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    Ready Player One
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    Cinofage
    Cinofage

    1 abonné 30 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 avril 2018
    J'ai adoré ce film, pour moi c'est vraiment un chef-d'œuvre car j'aurai souhaité que la fin n'arrive pas et que ça continue encore et encore.
    j'encourage tous le monde à voir ce film.
    elriad
    elriad

    385 abonnés 1 788 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2018
    un régal d'invention pour les yeux, une 3D époustouflante révolutionnaire au service de la réalité virtuelle qui fait oublier certaines longueurs et un scénario moyen. Une petite pépite visuelle.
    1008cent99
    1008cent99

    40 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2018
    Certainement le film de l'année grâce a son incroyable fraîcheur qu'il apportera au cinéma. Vue en dolby 3D c'était juste énorme. Je ne suis pourtant pas fan de tout ce qui est effets spéciaux en image de synthèse mais la je m'incline. Une immersion total porté par de bons acteurs, un peu d'humour mais sans trop rentrer dans l’exagération. Mais surtout un scénario tellement immersif ! Il saura parler au grand public car il n'est pas réserver au gamers ou aux fans de pop culture. Une grande révélation ce film.
    Vareche
    Vareche

    35 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 avril 2018
    Real Player one, c'est une oscillation permanente entre deux monde qui se découpent dans la seule filmographie de Steven Spielberg, le survival horror et son muséum de monstres (War of World, La list de Schindler, Duel, Les dents, Jurrasik park, Munich...) et le portrait de l'individu triomphant de la vieille morale conservatrice/dominante (AMistad, ET, The Panama Papers, The terminal, War Horse, Lincoln...). Ces deux rives n'offrent pas un pont très large aux passages d'idées neuves, alors Spielberg recycle les cartes qu'il a lui même distribué depuis si longtemps qu'on se pique devant l'épuisante litanie de refoulé que le réalisateur empile avec bien peu d'esprit. A force de mettre en scène des films magnifiquement écrits (ce n'est pas le cas de celui-ci), avec une pate d'Ours, on est en droit de comparer l'effort gigantesque et si apprent (qu'est ce qu'elle est spectaculaire Michael Bay ma poursuite en voiture!!) de ce Real Player One avec ces références. De WOrld Of Warcraft, à Final Fantasy en passant par Gon, DARRYL, ou Sword Art Online, que nous raconte ce curieux monsieur qui met en abîme un musée de la pop culture comme moteur de la psyché du vrai héro de son film, le geek blond qui fournissait des infos secrètes à Mulder dans X files (ou dans Indépendance Day) ? Et bien l'effet est triple. SPielberg pas fatigué de monumentaliser son Amérique et consorts (Panama Papers, Lincoln, Le Bon Gros ...) avait ce talent de faire surchaufffer le réel (les rapports familliaux de WoW, ET ou AI, mère hystérique je te hais, ou les scènes Dame du Vendredi d'Indianna Jones), se contente ici de le désactiver. Ici le réel ne représente rien, et là dès le début SPielberg rame pour croire à sa disotopie. Enjeux inexistants, rapports familiaux sacrifiés, et postiches d'adolescents révoltés jamais incarnés (ni peut être désirés). Prenez ET et l'identité très forte de ces jeunes héros et comparés les à ceux de celui-ci et on ne peut qu'être sidéré. Et à mesure que le réel est censé réapparaître, mollement, s'achemine les pires poncifs du cinéma de série B (sauver la princesse, se faire des potes révolutionnaires et benêts, punir le méchant et s'infilter chez lui, baiser la princesse (pas en groupe cette fois-ci), et regarder le Citizen Kane du film faire mystère de la réalité de sa disparition). Ainsi Naïvement deux héros se disputent le film sans jamais se contredire, puisqu'ils forment à peu près la même personne, il n'est pas fait mystère que ces deux être ne sont qu'un, et qu'il s'agit simplement de modifier le destin de l'un pour qu'il ne devienne pas l'autre, mais pourquoi ? Pour baiser la princesse voyons et gagner de la thune (mais pas trop) ! Les geeks, tonton Steven vous le dit de son imprenable Mur du Nord, le monde virtuel c'est cool mais James Bond riche c'est mieux qu'un Max Payne virtuel et maudit car à la fin tu tires ton coup. Cette morale formidable éclaire parfaitement les enjeux posés par l'infra monde qui est la (seule) pièce maîtresse du puzzle. Et là ça fait mal et c'est long, puisqu'on a le droit aux enigmes de Harry Potter, aux course poursuites d'Advent Children, à un remake caca pipi prout de Shining (cette oscillation entre déssaroi gêne -oulala Shining était donc un si grand film ???- et qu'est ce que fait mon voisin de salle en ce moment ? est pénible) et à des scènes de combats calqués sur FF12 ou Warcraft pimenté de guitare éléctrique. Pendant ce temps les gens réels qui incarnent ce combat d'avatars se battent dans la rue ou dans leur salle de bain ou en train de conduire, on pense aux nombres de mort que celà a du occasioner. L'articulation réel monde fantasmé est ici un gadget répétitif dont les enjeux ne sont ni claires ni cohérents (pourquoi les années 80/90 sont-elles si représentées, comme si le présent n'avait rien créer du passé que sa récupération, comme si l'imaginaire collectif était mort. Pourquoi sauver ce monde d'un entrepreneur pas très effrayant alors qu'il est déjà le monopole d'un steve job matiné de Mike Meyers plutôt effrayant ?), le récit pretexte recréer du ringard à la pelle, pire il permt à SPielberg d'en rajouter une couche (était-ce possible ?) dans le manièrisme mécanique, mal presque absolu d el'image de synthèsé qui imite le cinéma (et du cinéma qui imite le cinéma), devenu le mal du cinéma qui imite l'image de synthèse en la réintériorisant comme cinéma. Sacralisation de l'image dont le fond n'est qu'une autre image, elle même echo de l'image à laquelle elle est censée donnée sens, La subordination du monde physique par le monde numérique et les virtualités qu'elle concédent ne donnent lieu qu'à des scènes de vaudeville, ou chacun change de culotte et se cache dans celle du voisin. Désactivation, mais pas de réactivation. Real Player One aurait pu se terminer sur son pixel caché pour faire un peu le ménage et introduire son nouveau monde comme avènement du premier, où la vie ne se réinvente pas mais où elle se fait mystère. Il n'en est rien et au fond il n'en sera jamais ainsi, il faut eduquer les mauvaises ouailles à la bonne parole, et condamner ce monde à la loi et à la mémoire puisque l'éthique y est impossible. Le pragmatsime est un humanisme en somme. En Marche !!!
    Luke.S
    Luke.S

    15 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 avril 2018
    Un film à la hauteur de Steven Spielberg. Le scénario est génial. De plus, c'est un réel plaisir d'observer toutes les références à la pop culture. Des moments drôles, d'action, d'amitié, d'amour, Spielberg est au top de sa forme. Un bon casting.
    FILM VU EN 4DX
    GéDéon
    GéDéon

    55 abonnés 448 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mai 2022
    Avec ce long-métrage de science-fiction, sorti en 2018, Steven Spielberg nous entraîne dans un univers vraiment captivant. En effet, le scénario mélange adroitement personnages réels et virtuels avec une unité de temps. C’est à la fois déconcertant et jubilatoire. Mais là où le réalisateur réussit véritablement son pari, c’est dans la célébration des références à la pop culture (musiques, jeux-vidéos, costumes, cinéma, etc.). A ce titre, l’immersion dans le film « Shining » de Stanley Kubrick constitue certainement l’un des passages les plus étonnants. Bref, bien plus qu’un simple divertissement doté d’effets spéciaux hallucinants, ce film porte un regard amusé sur notre société de plus en plus déshumanisée.
    Alolfer
    Alolfer

    87 abonnés 892 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2024
    Ready Player One est un film incroyable qui marquera cette décennie ! Une superbe idée pour tous les fans de jeux vidéos ou même pour des personnes lambdas
    ZOC Ri
    ZOC Ri

    38 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 mai 2018
    Film insipide, acteurs sans charisme.
    Scenario minimaliste.
    Aucune surprise, aucune émotion.
    Le vide.
    Même les effets spéciaux sont ratés.
    J'ai connu des jeux plus beaux, plus enthousiasmant et plus intéressant que ce film.
    Film qui s'adresse plus aux pré-ado de 8 à 13 ans.
    Je vais me refaire la rencontre du 3eme type pour oublier ce navet.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 avril 2018
    Film pas terrible qui surfe sur la mode rétro geek et la réalité virtuelle. Le scénario façon jeux video est insipide, il se résume à dénicher 3 clés pour trouver un œuf, difficile de retenir l'attention avec si peu d'autant que les personnages manquent singulièrement de charisme et que le dénouement est prévisible avec aucune surprise. Ce n'est pas la réalisation qui relèvera le niveau: elle est assez brouillonne avec des scènes d'action illisibles à cause d'une caméra bien trop dynamique, l'image est trop sombre et la 3D mal exploitée. Difficile de croire que c'est Spielberg derrière la caméra. Seuls les quelques clins d'œil à des personnages de la culture pop et la scène de Shinning valent le coup d'œil, c'est bien peu.
    Et puis le message du film fait sourire par sa naiveté (l'abus le virtuel c'est pas bien, il faut profiter aussi de la réalité...)
    Bref ce film est un film mineur, une oasis de fadeur !
    Max Rockatansky79
    Max Rockatansky79

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2018
    Époustouflant, jouissif, on reste scotché à son fauteuil. J’ai passé un moment merveilleux avec la banane face à toutes ces références insérée intelligemment. Une vraie merveille. Spielberg revient dans la SF et ça fait mal dans le bon sens du terme. Merci monsieur Spielberg pour ce moment magique.
    Leny L
    Leny L

    3 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2018
    2h20 d'effet speciaux impressionant , le film est riche limite l'impression d'en avoir plusieur en 1 . L'histoires est bien rechercher
    Tom-el
    Tom-el

    5 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mars 2018
    On a souvent tendance à opposer blockbuster et film d'auteur. Mais avec Ready Player One (RPO), Spielberg réussi le pari de cumuler ces deux genres. A première vue, RPO est bien évidemment un blockbuster avec un budget (relativement) colossale, et fait pour atteindre le milliard de recettes mondiales. Mais là où, pour moi, RPO est aussi un film d'auteur, c'est dans le fait que Spielberg rend hommage à la pop culture qu'il aime infiniment, lui et pas seulement l'auteur du bouquin (on le voit lors de la géniale scène du deuxième défi, qui n'est pas dans le livre).
    RPO est un film important, tout comme l'était Avatar à l'époque, avec des défauts bien évidemment, mais qui ne gâchent pas le plaisir qu'on prend devant le film.
    Geek ou néophyte, tout le monde peut prendre son pied devant RPO, et c'est pour ça que je ne peut que le conseiller à tout le monde.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 août 2018
    Ce film m'a déçu alors que je m'attendais à peu.
    Le scénario est globalement convenu, plein d'incohérences et de facilités, les personnages clichés ( spoiler: et en plus ils habitent tous à moins de 5min les uns des autres.... pas crédible)
    .
    C'est un film qui prétend parler aux "geeks", tout en loupant des éléments complets de cette culture ( spoiler: Vraiment le coup d'aller en marche arrière à la première épreuve, que personne ne l'ait fait est juste inconcevable
    ). Je pense qu'il est plus fait pour les gens qui pensent connaitre la culture qui y est référencée.
    Quand à la qualité graphique, qui est loin de faire un bon film pour moi, elle est ok. Mais on se passerait bien des plans de caméras vomitifs dans certains passages qui sont juste là parce qu'ils peuvent l'être.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 mars 2018
    Voilà très longtemps que je n'avais pas ressenti une telle émotion dans un film. Je suis un geek fan de pop culture et surtout je suis cinéphile , READY PLAYER ONE m'as procuré un plaisir immense de retombé en enfance en me revoyant dans ma chambre a joué à mes jeux vidéos sur mes consoles ou encore sur mon cpc, mais également je me suis mis très facilement à la place du héros Perzival sur certains jeux MOBA ou MMO.

    BREF je suis très étonné que le siège du cinéma est tenu tant j'ai sauté de plaisir sur certaines scènes, quel KIFF , l'histoire est très orignal bien que par moment on peut s'attendre à ce qui va se passé.

    Le grand retour de Spielberg est totalement justifié dans ce film, la dernière fois que je suis sorti d'un cinéma en ne sachant plus vraiment ou j'étais c'était à la sortie du film MATRIX.

    Amoureux de jeux vidéo , geek , pop culture , films d'action ! FONCEZ vous ne serez pas déçu. :

    N:B j'ai été le voir en 2D en vO mais je retournerai le voir en 3D ou en 4D VF pour profitez des effets visuel sans lire les sous titres.

    UN GROS MERCI après une longue journée de travail de pouvoir jouir visuellement d'un tel plaisir nostalgique Haaaaa !! Allez je fonce me faire un LOL !
    Cc IIe X
    Cc IIe X

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 août 2018
    Je n'ai que très rarement vu un film aussi risible. Un pur produit du cinéma américain et ce qui se fait de mieux en ce moment. Le scénario est vide avec des événements plus improbables les uns que les autres, un univers qui pourrait être sympa s'il ne décrédibilisait pas totalement le monde du jeu-vidéo. Les personnages, pour les "gentils" : Une bande de gogoles pseudo-anarchistes pas perspicaces pour un sou, qui se pensent exceptionnels parce que "gneugneu j'adore Shining, j'écoute du Joy Division et je sais provoquer un court-circuit". Quant aux méchants, pas besoin d'épiloguer dessus, même Dark Vador était plus crédible, c'est pour dire. Le seul point positif est l'aspect esthétique du film -et encore- avec de superbes images de synthèse .
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