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41 abonnés
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0,5
Publiée le 29 mars 2018
Au-dessus de quinze ans ne vous étonnez pas si vous avez des picotements pour quitter la salle dès le premier quart d’heure. La référence à quelques vrais films du passé est un tour de passe-passe destiné à ratisser large… Ce film a peut-être quelque chose à voir avec les jeux vidéo mais certainement pas avec le cinéma. Enfin j’espère. Mais j’ai bien peur que la pente soit déjà raide et que le port du casque soit bientôt obligatoire. Tout ça est flippant. S’il veut descendre encore un peu plus bas je conseillerai à Spielberg de s’associer avec Besson.
Steven Spielberg est vraiment un réalisateur de génie et il le prouve une fois de plus avec ce film de science-fiction qui est amener à devenir très rapidement un classique du genre. L'histoire est particulièrement prenante à suivre, les effets spéciaux d'une grande modernité en mettent plein les yeux et la mise en scène de Spielberg est virtuose surtout en ce qui concerne les excellentes scènes d'actions. A noter que ce long-métrage possède de nombreux clins d'œil à des classiques du cinéma, comme le prouve notamment les présences du T-Rex de "Jurassic Park", du Robot du "Géant de Fer", du gorille de "King Kong", de la DeLorean de "Retour vers le futur" ou encore toute la partie qui concerne le fameux "Shining" de Stanley Kubrick. Une oeuvre d'une grande richesse visuelle et scénaristique que l'on prend un grand plaisir à visionner.
Un gentil geek fan de culture pop essaie de sauver le virtuel des griffes d’un méchant patron de multinationale, le tout dans une ambiance teenage movie poussé à l'extrême qui ferait passer Hunger Games pour un film d'auteur cannois. Dès le début du film, le ton est donné, la voix off annonce "moi, c'est Wane, et lui, là, c'est H, mon meilleur ami, etc". On pensait pourtant avoir tirer la chasse plusieurs fois pour ne plus avoir droit à ce genre de clichés fétides. Il faut croire que Spielberg a le bras assez long pour remonter des étrons directement de la fosse septique. Et malheureusement le film n'en est qu'une accumulation. Deux scènes sortent cependant (légèrement) du lot : King Kong et Shining. À 0,5 chacune, ça nous fait 1 sur 5.
Le premier terme qui me vient à l'esprit au moment de définir ce "Ready Player One" c'est ampoulé. J'ai trouvé ça tellement surfait que je ne suis jamais parvenu à m'immerger dans ce film. On a droit à d'innombrables poncifs notoires du JV et au jargon vidéoludique qui va bien histoire de bien nous rappeler ce à quoi c'est censé faire hommage mais au final ça dessert plus ce média qu'autre chose au niveau de l'image qui en est retiré. J'aurais apprécié un tantinet de maturité mais bon faut plus trop en attendre de notre chère Steevy je crois. "PAN ! PAN ! BOUM ! BOUM !", voilà comment ça essentialise les jeux vidéo, un art qui ne doit jamais rien faire d'intelligent ni de réfléchi peut-être... Sérieusement, quand on y connait rien dans un domaine je crois bien qu'il faille s'abstenir. Des clins-d'oeils et autres références ad nauseam, une trame de fond insignifiante au possible, des personnages creux, un background niveau zéro… Non, pour moi ça ne marche pas quand on force le trait à ce point là. De la subtilité et de la profondeur est-ce trop demander aussi ? Là ça atteint un stade de complaisance record je crois. Tellement complaisant que ce film devient une caricature de lui-même. Je ne qualifierait même pas ça de bon fast-food tant je n'ai rien retenu au niveau de l'idée et de la mise en scène si ce n'est toute la séquence "Shining" qui a bien suscité mon intérêt. Le pire c'est que ça se veut au final plus premier degré qu'il n'y parait. Le numérique se prête bien au propos mais au niveau des combats les changements de plan toutes les 3 secondes c'est encore non ! Laissez nous le temps de bien nous imprégner des scènes non de dieu ! On dirait avoir affaire à un gigantesque prétexte à placements de produits superficiel. Et puis parlons de la morale de fin : "la vraie vie c'est finalement mieux que le virtuel" Waaw ! Mais c'est ultra-profond ça dites-moi... C'est du Spielberg qui n'a rien à dire et qui ne maitrise même pas son sujet, voilà comment je conclurais la critique de cet exercice de style bête et simpliste.
"Ready Player One" se présente clairement comme le saint "Graal" des trentenaires "Geeks" biberonnés aux productions eighties et des jeux vidéo cultes des années 80/90. Il s’agit notamment de l'adaptation du roman "Player One" de "Ernest Cline", paru en 2011 ici coproduit et réalisé par "Steven Spielberg" de retour dans son domaine de prédilection, la Science-Fiction (Qui avait fait sa gloire dans les années 80). D'entrée, la 1ère scène de course tonitruante (Incluant la mythique "DeLorean DMC-12" de "Retour Vers le Futur") en met plein les mirettes appuyés par des effets spéciaux repoussant une fois de plus les limites technologiques. Hélas, le scénario ne suit pas et s'avère même assez indigeste avec de nombreux clichés maladroits vus et revus 150 fois, un comble pour du "Steven Spielberg". On retrouve notamment une "Love Story" dispensable, des épreuves et certains personnages discutables, mais aussi une moralité finale plutôt douteuse. Car effectivement, quand on juge un métrage estampillé "Spielberg" on s'attend forcément à un chef d'œuvre, et malheureusement ce n'est pas le cas. Reste les références minutieuses à la "Pop Culture" tellement nombreuses qu'il est impossible de toutes les discerner en une seule vision (Le véritable point fort du film). Malgré un capital sympathie indéniable, "Ready Player One" ne se démarque jamais de la concurrence actuelle et laisse même un léger gout d'inachevé !
C'est du Spielberg, on ne peut donc pas demander que le niveau soit haut dans ce film conçu avec beaucoup trop d'images de synthèse ( personnages fictifs):détestable à mon goût.
2ème vision en 2 semaines et le même plaisir : c’est intense & cool, innovant & nostalgique effrayant & amusant, futuriste & cinéphile Et en 4D c’est encore mieux
Franchement, ma note est à la hauteur de la déception. Je suis de la génération qui a grandi avec Spielberg, j'ai adoré Spielberg. Ce que j'ai vu là est un ramassis de technologie (superbe au demeurant) au service de...rien. Scénar totalement nul, intrigue inexistante, tributes à la génération 70-80 toutes les 2 images, bref, un vide sidéral à 200 images par seconde. Juste une machine à faire du fric, manichéenne et bien pensante. On dirait du Disney... Monsieur Spielberg : si c'est ça que vous prévoyez de nous mettre devant les yeux pour payer votre retraite, laissez tomber. Je préfère garder une autre image de vous. Merci d'avance Philippe
Un "film" qui ne peut satisfaire que les geeks profonds et les enfants jusqu'à l'âge de 12 ans. Les amateurs de Transformers et d'autres débilités américaines se gaveront, les autres feront mieux d'aller voir ailleurs pour ce film qui n'en est pas un et dont le scénario est calqué sur celui d'un jeux vidéo, c'est dire l'indigence du scénario. C'est de loin le pire film de Spielberg que j'ai vu.
Une bonne idée, un bon thème, des images sympa, des références (même si ça devient monnaie courante) interessantes spoiler: (mec qui tombe amoureux d’un avatar, passage shinning) voilà des bases solides pour en faire un bon film de SF !
Et là, comme trop souvent patatrac, on veut faire plaisir a tout le monde et faire des sous sous ! L’énigme et les jeux de rôle devrait plaire au moins de 12ans, c’est du niveau Maman j’ai raté l’avion avec des méchant très très méchant et très très bête et des gentils très très gentils et très très intelligent.
Bref amateurs de scenarios et de bons acteurs : Fuyez / pour les autres : moments agréable en perspective ;-)
Patchwork de références pour quarantenaires. Un message trivial du style « la réalité c est mieux que le virtuel » A conseiller pour enfants de moins de 15 ans mais sans les clins d’oeils appartenant à la culturie des années 70-80 ... aucun intérêt. Je ne comprends pas l’engouement du public et de la critique, Spielberg était pourtant un bon réalisateur...
Épuisant de débilité... Spielberg est vraiment tombé bien bas. J’étais pourtant fan de ces films des années 80/90 mais là c’est juste un cauchemar visuel : les personnages sont affreux, les effets spécieux bidon et ce dès le plan d’ouverture. Ça va tellement vite que c’en est illisible et abrutissant. Quant au scénario, on dirait un mauvais jeu vidéo ennuyeux et incohérent. Le vieux Steven a beau nous sortir des références, ça ne cache pas la pauvreté d’adaptation d’un roman qui apparemment méritait mieux... il n’y a qu’à voir la saga jurassic World pour comprendre que Spielberg prend pour des veaux décérébrés. A fuir
Une suite de scènes très agitées remplies d'armes, de bruits et d'objets hétéroclites où, par exemple, King Kong croise la DeLorean. Un bric à brac inconsistant, très long, très, très long. Spielberg n'a rien à raconter : il fait durer les scènes d'agitation des temps infinis, avec une complaisance obscène. Débauche d'effets répétés et répétés et répétés, avec un unique objet montrer des effets... "Masturbatoire" est le mot qui me vient à l'esprit... Bref un long pensum qui se termine en apothéose de bon sentiments : Roméo, plein de courage "franchit le pas", il embrasse Juliette... Allez-y si vous avez besoin vous ennuyer.* *La réalisation de ce machin a coûté 175 millions de $, un cauchemar...