Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Hybridant réel et virtuel dans un ballet virtuose, Steven Spielberg construit un film oxymore où les contraires travaillent en harmonie pour un résultat d’une parfaite homogénéité. Un grand film profond et spectaculaire, du cinéma à l’état pur comme lui seul sait en faire.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Josué Morel
Ready Player One s’affirme plus encore qu’une révolution plastique : il est un miroir combinant passé et futur pour donner à voir le contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un film essentiel, à voir absolument pour observer et ressentir les mutations de l’imaginaire, du spectacle et au-delà de nos sociétés. Un Spielberg magicien au top.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’action ne faiblit jamais, chaque plan déborde d’idées dans cet hommage à la pop culture bercé par la musique des eighties.
Le Parisien
par La Rédaction
Un grand film de gamin réalisé par un cinéaste de 71 ans. Ébouriffant !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Magnifique divertissement, Ready Player One est un foisonnant Rubik's Cube avec lequel on n'a pas fini de jouer.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Avec son éternelle modestie, Spielberg embrassse des décennies de pop culture, transcende les raccourcis de son scénario et livre un blockbuster mis en scène de main de maître.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Clélia Cohen
Ce qui rend l’étourdissante cavalcade virtuelle de "Ready Player One" singulière, belle, c’est la manière dont cohabitent peu à peu en elle inquiétude et jubilation, vitesse et risque d’étouffement. La couleur et le risque de la noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
POUR : "Ready Player One" est le tout premier film à vraiment saisir l'essence du gaming, et des liens qui unissent les créateurs de jeux aux joueurs eux-mêmes.
Première
par Gaël Golhen
Futuriste et mémoriel. Balèze. Alors : Ready? Go!
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Une œuvre somme, tant dans l'émotion qu'elle procure, que la gestion de ses références. Un spectacle geek et familial jubilatoire. Réjouissant. Puissant. Onirique. Bref : jouissif !
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Acteurs charismatiques, musiques endiablées, effets spéciaux novateurs... Des éléments fondamentaux, évidemment, mais ce qui fait de Ready Player One un chef-d’œuvre dans son genre science-fiction-rétro, c’est assurément le génie de Steven Spielberg qui pourrait bien en faire son œuvre-testament.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Danièle Heymann
Qu'elle est loin, la poésie de E.T. ! Mais quel scénario visionnaire...
CNews
par La rédaction
Incontournable architecte de la pop culture des années 1980, Steven Spielberg lui rend un incroyable hommage dans "Ready Player One", un film d’aventure aux effets spéciaux impressionnants, qui réjouira plus que tout autre les trentenaires.
Closer
par La Rédaction
Steven Spielberg retrouve le génie de ses débuts.
Ecran Large
par Simon Riaux
Véritable coup de boule asséné à l'industrie de la nostalgie, "Ready Player One" est un "Terminator" venu défibriller les cinéphiles anesthétisés par des années de références aseptisées et de culture geek dégénérée.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
IGN France
par Vincent de Lavaissiere
Ready Player One n'est peut-être pas l'adaptation tant attendue par les fans du roman, cela reste un divertissement aussi efficace que nostalgique.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Express
par Eric Libiot
Spielberg s'amuse (comme un fou) à truffer "Ready Player One" de références aux films des années 1970-1980. Histoire de rappeler que le cinéma est une madeleine qui se déguste avec plaisir.
LCI
par Jérôme Vermelin
C’est du grand art, généreux et virtuose. Sans parler des innombrables références à la pop culture qui justifient, à elles seules, plusieurs visionnages. Pour la critique de l’addiction aux nouvelles technologies et des dangers que font planer les mondes virtuels sur nos vies, mieux vaut revoir le récent "Blade Runner 2049".
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Deux mois après l’excellent Pentagon Papers, Steven Spielberg revient avec un nouveau film, totalement différent, mais tout aussi inspiré.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Le réalisateur d'E.T signe un film magistral, malin, spectaculaire, comme il sait bien le faire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le réalisateur signe un film d’aventures à grand spectacle, entre monde virtuel et réel.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
(...) Spielberg ne réveille pas l’enfant en lui en évoquant les années 1980, (...) il ne s’avance pas comme J. J. Abrams et les Duffer à pas de loup dans l’arrière-monde de ses images primitives. D’où le charme frivole de Ready Player One, grande machine à essorer les souvenirs d’un adulte rusé qui mime une culture teen dont il ne fut pas le destinataire mais l’expéditeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Pierre Eisenreich
Ainsi, le réalisateur d'"Il faut sauver le soldat Ryan", qui avait introduit au cinéma une présence sans précédent de la chair dans le film de guerre, rappelle que la puissance d'incarnation demeure cinématographique. Le jeu vidéo ne peut que singer le 7e art.
Rolling Stone
par Peter Travers
L’enfant amateur de jeux vidéo qui sommeille en Steven Spielberg se dévoile entièrement avec Ready Player One, un joyeux tour de force qui vous plonge dans une merveille d’effets spéciaux, de paysages éblouissants mélangés à du live action, de messages cachés et de références aux années 80.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
(...) à 71 ans, Spielberg, tel un gamin ouvrant son coffre à jouets, prouve qu'il a gardé sa créativité intacte.
Télérama
par Samuel Douhaire
C’est Spielberg qui est aux manettes, et il s’en donne à cœur joie dans ce blockbuster truffé de références à la culture pop. Play it again, Steven !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
En matière d'aventures, de pure mise en scène, de va-et-vient entre monde réel et monde virtuel, "Ready Player One" dépote. En termes d'écriture, d'incarnation, d'émotions, c'est une autre histoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Humanité
par Vincent Ostria
Les bibelots nostalgiques de Spielberg sont insignifiants par rapport à ses androïdes émouvants d’A. I. Intelligence artificielle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le dernier film de Steven Spielberg, adapté du roman d’Ernest Cline, oscille entre virtuel et réalité. Trop répétitif, trop long.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le programme pédagogeek de Ready Player One est limpide : il s’agit d’apprendre à une génération qui a grandi avec E.T. à régresser, retourner dans sa chambre, refaire pipi au lit (…). On pourrait s’en amuser, mais la régression infantile des geeks n’est pas qu’une névrose pathétique, c’est aussi l’ajustement à tout un marché, économique et politique (…).
Mad Movies
par Fausto Fasulo
CONTRE : "Ready Player One" est donc pire qu'un film raté : c'est un film triste dont la superficialité thématique (...), l'absence d'enjeux dramatiques (...) et l'ostentation formelle (...) laissent à penser que pour redéfinir sincèrement son art populaire, Spielberg ferait mieux de ne pas convoquer bêtement des icônes inventées par d'autres.
CinemaTeaser
Hybridant réel et virtuel dans un ballet virtuose, Steven Spielberg construit un film oxymore où les contraires travaillent en harmonie pour un résultat d’une parfaite homogénéité. Un grand film profond et spectaculaire, du cinéma à l’état pur comme lui seul sait en faire.
Critikat.com
Ready Player One s’affirme plus encore qu’une révolution plastique : il est un miroir combinant passé et futur pour donner à voir le contemporain.
Franceinfo Culture
Un film essentiel, à voir absolument pour observer et ressentir les mutations de l’imaginaire, du spectacle et au-delà de nos sociétés. Un Spielberg magicien au top.
Le Journal du Dimanche
L’action ne faiblit jamais, chaque plan déborde d’idées dans cet hommage à la pop culture bercé par la musique des eighties.
Le Parisien
Un grand film de gamin réalisé par un cinéaste de 71 ans. Ébouriffant !
Le Point
Magnifique divertissement, Ready Player One est un foisonnant Rubik's Cube avec lequel on n'a pas fini de jouer.
Les Fiches du Cinéma
Avec son éternelle modestie, Spielberg embrassse des décennies de pop culture, transcende les raccourcis de son scénario et livre un blockbuster mis en scène de main de maître.
Libération
Ce qui rend l’étourdissante cavalcade virtuelle de "Ready Player One" singulière, belle, c’est la manière dont cohabitent peu à peu en elle inquiétude et jubilation, vitesse et risque d’étouffement. La couleur et le risque de la noirceur.
Mad Movies
POUR : "Ready Player One" est le tout premier film à vraiment saisir l'essence du gaming, et des liens qui unissent les créateurs de jeux aux joueurs eux-mêmes.
Première
Futuriste et mémoriel. Balèze. Alors : Ready? Go!
Télé Loisirs
Une œuvre somme, tant dans l'émotion qu'elle procure, que la gestion de ses références. Un spectacle geek et familial jubilatoire. Réjouissant. Puissant. Onirique. Bref : jouissif !
aVoir-aLire.com
Acteurs charismatiques, musiques endiablées, effets spéciaux novateurs... Des éléments fondamentaux, évidemment, mais ce qui fait de Ready Player One un chef-d’œuvre dans son genre science-fiction-rétro, c’est assurément le génie de Steven Spielberg qui pourrait bien en faire son œuvre-testament.
Bande à part
Qu'elle est loin, la poésie de E.T. ! Mais quel scénario visionnaire...
CNews
Incontournable architecte de la pop culture des années 1980, Steven Spielberg lui rend un incroyable hommage dans "Ready Player One", un film d’aventure aux effets spéciaux impressionnants, qui réjouira plus que tout autre les trentenaires.
Closer
Steven Spielberg retrouve le génie de ses débuts.
Ecran Large
Véritable coup de boule asséné à l'industrie de la nostalgie, "Ready Player One" est un "Terminator" venu défibriller les cinéphiles anesthétisés par des années de références aseptisées et de culture geek dégénérée.
IGN France
Ready Player One n'est peut-être pas l'adaptation tant attendue par les fans du roman, cela reste un divertissement aussi efficace que nostalgique.
L'Express
Spielberg s'amuse (comme un fou) à truffer "Ready Player One" de références aux films des années 1970-1980. Histoire de rappeler que le cinéma est une madeleine qui se déguste avec plaisir.
LCI
C’est du grand art, généreux et virtuose. Sans parler des innombrables références à la pop culture qui justifient, à elles seules, plusieurs visionnages. Pour la critique de l’addiction aux nouvelles technologies et des dangers que font planer les mondes virtuels sur nos vies, mieux vaut revoir le récent "Blade Runner 2049".
La Croix
Deux mois après l’excellent Pentagon Papers, Steven Spielberg revient avec un nouveau film, totalement différent, mais tout aussi inspiré.
Le Figaro
Le réalisateur d'E.T signe un film magistral, malin, spectaculaire, comme il sait bien le faire.
Le Monde
Le réalisateur signe un film d’aventures à grand spectacle, entre monde virtuel et réel.
Les Inrockuptibles
(...) Spielberg ne réveille pas l’enfant en lui en évoquant les années 1980, (...) il ne s’avance pas comme J. J. Abrams et les Duffer à pas de loup dans l’arrière-monde de ses images primitives. D’où le charme frivole de Ready Player One, grande machine à essorer les souvenirs d’un adulte rusé qui mime une culture teen dont il ne fut pas le destinataire mais l’expéditeur.
Positif
Ainsi, le réalisateur d'"Il faut sauver le soldat Ryan", qui avait introduit au cinéma une présence sans précédent de la chair dans le film de guerre, rappelle que la puissance d'incarnation demeure cinématographique. Le jeu vidéo ne peut que singer le 7e art.
Rolling Stone
L’enfant amateur de jeux vidéo qui sommeille en Steven Spielberg se dévoile entièrement avec Ready Player One, un joyeux tour de force qui vous plonge dans une merveille d’effets spéciaux, de paysages éblouissants mélangés à du live action, de messages cachés et de références aux années 80.
Télé 7 Jours
(...) à 71 ans, Spielberg, tel un gamin ouvrant son coffre à jouets, prouve qu'il a gardé sa créativité intacte.
Télérama
C’est Spielberg qui est aux manettes, et il s’en donne à cœur joie dans ce blockbuster truffé de références à la culture pop. Play it again, Steven !
L'Obs
En matière d'aventures, de pure mise en scène, de va-et-vient entre monde réel et monde virtuel, "Ready Player One" dépote. En termes d'écriture, d'incarnation, d'émotions, c'est une autre histoire.
L'Humanité
Les bibelots nostalgiques de Spielberg sont insignifiants par rapport à ses androïdes émouvants d’A. I. Intelligence artificielle.
Sud Ouest
Le dernier film de Steven Spielberg, adapté du roman d’Ernest Cline, oscille entre virtuel et réalité. Trop répétitif, trop long.
Cahiers du Cinéma
Le programme pédagogeek de Ready Player One est limpide : il s’agit d’apprendre à une génération qui a grandi avec E.T. à régresser, retourner dans sa chambre, refaire pipi au lit (…). On pourrait s’en amuser, mais la régression infantile des geeks n’est pas qu’une névrose pathétique, c’est aussi l’ajustement à tout un marché, économique et politique (…).
Mad Movies
CONTRE : "Ready Player One" est donc pire qu'un film raté : c'est un film triste dont la superficialité thématique (...), l'absence d'enjeux dramatiques (...) et l'ostentation formelle (...) laissent à penser que pour redéfinir sincèrement son art populaire, Spielberg ferait mieux de ne pas convoquer bêtement des icônes inventées par d'autres.