Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Cette façon de plonger au coeur d'un homme est bouleversante, car Anne Fontaine tient l'empathie à bonne distance pour éviter la démagogie larmoyante.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un magnifique film sur un jeune homme qui s'émancipe contre son milieu social.
VSD
par Bernard Achour
Le film, très intelligemment dérivé du roman d'Edouard Louis "En finir avec Eddy Bellegueule", est une merveille, un alcool fort qui râpe les tripes avec une rare intégrité (...).
20 Minutes
par Caroline Vié
Finegan Oldfield apporte une part de fragilité intense à Marvin ou la belle éducation d'Anne Fontaine. Entouré par Isabelle Huppert, Grégory Gadebois, Vincent Macaigne et Charles Berling, le jeune acteur franco-britannique domine cette libre adaptation d’En finir avec Eddy Bellegueuled’Edouard Louis.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Françoise Delbecq
Un film esthétique et bouleversant.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un film poignant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un "Maryline" au masculin, plus convenu sans doute, mais plus cohérent dans son personnage et dans son interprétation.
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film extrêmement juste et bouleversant.
Le Point
par Victoria Gairin
Jules Perier et Finnegan Oldfield crèvent l'écran.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un rôle de premier choix pour ce jeune homme atypique, déjà indispensable dans le paysage du cinéma hexagonal.
Première
par Christophe Narbonne
Impressionniste, le montage cherche la vérité du personnage à travers sa multiplicité. Finnegan Oldfield et, surtout, le petit Jules Porier servent magnifiquement les intentions d’Anne Fontaine.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Le roman d'Edouard Louis revisité avec superbe.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Inspiré du best-seller d'Edouard Louis, "En finir avec Eddy Bellegueule", ce film d'Anne Fontaine distille des moments de grâce, d'émotion pure.
Télérama
par Pierre Murat
POUR : Le plus troublant et le plus touchant sont les moments intenses qui parsèment ce conte moral.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un récit mélancolique, plus ou moins inspiré de "En finir avec Eddy Bellegueule" d'Edouard Louis.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Anne Fontaine brosse le portrait subtil d’une quête d’identité et propose une réflexion pertinente sur le travail du comédien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Le regard d’Anne Fontaine marque par son intensité. Son quinzième film est une surprenante prolongation de roman. Entre descriptions appuyées et ode au dépassement de soi, elle chante un destin. Avec deux solistes magnétiques.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Anne Fontaine n’évite pas certaines redondances dans le récit d’enfance, réitérant les scènes d’humiliations au collège, monde vicié, mais elle réussit admirablement les scènes familiales, sans condescendance, sans mépris de classe (...).
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Globalement, le film est réussi. Et provoque d'ailleurs des sentiments très voisins de ceux nés lors de la lecture du livre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Grégoire Leménager
Malgré des maladresses (des fins longues comme un train de marchandises), malgré quelques scènes gênantes lorsqu'un riche amateur de garçons (Charles Berling) entretient le protagoniste, le scénario a des idées habiles (c'est par le théâtre que Marvin trouve le moyen de réinventer sa vie).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le nouveau film d’Anne Fontaine est porté par des comédiens formidables mais pâtit d’une construction trop alambiquée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Une principale de collège bienveillante (Catherine Mouchet), un riche homosexuel (Charles Berling) et un professeur de conservatoire déjà passé par le chemin qu'emprunte Marvin (Vincent Macaigne). Ils font oublier la mise en scène conventionnelle d'Anne Fontaine et les flash-back assez usants à la longue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ce film s'empare du succès d'Edouard Louis pour en faire tout autre chose (...). Une trahison audacieuse qui, au fil d'une mise en scène plan-plan mais avec de beaux comédiens, dénonce l'homophobie et plaint l'ignorance.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette ambition n’est pas sans péril et le film vacille parfois (...). Reste le plus important, le portrait fragmenté et constamment émouvant d’un jeune homme qui réussit à passer le miroir, porté par Finnegan Oldfield, qui accomplit ici les promesses que l’on avait devinées dans Gang Bang, Une vie ou Les Cowboys.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
(...) le film, certes convenu, est servi par des dialogues ciselés et une interprétation impeccable de Finnegan Oldfield. De quoi faire oublier quelques coutures un peu épaisses.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Capable de susciter de l’émotion, mais maladroit quand il s’agit des rencontres successives que fait Marvin, ce récit d’une floraison douloureuse est constamment en dents de scie.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Une lourde construction en flash-back qui affadit le propos et étire le film en un long et fastidieux traité de sociologie illustrée.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
À force de courir après l’émotion facile, la mise en scène volontiers démonstrative, explicative, finit par forcer le trait.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Faisant le récit d’un personnage stigmatisé, A. Fontaine signe curieusement un film stigmatisant sur le milieu prolétaire dont son héros est issu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
Peut-être qu'une trop grande sagesse de mise en scène ou qu'une trop grande déférence vis-à-vis du roman ont empêché Anne Fontaine de plonger pleinement les mains dans la glaise de ce récit source de malaise.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Si "Marvin" est indiscutablement un film raté, c’est moins parce que la réalisatrice choisit d’en faire un récit initiatique sur le pouvoir de l’éducation plutôt que le témoignage d’une enfance brutalisée par l’homophobie et l’ignorance, que parce qu’il échoue à faire exister un regard sur son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Dans cette adaptation camouflée d’"En finir avec Eddy Bellegueule", Anne Fontaine se vautre dans l’anecdote et l’outrance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
C’est comme un condensé caricatural de tout ce dont souffre un certain cinéma français en vase clos, du vérisme à la va-comme-je-te-pousse au romanesque sociologisant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
CONTRE : On comprend qu’Anne Fontaine ait renoncé à une adaptation au sens strict d’En finir avec Eddy Bellegueule : sa représentation du prolétariat, seule classe sociale décrite dans le roman, est catastrophique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Cette façon de plonger au coeur d'un homme est bouleversante, car Anne Fontaine tient l'empathie à bonne distance pour éviter la démagogie larmoyante.
Ouest France
Un magnifique film sur un jeune homme qui s'émancipe contre son milieu social.
VSD
Le film, très intelligemment dérivé du roman d'Edouard Louis "En finir avec Eddy Bellegueule", est une merveille, un alcool fort qui râpe les tripes avec une rare intégrité (...).
20 Minutes
Finegan Oldfield apporte une part de fragilité intense à Marvin ou la belle éducation d'Anne Fontaine. Entouré par Isabelle Huppert, Grégory Gadebois, Vincent Macaigne et Charles Berling, le jeune acteur franco-britannique domine cette libre adaptation d’En finir avec Eddy Bellegueuled’Edouard Louis.
Elle
Un film esthétique et bouleversant.
Femme Actuelle
Un film poignant.
Le Dauphiné Libéré
Un "Maryline" au masculin, plus convenu sans doute, mais plus cohérent dans son personnage et dans son interprétation.
Le Parisien
Un film extrêmement juste et bouleversant.
Le Point
Jules Perier et Finnegan Oldfield crèvent l'écran.
Marianne
Un rôle de premier choix pour ce jeune homme atypique, déjà indispensable dans le paysage du cinéma hexagonal.
Première
Impressionniste, le montage cherche la vérité du personnage à travers sa multiplicité. Finnegan Oldfield et, surtout, le petit Jules Porier servent magnifiquement les intentions d’Anne Fontaine.
Studio Ciné Live
Le roman d'Edouard Louis revisité avec superbe.
Télé Loisirs
Inspiré du best-seller d'Edouard Louis, "En finir avec Eddy Bellegueule", ce film d'Anne Fontaine distille des moments de grâce, d'émotion pure.
Télérama
POUR : Le plus troublant et le plus touchant sont les moments intenses qui parsèment ce conte moral.
Voici
Un récit mélancolique, plus ou moins inspiré de "En finir avec Eddy Bellegueule" d'Edouard Louis.
aVoir-aLire.com
Anne Fontaine brosse le portrait subtil d’une quête d’identité et propose une réflexion pertinente sur le travail du comédien.
Bande à part
Le regard d’Anne Fontaine marque par son intensité. Son quinzième film est une surprenante prolongation de roman. Entre descriptions appuyées et ode au dépassement de soi, elle chante un destin. Avec deux solistes magnétiques.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Anne Fontaine n’évite pas certaines redondances dans le récit d’enfance, réitérant les scènes d’humiliations au collège, monde vicié, mais elle réussit admirablement les scènes familiales, sans condescendance, sans mépris de classe (...).
Franceinfo Culture
Globalement, le film est réussi. Et provoque d'ailleurs des sentiments très voisins de ceux nés lors de la lecture du livre.
L'Obs
Malgré des maladresses (des fins longues comme un train de marchandises), malgré quelques scènes gênantes lorsqu'un riche amateur de garçons (Charles Berling) entretient le protagoniste, le scénario a des idées habiles (c'est par le théâtre que Marvin trouve le moyen de réinventer sa vie).
La Croix
Le nouveau film d’Anne Fontaine est porté par des comédiens formidables mais pâtit d’une construction trop alambiquée.
Le Figaro
Une principale de collège bienveillante (Catherine Mouchet), un riche homosexuel (Charles Berling) et un professeur de conservatoire déjà passé par le chemin qu'emprunte Marvin (Vincent Macaigne). Ils font oublier la mise en scène conventionnelle d'Anne Fontaine et les flash-back assez usants à la longue.
Le Journal du Dimanche
Ce film s'empare du succès d'Edouard Louis pour en faire tout autre chose (...). Une trahison audacieuse qui, au fil d'une mise en scène plan-plan mais avec de beaux comédiens, dénonce l'homophobie et plaint l'ignorance.
Le Monde
Cette ambition n’est pas sans péril et le film vacille parfois (...). Reste le plus important, le portrait fragmenté et constamment émouvant d’un jeune homme qui réussit à passer le miroir, porté par Finnegan Oldfield, qui accomplit ici les promesses que l’on avait devinées dans Gang Bang, Une vie ou Les Cowboys.
Paris Match
(...) le film, certes convenu, est servi par des dialogues ciselés et une interprétation impeccable de Finnegan Oldfield. De quoi faire oublier quelques coutures un peu épaisses.
Sud Ouest
Capable de susciter de l’émotion, mais maladroit quand il s’agit des rencontres successives que fait Marvin, ce récit d’une floraison douloureuse est constamment en dents de scie.
Cahiers du Cinéma
Une lourde construction en flash-back qui affadit le propos et étire le film en un long et fastidieux traité de sociologie illustrée.
La Voix du Nord
À force de courir après l’émotion facile, la mise en scène volontiers démonstrative, explicative, finit par forcer le trait.
Les Fiches du Cinéma
Faisant le récit d’un personnage stigmatisé, A. Fontaine signe curieusement un film stigmatisant sur le milieu prolétaire dont son héros est issu.
Positif
Peut-être qu'une trop grande sagesse de mise en scène ou qu'une trop grande déférence vis-à-vis du roman ont empêché Anne Fontaine de plonger pleinement les mains dans la glaise de ce récit source de malaise.
Critikat.com
Si "Marvin" est indiscutablement un film raté, c’est moins parce que la réalisatrice choisit d’en faire un récit initiatique sur le pouvoir de l’éducation plutôt que le témoignage d’une enfance brutalisée par l’homophobie et l’ignorance, que parce qu’il échoue à faire exister un regard sur son sujet.
Les Inrockuptibles
Dans cette adaptation camouflée d’"En finir avec Eddy Bellegueule", Anne Fontaine se vautre dans l’anecdote et l’outrance.
Libération
C’est comme un condensé caricatural de tout ce dont souffre un certain cinéma français en vase clos, du vérisme à la va-comme-je-te-pousse au romanesque sociologisant.
Télérama
CONTRE : On comprend qu’Anne Fontaine ait renoncé à une adaptation au sens strict d’En finir avec Eddy Bellegueule : sa représentation du prolétariat, seule classe sociale décrite dans le roman, est catastrophique.