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MickyHellAngel
10 abonnés
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1,0
Publiée le 5 août 2015
film francais ce qui explique déjà beaucoup sur ce que le film doit être mais on le tente quand même et dès le début on sait qu'on va le regretter car on sent qu'on va s'ennuyer ferme et c'est le cas ! y'aurait pas les scènes de pseudo sensualité pour essayer de donner du rythme et un intérêt au film mais non c'est très mal joué, y'a aucun vrai talent chez les acteurs bref un film dont on se serait bien passé
Je vais faire synthétique: je me suis fait chier comme un rat mort.
J'ai lu des avis sur ce film avant d'aller le voir, et beaucoup d'avis positifs (presse et spectateurs); un film apparemment plein de légèreté et de fraîcheur... PARDON?! Où ça? C'est tout sauf frais ou léger, il y a des relents de vieillot, de poussiéreux de bout en bout du film. J'ai fini par abandonner la torture à 40min... Les dialogues sont creux, inintéressants, faciles et suivent un rythme d'une lenteur absolue. Bref, au début j'ai esquissé un sourire pour je ne sais plus quelle réplique puis j'ai passé mon temps à lutter contre le sommeil avant de capituler.
Et, une fois de plus, on se retrouve face à des personnages lisses, bien pensants, qui vivent dans un milieu plutôt aisé et occupent des professions intellectuelles "élevées". Des personnages qui réfléchissent à leur situation avec tellement de "philosophie" (comrpendre masturbation intellectuelle) qu'ils tuent l'intérêt originel du sujet du film. Le bon vieux film français donc, lisse, ridiculement lent et creux, sans aucune saveur et qui se perd tout seul dans son phrasé pseudo-savant. Le tout avec un décor généralement sombre, évidemment. Ce qui contribue aussi pas mal à me faire bien dormir. Je conseille aux insomniaques, qui sait, peut-être que les vertus soporifiques de ce film auront raison de vous.
On est face à un vrai triangle amoureux pas comme dans certains films où il n'est question que de deux personnes et d'une au milieu qui subit la situation là, c'est les trois personnages qui sont attirés l'un par l'autre. C'est un film très jovial, frais, léger, amusant, touchant et surtout porté par l'excellente Anais Demoustier, les deux autres acteurs ne sont pas en reste non plus... La 1re partie du film est vraiment bien, le triangle amoureux est bien exploité et donne lieu à des scènes amusantes et cocasses, mais la 2e est un peu plus poussive, je n'ai pas retrouvé tout ce que j'avais aimé au début peut-être à cause d'un scénario qui n'a pas réussi à se renouveler en tout cas et malgré la 2e partie, c'est un film qui fait passer un agréable moment.
Un couple de trentenaires dans la banlieue lilloise, ils ont acheté une maison, ils s'aiment, ce qui ne les empêche pas d'être infidèles. Lui la trompe avec sa meilleure amie, Mélodie. Elle aussi le trompe, elle aussi avec sa meilleure amie, elle aussi avec Mélodie. Mélodie est avocate, elle aime le couple tout comme elle aime chacun de ses amants. Alors elle se démène pour faire cohabiter dans sa vie chacun de ces éléments en apparence incompatibles. Jérôme Bonnel renouvelle ici le triangle amoureux, pour un résultat plein de fraîcheur, qui toutefois, comme la grande majorité des films du genre, n'échappe pas à une fin en demi-teinte. Le tout est magnifiquement porté par la pétillante Anaïs Demoustier, parfaite dans ce rôle de jeune femme à cent à l'heure refusant de sacrifier l'amitié à l'amour, et l'amour à l'amitié.
Je m'attendais à plus de densité, de richesse, d'émotion, de surprise... Bref, je m'attendais à un meilleur film, même l'écriture et la réalisation de Jérôme Bonnell m'ayant paru en-dessous de ce que le bonhomme peut offrir habituellement. Reste un jolie histoire, avec quelques scènes vraiment drôles et une sensibilité palpable, notamment dans ce trio de personnages tout de même assez attachants, filmé avec pudeur et tendresse. Il y a un petit vent de liberté, une volonté de présenter un schéma narratif légèrement différent : ce n'est pas suffisant pour nous combler, mais dans le paysage cinématographique hexagonal, c'est toujours bon à prendre. Jolies prestations de Sophie Verbeeck et surtout d'Anaïs Demoustier dans un de ses meilleurs rôles, Félix Moati apparaissant en revanche légèrement moins inspiré. Notons enfin un dénouement plutôt inattendu, que certains qualifieront de « moral », adjectif auquel je préfère « émouvant ». Un peu décevant donc, sans être dénué d'intérêt pour autant.
Bon j'ai vu ce film. je le rangerai plutôt dans la catégorie du téléfilm. Il n'apporte rien. Il ne manifeste contre rien, il ne prend position contre rien. il est plat, comme ses acteurs. Je ne comprends d'ailleurs pas l'engouement pour Anaïs,Félix ou Sophie. Ils sont biens là ou ils sont, dans des rôles sans saveur et sans éclat. On aimerait bien voir des acteurs un peu plus charismatiques. Voila, à trois est plat comme son histoire son début son milieu et sa fin, ses acteurs et le reste. Allons bon! on attend le réveil de Bonnel, sans l'attendre vraiment.
Cette œuvre brinquebalant entre le vaudeville et la comédie sentimentale, est plutôt sympathique dans un premier temps. La situation est coquasse et on passe une bonne première demi-heure. Anais Demoustier et Felix Moati sont convaincants. J'ai beaucoup plus de peine avec Sophie Verbeeck, très belle au demeurant, qui manque d'expressivité, certains plans avec elle ne passant pas, et qui de surcroit, lorsqu'elle pousse la chansonnette, nous brise les oreilles. Le film patine en deuxième partie avec un scénario dilué. Tout le monde attends le coup de théâtre qui n'en sera pas vraiment un. Le cinéaste n'a pas trouvé une voie non-conformiste pour le clap final. Quelles étaient ses intentions ? Vaudeville ? Briser les tabous ? Simplement parler d'amour ? Malheureusement un peu de tout.
Après avoir mis en scène Emmanuelle Devos et Gabriel Byrne dans Le Temps De L’Aventure, Jérôme Bonnell met en scène cette fois-ci les espoirs du cinéma français dans son nouveau long-métrage. Aussi au scénario, le réalisateur y invente un triangle amoureux pour le moins intriguant puisqu’un un couple se trompe mutuellement avec la même personne sans que le couple ne se soupçonne de rien.
Un scénario vraiment exquis qui permet au cinéma français de se renouveler quelque peu avec cette jeunesse vraiment très prometteuse. Le réalisateur adopte un rythme un peu lent mais soutenu sur toute la durée ce qui ne laisse pas le temps au spectateur de s’ennuyer. Si l’idée de base était alléchante, le réalisateur / scénariste sait parfaitement bien la développer dans la durée, qui n’est pas excessive pour le bien de tous, mais aussi dans ses personnages, tous plus intéressant les uns que les autres.
Le réalisateur sait donc bien développer ses personnages et son triangle amoureux grâce à l’interprétation impeccable de ses acteurs notamment. En effet, le couple incarné par Sophie Verbeeck et Félix Moati est exquis mais on délecte principalement de la jeune et jolie Anaïs Demoustier, celle qui est au cœur de cette relation interdite. Tous les trois révèlent à leur tour une certaine finesse et une intensité de jeu remarquable qui mérite d’être soulevé.
À Trois On Y Va est donc une nouvelle réussite pour Jérôme Bonnell qui met brillamment en scène la jeunesse française qui s’illustre avec brio dans cette comédie romantique pas comme les autres au scénario vraiment original qui se révèle être une très bonne surprise.
Le jeune réalisateur français Jérôme Bonnell propose, à sa manière, un classique du cinéma, le triangle amoureux. Dans cette romance plutôt classique, il injecte pas mal de fraîcheur et de jeunesse ainsi que quelques bonnes idées de mise en scène. Il y a également de l'humour, avec de nombreuses scènes de comique de situation. Il exploite parfaitement, dans ces moments, le fort potentiel comique de Félix Moati, découvert dans Libre et assoupi. Il est accompagné de l'omniprésente et talentueuse actrice française, Anaïs Demoustier. Elle excelle une nouvelle fois grâce à sa fougue et à sa simplicité. Les deux jeunes pousses du cinéma français sont accompagnées d'une révélation belge, Sophie Verbeeck. Cette dernière compose un personnage plus complexe que ses deux acolytes, ce qui la rend fort intrigante. Les séquences de quiproquos visuels s’enchaînent malgré un rythme assez décousu. Le réalisateur prend son temps pour développer son histoire, et c'est peut-être pas plus mal, au final, car cela rend crédible ce qui se passe à l'écran. Les trois acteurs sont vraiment excellents et bien dans leurs personnages. La fin est inattendue donc forcément intéressante. Pour conclure, on peut dire qu’A trois on y va est un beau film simple et léger, dans lequel son réalisateur montre plein de belles choses.
Ce film n'a malheureusement rien pour lui. L'humour est très répétitif jusqu'à en être agaçant, on en vient à pouvoir carrément prédire les scènes suivantes tant le réalisateur semble aimer recycler 10 fois le même gag... Le scénario pourrait tenir en 2 lignes, on a le sentiment que rien ne va jamais se passer, ce qui est effectivement le cas. La fin est particulièrement incohérente. Les petites phrases pseudo-subtiles et philosophiques de certains personnages sont juste ridicules. Seul le personnage de l'avocate est un tout petit peu intéressant, mais reste très superficiel. Passez votre chemin...
Micha est amoureux de Charlotte, sa compagne. Mais Charlotte a une relation depuis cinq mois avec Mélodie, une amie du couple. Pour boucler la boucle, Mélodie vient de s'éprendre de Micha, alors qu'il la raccompagnait chez elle. Film poétique, volontairement naïf mais faussement innocent, A trois on y va est la comédie romantique à voir du moment. Et cela grâce à quatre personnes.
Jérôme Bonnell d'abord, auteur d'œuvres d'ordinaire bien plus sérieuses. Sa plume fine et précise donne au récit une légèreté très attrayante qui plongera le spectateur dans une histoire d'amour pleine d'ironie. Le triangle amoureux, figure usée jusqu'à la moelle dans les cinémas du monde entier, est réinventée par le cinéaste. Contrairement à Gray (Two Lovers), Honoré (Les chansons d'amour) ou Frears (Les liaisons dangereuses), il injecte une bonne dose d'humour à son récit. En jouant sur le suspens, le réalisateur installe un comique de situation qui met constamment à mal ses protagonistes.
Anaïs Demoustier ensuite, actrice éclatante et boulimique des tournages. Malgré ces cinq films l'année dernière, on ne se lasse pas de la voir dans des rôles toujours plus intéressants. Aujourd'hui, elle constitue le point central de la narration en tissant le lien entre ce couple à la dérive. De manière habile, elle oscille entre vives émotions et candeur séductrice.
Moati et Verbeeck enfin, acteurs au charme ravageur et parfaitement crédibles en tant que couple. Leur relation est au plus mal et pourrait être pathétique si Bonnell n'était pas derrière la caméra. Mais un paradoxe insoupçonné s'installe dans le lien qui les unit et le rend d'autant plus fort, et complexe. L'expression "Fuis moi je te suis, suis moi je te fuis" prend alors tout son sens.