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    Ready Player One
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    1 720 critiques spectateurs

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    Bearnais64
    Bearnais64

    38 abonnés 775 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2019
    Avec ce film, Steven Spielberg nous envoie dans un monde futuriste mais par si loin que ça quand on y pense. Un monde dans lequel la population oublie peu à peu de vivre dans le réel pour s'enfermer dans le virtuel. Et pour arranger tout ça, on donne aux joueurs LA carotte ultime pour rester connectés... une énorme somme d'argent. Le spectateur se retrouve donc embarqué avec un groupe de jeunes gens bien décidés à retrouver le trésor. Et tout au long du film, on va pouvoir observer leur relation et surtout l'évolution de leur pensée. Spielberg réalise encore ici un grand film de science fiction avec aucune fausse note dan le scénario. L'intrigue est bien ficelée et linaire sans la moindre faille, pas de blanc. Le réalisateur en profite aussi avec ce film pour mettre en lumière certaines dérives du virtuel (addiction, avatar différent de la personne derrière,...). Le casting jeune et nouveau ainsi que leur personnage sont excellents et pas besoin de parler des effets visuels... c'est un film de Spielberg. En tout cas, pour les amoureux de la SF, ce film est à avoir dans sa DVD-thèque.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 février 2019
    Le film devrait s'appeler Reférences Player One en fait... Ce film réussi l'exploit de transformer un film, une intrigue normalement interessante et passionante en "Wha t'as vu lui la !! C'est le mec du jeux *****, et il se bats sur le décor du film *** avant de faire une course sur la moto de ******." L'intrigue est plan-plan, les persos sans grand charisme, le temps perdu sur les références est du temps non utilisé pour donner de la cohérence à l'histoire donc de temps en temps tu te demande si tu as pas loupé quelque chose. Ce film réussi à être dans la vraie vie ce qu'il prône à l'écran, c'est une recherche d'easter-egg et de caméo qui n'ont aucune corrélation sauf la notoriété, et qui n'amène pas grand chose au film. Et la phrase de fin, moralisatrice au possible, est une insulte à n'importe quel "gamers" qui a déjà compris depuis bien longtemps que le jeu n'est pas la vraie vie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 février 2019
    malgrés les critiques. j aime quand même. je conseil. j aime la deception que le heros a à la fin que le jeu soit fini.
    pleasant
    pleasant

    8 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 février 2019
    Alors que les villes étasuniennes ressemblent de plus en plus à des bidonvilles en 2045, la plupart des habitants ont tout de même suffisamment de ressources pour se payer un casque de réalité virtuelle afin de s'échapper dans un monde numérique partagé par tous appelé OASIS. OASIS est comme un bon gros jeu vidéo au sein duquel chacun participe grâce à un avatar. Évidemment, il y a un super vilain qui veut s'approprier totalement le jeu (qui doit générer un cash dingue dans le monde réel – on ne sait pas trop comment) – ce qui, suggère le film, s'apparenterait à une sorte de fin de monde. Il s'agit donc de l'en empêcher. Quoi de mieux lors qu'un jeune geek un peu looser, très malin et féru de "culture" des jeux vidéo (depuis les premiers Atari – ce qui est un exploit vu son âge), pour contrecarrer le méchant ? Bien sûr, il rencontrera une sympathique petite bande de rebelles, et trouvera même l'amour.

    Blindé à outrances de référence à la "culture" du divertissement visuel (cinéma et jeux vidéo), les références fusent en permanence au point qu'il est difficile de toutes les saisir. La Doloréane d'Emet Brown, le Rosebud de Welles, une course folle de voiture directement piquée eu remake du Death Race 2000 de Corman par PWS Anderson (2008)… Mais qui aura reconnu l'incantation (ridicule) de Merlin dans l'Excalibur de John Boorman (1981), nécessaire pour actionner le bouclier de la forteresse maléfique de la planète Doom ? On a connu un hommage semblable avec le Klatou verata niktou prononcé par Ash dans Evil dead 3, tout droit tiré du "jour où la terre s'arrêta" de Robert Wise en 1951. Mais Sam Raimi était drôle. Le gros problème avec ce film de Spielberg, c'est que le second degré est absent. Le ton est grave. Sauver le jeu est plus important que sauver le monde réel, au bord de la ruine. Le monde réel… où l'emprisonnement et même la justice sont confiés à une société privée (celle du méchant bien sûr), où les gens préfèrent dilapider leur maigres revenus dans des gadgets leur permettant d'être plus performants dans le jeu… où des hordes de zombies se promènent en gesticulant dans la rue, les yeux couverts de leur casque de réalité virtuelle. Aucune véritable condamnation de tout ceci. Par contre, le jeu est si excitant: d'un réalisme bluffant, votre avatar peut en gros tout se permettre. Vous tuez des gens par dizaines, et les corps démembrés des avatars saignent des flots de pièces d'or que vous aspirez pour accroitre votre richesse et votre pouvoir. Cétipabo ?

    Alors à la fin, spoiler: des flics surgissent quand même (il y en a encore des vrais, apparemment) pour mettre le méchant en prison, juste avant qu'il se fasse lyncher et
    , tenez-vous bien, le gentil (qui a gagné) instaure une nouvelle règle et débranche le jeu tous les mardis et jeudis pour obliger les gens à passer un peu de temps dans le monde réel. On croît rêver. Ne vous méprenez pas, ce film est très important car c'est un révélateur magistral: qu'autant de critiques et qu'une part si importante de son public soit aussi prompte à l'encenser est véritablement inquiétant, car on peut y voir le quasi renoncement de notre société à vouloir remédier aux catastrophes écologiques et sociales en pleine expansion… dans le monde réel.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 février 2019
    Génial, bonne bande son, jolies effets spéciaux, histoire super, on ne s’ennuie pas!!!
    On sent la touche Spielberg.
    mouradilman
    mouradilman

    11 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2019
    Excellent, il n’y a pas d’autres mots pour qualifié ce film qui fait la part belle à la pop culture, aux jeux vidéos, aux films ... un film bourré de clins d’œil et de références. J’en suis sûr qu’en le regardant même plusieurs fois, on peut en découvrir de nouveaux. Bref, un film qui se savoure et dont le seul défaut est de ne pas durer plus de 2 heures.
    Mais ce film ne se limite pas aux effets spéciaux et aux références, il y a également une histoire pleine de rebondissements, d’actions et avec un final grandiose. Bref un chef d’œuvre.
    Philippe G.
    Philippe G.

    123 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 février 2019
    Ce navet conçu à destination des gamers ados est un véritable pensum. Autant le Tintin de Spielberg (lui aussi tout numérique) était surprenant et intéressant, voire poétique par instant, autant ce film du même réalisateur n'a quasiment aucun intérêt. On évitera, donc.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 avril 2019
    Et bah mon dieu quel film! On est plongé dedans du début à la fin ! C'est du pur Spielberg. Ça m'a fait penser aux Goonies mais en hypra-modern! En bref un bon film qui ne se revoit peut être pas souvent !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 février 2019
    Ready Player One, le nouveau film de Steven Spielberg, oscille entre dystopie, le pire de notre avenir, et anticipation, un avenir raisonnablement probable si l’on considère le monde présent comme une succession de paramètres qui construisent notre aveni

    L’action de Ready Player One se déroule en 2045. Or, malheureusement, dans cet avenir, l’humanité ne semble pas avoir réussi à relever les défis de notre présent : enjeux climatiques, réduction de la pauvreté, société de surconsommation, production durable d’énergie … Enfin, un défi semble bien avoir été résolu : celui de la question des futurs rapports entre l’humanité et l’IA (les multiples avatars qu’elle pourrait prendre) au risque d’une aliénation de l’humanité… Dans Ready Player One, point de Singularité (émergence d’une intelligence artificielle consciente et autonome… quoiqu’à bien y réfléchir…), pas plus de robots, juste l’OASIS : un monde persistant qui s’est développé dans le cyber-espace, une société virtuelle dans laquelle tout le monde se rend pour échapper à la violence du quotidien… pour y être celle ou celui qu’on ne sera jamais dans nos vie réelles. un “Second Life� puissance 10 !

    Plongé dans le monde virtuel de l’OASIS, le spectateur peut s’amuser à repérer les références à la pop culture des 50 dernière années, références égrenées tout au long du film. C’est la DeLorean de Retour vers le futur, c’est la moto du manga Akira (adapté au cinéma en 1991), ce sont les mentions d’une foultitudes de jeux qui ont marqué l’histoire du jeu vidéo… on plonge dans les couloirs de l’hôtel du film Shinning… même le souffle du dragon de Merlin, dans le film Excalibur de John Boorman, y trouve sa place : Hannal nathrar, ourwassbethud, doriel diembhe ! La pop culture ne serait-elle pas le terreau de la société de demain ?

    Par ailleurs, si on ne s’étonne plus de voir, dans les rues de notre présent, une majorité de personnes utiliser en permanence leur smartphone, on s’étonnera pas plus de voir, dans les rues du 2045 de Ready Player One, la plupart des passants avec un masque de réalité virtuelle devant les yeux… Ce constat posant la question de l’articulation du monde virtuel, l’Oasis, avec le monde réel. Alors, le monde réel qui est le nôtre est-il condamné à l’infection virale du virtuel ? A la fin du film, les héros proposent d’imposer deux jours par semaine durant lesquels l’OASIS sera débranchée, comme pour inciter les humains à une nouvelle forme de repos dominical, pour redécouvrir une communion humaine, corporelle et tangible. Ces deux jours seront-ils suffisants pour lutter contre l’effet inexorable de manque, d’addiction que l’immersion dans le virtuel pourrait créer ?

    Sachant que même dans le monde virtuel, la condition sociales réelle des joueurs aura des impacts dans l’OASIS : il semblerait bien qu’en 2045, tout le monde ne puisse pas se payer la super combinaison d’immersion sensoriel (et tactile : l’entrejambe de Nolan Sorrento, le méchant du film, s’en souvient encore !)… tant et si bien que les “simples� masques de réalité virtuelle ont vraisemblablement de beaux jours devant eux ! Peut-être pourra-t-on leur ajouter des capacités de proprioception (détecter les mouvements du corps et la position ses membres) ou même la détection de commandes mentales…

    On pourrait aussi se demander comment articuler l’économie virtuelle avec l’économie réelle. Les crypto-monnaies (Bitcoin et autres) pourraient-elles devenir la monnaie de change entre un monde virtuel persistant et les monnaies sonnantes et trébuchantes ? A moins que celles-ci aient définitivement disparues au profit d’un avatar virtuel (le CryptEuro, le eDollar, le BitYen ?), le monde réel et le monde virtuel n’étant plus qu’une seule et même réalité… en attendant la prochaine crise elle aussi économique, déclenchée par l’usage intempestif d’un vieux sort qui aurait la funeste capacité de remettre à zéro tous les comptes…

    Dans Ready Player One, le spectateur est témoins de la lutte de jeunes héros idéalistes confrontée à une tentative d’hégémonie capitaliste qui a pour seul but la rémunération de son actionnariat, dixit Nolan Sorrento, le méchant du film qui cherche à prendre le contrôle de l’OASIS. Mais, si l’OASIS a un poid économique mesurable dans l’économie réel, tout le monde s’y rend sous une identité factice, chacun apparaissant dans le monde persistant sous l’apparence la plus en adéquation avec les souhaits les plus profonds de chacun, aspirations exprimées ou non. Dans l’OASIS, point de gravité, de physiologie, de génétique… juste une aire de jeu dans laquelle toutes les hybridations sont possibles… sans créer, maintenir, révéler les liens entre avatars et personnes physiques dans le monde réel… un anonymat à l’inverse de la tendance actuelle qui incite les internautes à naviguer et communiquer sous leur vraies identités… les réseaux sociaux ayant en plus inventé la certification d’identité !

    Alors, dans un monde ayant été incapable de s’engager sur la voie d’un développement durablement, l’OASIS de Ready Player One est-elle une forme d’avenir massivement multi-joueurs souhaitable pour notre monde, en offrant à chacun une nouvelle chance loin des contingences matérielles — dans ce cas le film est une anticipation — à moins que l’immersion dans la virtualité, annulant toute distance physique et donc psychologique entre le média et le spectateur/joueur, ne fasse porter à l’humanité le risque d’une noyade, arrachant aux cendres du passé le destin de Narcisse, héro d’un mythe étrangement d’actualité ?

    La version vidéo de cette chronique : http://www.futurhebdo.fr/ce-que-ready-player-one-nous-dit-sur-demain/
    Lucas G
    Lucas G

    29 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 février 2019
    Magnifique dans toutes les scènes, histoire plus que passionnante et toute les références gamer vraiment bien venues dans ce film ! Un grand WOAW de cinéma !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 février 2019
    J'ai été extrêmement déçue de ce film ayant lu le livre 6 mois avant sa sortie.
    Les personnages sont rendus médiocres, l'histoire n'est reprise que pour la bâcler...
    Le film est à 95% fond vert et manipulation d'images, aucun intérêt
    Gaelrvt
    Gaelrvt

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 février 2019
    Avec un excellent scénario et de superbes effets visuels, Ready Player One nous emmène dans un futur proche où toute liberté se trouve dans l’Oasis. On ne s’ennuie pas une seconde grâce à de nombreuses péripéties qui s’enchaîne tout au long du film. Une très bonne prestation de Mark Rylance. Du grand Spielberg !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 février 2019
    Ce film raconte l'histoire d'un monde dans le chaos, un monde où la majorité vivent dans le virtuel. Un défi est lancé pour les joueurs. Les effets spéciaux sont géniaux et nous plongent dans leur monde. Un peu long dans l'ensemble.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    276 abonnés 1 651 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2019
    De la SF rétro-futuriste, ancrée dans l'univers des jeux vidéo, oscillant entre nostalgie des eighties et virtualité visionnaire. Le scénario est assez plaisant, malgré quelques raccourcis déconcertants et autres bons sentiments de mise. La réalisation, les effets spéciaux et le montage sont impressionnants. C'est un grand spectacle divertissant et emballant. Une réussite dans son genre. Avec quelques idées géniales, notamment la séquence où l'on revisite Shining, le film de Kubrick.
    Melanie B
    Melanie B

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 février 2019
    Alors là, c'est un film qui décoiffe. Je ne m'attendais pas à si bien... Graphique super, scénario qui tient la route.
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