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Votre avis sur Marvin ou la belle éducation ?
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La musique de fin est "Iam your shadow" interprétée par Lisa Gerrard (Dead can dance), voilà la tonalité du film.
Entre
"Je dirais que l'amour est une chose magique
Je dirais que l'amour nous garder de la douleur"...
Marvin va grandir, voilà l'histore,
et nous grandissons avec lui.
Un film magique.
Entre
"Je dirais que l'amour est une chose magique
Je dirais que l'amour nous garder de la douleur"...
Marvin va grandir, voilà l'histore,
et nous grandissons avec lui.
Un film magique.
Très beau film , un peu complexe à comprendre à certains moments , mais nous avons le droit à un final en beauté , un film appréciable , qui parle d’un sujet difficile à aborder , l’homosexualité en famille. Ce films présente peu de scène dite de sexe ce qui est appréciable , car bien souvent ce genre de scène sont régulière et devienne laçante dans les films , surtout dans les films gay .
Film vu en septembre 2023. Complètement d'actualité, avec le harcèlement scolaire, sur l'homophobie. A voir .
J'adore les films qui dérangent et quand ils sont particulièrement bien joués, alors là j'adhère totalement, même si l'acteur principal est très performant, une mention particulière pour Marvin jeune, j'ai beaucoup aimé ce film!
Film parlant de l'homosexualité d'un jeune issu d'une vieille famille française un peu ringarde. On voit comment ce jeune a réussi à se débrouiller seul en faisant des choses pas très convenables pour s'en sortir. Certaines scènes sont redondantes, le film aurait pu être plus court.
Le film se remarque par des prestations excellentes des acteurs sans doute bien dirigés. Par contre je trouve qu'il n'apporte pas grand chose avec des caractères de personnages sans surprise.
Très beau film, dur aussi, sans aucune longueur. Des dialogues bien sentis. Julien Poirier et Finnegan Oldfield sont remarquables. Beaucoup accusent ce film de véhiculer des clichés. Je crois surtout qu'on traite de "cliché" ce qu'on ne veut pas voir. Cette histoire est comme toutes les histoires, elle décrit un cas forcément un peu extrême comme dans toute oeuvre de fiction, qui autrement serait sans intérêt, mais un cas plausible. Bien des gens ont subit ce genre de violence ou des violences analogues. Qu'elles touchent beaucoup ou peu de monde n'a d'ailleurs aucune importance pour ceux qui les subissent. Elles doivent cesser, c'est tout.
weihnachtsmann
Un beau film sur l'enfant qui souffre et qui fait de sa souffrance une force.
On voit bien qu'il ne renie pas sa famille. Il sait l'amour qu'il a reçu même si la tendresse n'était pas présente.
Il veut juste combattre les idées qui font que le jeune homosexuel qui grandit doit mentir ou se battre pour survivre.
Une très belle mise en scène et des acteurs formidables
On voit bien qu'il ne renie pas sa famille. Il sait l'amour qu'il a reçu même si la tendresse n'était pas présente.
Il veut juste combattre les idées qui font que le jeune homosexuel qui grandit doit mentir ou se battre pour survivre.
Une très belle mise en scène et des acteurs formidables
Un film très touchant et profond dans les émotions aussi une très histoire qui peut arriver à n importe quel personne un très bon moment devant l écran
Marvin ou la belle éducation, le titre montre déjà qu'il s'agit de l'histoire d'un jeune homme et de ses tentatives pour trouver le bonheur et surmonter toutes sortes d'obstacles. Il s'agit notamment de ses ambitions dans le monde de l'art pour être plus précis ses plans pour devenir acteur. Un autre problème clé est son homosexualité et la façon dont il la gère ainsi que la façon dont les personnes les plus importantes et les plus proches de sa vie la gèrent. Il y a beaucoup de douleur à regarder ici. De nombreuses scènes qui ont un grand potentiel de choc en particulier pendant les parties de flashback. Mais malheureusement presque jamais vraiment d'impact en termes de composant global de narration. Et c'est bien dommage. Pour moi le résultat a été assez décevant. C'était un très long film de presque 2 heures et je ne peux pas nier qu'il a traîné un peu plus que quelques occasions. Il n'y a pas eu non plus de grands moments vraiment, seulement quelques uns qui ont rehaussé l'ensemble du produit avec ses nombreuses séquences médiocres et souvent faibles. Les meilleures parties étaient peut-être ces scènes de flash-back qui incluent la vie de famille avec père, mère et frères. Leurs histoires et leurs relations avec Marvin peuvent être la seule raison de regarder le film. Mais ça ne vaut pas la peine de passer les 90 minutes restantes. L'inclusion d'Isabelle Huppert semblait un peu étrange l'idée était intéressante, mais l'exécution ne le rendait pas du tout mémorable. Il y avait de la place pour plus sans aucun doute. L'oubliable, le négatif est bien plus fréquent que tout ce qui est positif. J'ai également trouvé les scènes de flashback très tôt déroutante. L'acteur principal Oldfield a reçu des éloges pour son interprétation mais je n'ai pas été impressionné. Il s'intègre parfaitement à tout ce qui est oubliable dans ce film. Je suis assez fan des films français mais ce doit être l'un des plus faibles que j'ai vu ces derniers mois, voire des années. Le sujet à lui seul n'en fait en aucun cas un film fort comme certains semblent le penser....
Tout, absolument tout est loupé dans ce film. Surtout l'adaptation du roman de Edouard Louis qui méritait un autre traitement. Il n'y a rien à sauver, rien à épargner dans l'entreprise bourgeoise et rétrograde d'Anne Fontaine. Finnegan Oldfield et Isabelle Huppert sont pathétiques. C'est un film haïssable qu'il faut bannir.
Audrey L
Marvin ou la belle éducation est un témoignage qui pourrai être celui de nombreux jeunes dissimulant une tendance sexuelle qui ne serait pas acceptée par une famille conservatrice. Ici, le propos est poussé à l'extrême puisque l'on a affaires à une famille de rustres, alcoolisés, parlant vulgairement, et pour qui la virilité est indispensable au garçon. Ce jeune homme tente donc de s'émanciper par l'art du théâtre mais revient en flashbacks sur son enfance pour construire sa pièce dramatique, comme un travail sur soi que l'on suit du début à la "presque" fin (le final est assez inabouti). L'acteur interprétant Marvin enfant est brillant et attendrissant, un peu moins sa version adulte dont l'acteur semble parfois réciter son texte très placidement (peut-être était-ce un parallèle avec la pièce de théâtre qu'il monte, mais dans ce cas le lien n'était pas assez clair dans la mise en scène). Isabelle Huppert, qui joue son propre rôle, n'est pas vraiment indispensable et on préfère finalement de très loin le père de famille rustre qui est criant de vraisemblance. Il est, pour ma part, celui qui tire réellement son épingle du jeu car l'on voit son évolution et l'acteur est excellent. La mise en scène est un frein à l'identification, entre le pèle-mêle des flashbacks et les dialogues un peu récités, mais les acteurs sont bons et l'intrigue assez intéressante.
Edouard Louis a donné son accord pour que son livre En finir avec Eddy Belle Gueule soit adapté par Anne Fontaine au cinéma. Puis, au visionnage du film, il a demandé que ni son nom ni son ouvrage ne figurent au générique.
En dehors du fait que Marvin est très éloigné du livre, il est fort à parier que c'est surtout la piètre qualité de l'ensemble du film qui a rebuté l'auteur.
Les dessins des différents milieux sociaux sont caricaturaux. Les acteurs, et c'est une exploit quand on affiche des comédiens de la qualité de Grégory Gadebois, Catherine Salée, Charles Berling, Isabelle Huppert, India Hair, Catherine Mouchet ou Finnegan Oldfield, sonnent faux. Les scènes redondantes finissent par être insignifiantes, le récit presque naïf alors qu'il devrait être dur. Et cerise sur le gâteau, la construction de l'histoire en flash back incessant lasse très vite.
On se raccroche à l'interprétation lumineuse du jeune Jules Porier, seul intérêt du film.
sanscrierart.com
En dehors du fait que Marvin est très éloigné du livre, il est fort à parier que c'est surtout la piètre qualité de l'ensemble du film qui a rebuté l'auteur.
Les dessins des différents milieux sociaux sont caricaturaux. Les acteurs, et c'est une exploit quand on affiche des comédiens de la qualité de Grégory Gadebois, Catherine Salée, Charles Berling, Isabelle Huppert, India Hair, Catherine Mouchet ou Finnegan Oldfield, sonnent faux. Les scènes redondantes finissent par être insignifiantes, le récit presque naïf alors qu'il devrait être dur. Et cerise sur le gâteau, la construction de l'histoire en flash back incessant lasse très vite.
On se raccroche à l'interprétation lumineuse du jeune Jules Porier, seul intérêt du film.
sanscrierart.com
Le Paris bourgeois et cultivé du XXIe siècle mis en parallèle avec la province pauvre et arrièrée bloquée au XIXe. Le résultat d'une mise en scène aussi snob, ce sont des personnages, des dialogues et un scénario affligeant voire pénible.
Drôle d'adaptation. Anne Fontaine nous a habitué à plus cruel et plus de pertinence. Son film n'est que maladresse et embarras. La famille, la campagne, la façon de parler, de réagir, la ville, le monde du théâtre, tout est caricatural. Voire grossier et ridicule (pauvre Grégory Gadebois).
Quelques moments sauvent le film, dans ce refuge autorisé par l'art et la rencontre de personnages importants. Mais l'ensemble donne la sensation d'une immense caricature grotesque. Le manque de subtilité du propos retire toute crédibilité à ce que le film veut raconter. Raté ? ou un peu quand même.
Quelques moments sauvent le film, dans ce refuge autorisé par l'art et la rencontre de personnages importants. Mais l'ensemble donne la sensation d'une immense caricature grotesque. Le manque de subtilité du propos retire toute crédibilité à ce que le film veut raconter. Raté ? ou un peu quand même.
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