de défauts plus ou moins importants.
L'Ecran Fantastique
Avec ses nombreuses libertés de ton et son final qui semble cligner de l'oeil vers "Iron Man", "The Predator" ne convaincra certes pas totalement les aficionados du chasseur extraterrestre. Mais face au marasme artistique dans lequel a sombré la franchise depuis le début des années 2000, ce petit grain de folie s'avère franchement rafraîchissant.
Libération
Probablement charcuté au montage, parfois nébuleux dans la résolution de certaines intrigues, il se gaufre à chaque fois qu’il se concentre sur la créature, étrangement maousse et robotique, ou lorsqu’il s’embarque dans une course à la surenchère alien. "The Predator" cultive néanmoins un art du détour narratif très plaisant et on reste persuadé que le style de Shane Black peut résonner auprès du public Marvel.
Mad Movies
Si sur le fond, "The Predator" respecte le cahier des charges de Black, la forme est loin d'être aussi enthousiasmante.
Rolling Stone
Bouffi de testostérone, "The Predator" est empli non seulement d'hémoglobine, mais aussi d'une violente nostalgie. Un véritable plaisir coupable !
Télérama
Mineur, mais plutôt sympathique.
Voici
Souvent amusant, parfois très lourd, globalement bancal et inégal.
Critikat.com
The Predator est de ces suites qui, sans être dénuées d’idées pour redynamiser et repenser les figures qu’elles tentent de dépoussiérer, butent sur leur dimension iconique.
Franceinfo Culture
On ressort de cette chasse extraterrestre, bredouille.
L'Humanité
À l’arrivée, rien de saillant dans cette suite vaseuse, s’éloignant trop de l’original de 1987 avec Schwarzenegger, fondé sur un combat singulier dans la jungle entre une bête surnaturelle et un humain plein de ressources.
L'Obs
Pastiche total de la version Schwarzenegger (dans laquelle le réalisateur avait un rôle, en 1987), avec scènes gore, effets spéciaux de fête foraine et répliques bien senties. Ma favorite, en VO : "Vous avez sorti ce plan de votre cul ?" Le sous-titre français : "Vous avez trouvé ça toute seule ?" A voir entre copains, de préférence déjà bourré.
Le Journal du Dimanche
On apprécie la démarche radicale de Shane Black, mais le scénario manque d’ambition et le casting de charisme.
Le Monde
Cette surenchère de péripéties étouffe un peu le film, mais diverses trouvailles de scénario, en donnant le rôle central à des personnages au comportement parfois irrationnel, décalent un récit qui, sinon, croulerait sous la banalité.
Première
A trop vouloir moderniser le concept, Black et Dekker signent un Predator hybride, qui ne ressemble plus vraiment au classique de John McTiernan, mais qui n'est pas non plus sa version "augmentée". Ce serait plus son cousin bourré racontant des blagues à tout va en souvenir de son aîné décédé. Sur le moment, ça parait fun et décomplexé, mais au fond, c'est un peu triste.
Télé Loisirs
Shane Black, acteur dans l'aventure initiale, a beau être ici réalisateur, les incohérences sont légion. Reste quelques séquences sanglantes, pour les fans.
aVoir-aLire.com
Shane Black s’empare de la franchise et délivre un blockbuster bas du front qui se contente de recycler quelques traits caractéristiques de son écriture mais sans l’intelligence de ses oeuvre précédentes.
Les Fiches du Cinéma
Mal écrit, bêta, totalement ringard, ce "Predator" ferait presque de la peine. Qu’est-il arrivé à Shane Black ?
Les Inrockuptibles
(…) Le tableau est bon enfant (la clique pétaradante de soldats post-traumatisés, quelques gags gore) et peu importe sa laideur (mention spéciale au staff terrier de l’espace), mais cette façon de chasser tous azimuts nous dit clairement qu’on ne sait plus bien où se trouve cette satanée source.
Ouest France
Le résultat est une comédie d'action qui devient vite épuisante.