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Un visiteur
5,0
Publiée le 28 septembre 2008
Yeah. Sex, drugs and Rock'n roll. Cela aurait pu être le solgan du film. Une histoire étonnante, entre un jeune couple de junkie en manque d'argent et un vieux couples de dealers experts dans leurs domaines qui va devenir attachante et violente en exploitant la relation enfants/parents. Un film efficace mené par des acteurs tout simplement époustouflant (James Woods en tête !). Le tout mené par une BO endiablé. A voir, un film vraiment super.
J'avais adoré "BULLY" ! J'avais été intrigué par "KEN PARK" ! Mais là, je n'ai vraiment pas accroché à ce film aux apparences ordinaires... Je me suis ennuyé...
Lorsque Larry Clark a un scénario il fait vraiment des merveilles. Photographie superbe, musiques inspirées (dont une version trash de Misses Jones), interprétation juste, Another day in Paradise se savoure comme un cocktail (sex drogue et rock’n roll).
Même si le style Larry Clark est bien présent ici, il semble s'être fatigué en cours de route. Rien de nouveau. L'histoire n'est ni excitante, ni violente, ni choquante, ni perturbante. Rien. Elle est racontée sans rebondissement. Dommage. 2 étoiles tout de même pour la qualité de la mise en scène.
Bien qu'ayant décroché à quelques moments du film, en gros c'était tout de même un joli portrait de famille décalé. James Woods excellant comme à son habitude dans les rôles de marginaux.
De la drogue ? OUI. Du sexe ? OUI. De la violence ? OUI. Des dialogues crus ? OUIIIII. Limite jouissif Another Day In Paradise joue avec nos nerfs jusqu'a la fin... Je lui en donneré moi a Mel :-P Un bon chef d'oeuvre signé Larry Clark.
Malgré le bon casting, je ne comprends pas que l'on puisse apprécier un film de ce genre ! Aucune morale, appologie de la drogue, de la violence, voir de l'ultra-violence gratuite, je ne vois pas l'intérêt...
Après Kids, Larry Clark s'essaye à un style avec un peu plus de consistance. Moins documentaire et un scénario plus devellopé, Larry Clark ne perd pas non plus sa façon de filmer. Toujours sa caméra fourre-tout avec quelques scènes érotiques bien filmées. Le film est tout de même soft à ce niveau mais par contre reste moins avare en violence. Another day in Paradise nous offre des scènes violentes froides, voir même glaciales. Sans concession, ça va droit au but. Les acteurs sont convaincants, surtout l'interprétation géniale du grand James Woods. Un personnage violent, impulsif mais attachant car souvent drôle avec un humour délirant et un regard très responsable. La photographie est toujours aussi soignée qui instaure une ambiance assez froide voir même glauque. Pour conclure, Larry Clark nous offre encore un superbe film dont il a toujours le savoir-faire.
Mon préféré de Larry Clark. Ce film est énorme, avec la rencontre de deux duos représentatifs de deux générations. On s'embarque dans les histoires, on pleure à certains passages, on sent le souffle de la liberté à la fin. Mélanie Griffith est splendide dans son rôle, femme compréhensive, presque maternelle. J'adore ce film.
Bluesy à n'en plus finir ! Ce film revêt de magnifiques gonades avec pour distribution un J. Woods des plus décalés et une M. Griffith des plus inattendues ! Un scénario qui décoiffe façon seventies mais une réalisation toute sommaire, il aurait peut-être fallu d'un O. Stone sous champignons hallucinogènes pour mettre un peu plus de piquant à tout ça (genre "Tueurs-Nés"). C'est en voulant faire culte qu'on fait cucul la praline l'ami ! En tout cas, sacrée BO !
Retour sur un film que j'ai longtemps - il faut bien le dire - délaissé au profit d'autres traitant du même sujet ( l'univers des junkies fut un terrain d'exploitation inépuisable pour un bon nombre de réalisateurs américains de la fin du XXeme siècle )... Car malgré son indéniable efficacité Another Day in Paradise n'en demeure pas moins un Larry Clark mineur ( il lui faudrait beaucoup pour atteindre la puissance d'un Kids, d'un Bully ou même d'un Ken Park ). Le cinéaste y dépeint une nouvelle fois l'adolescence dans son incandescence, mais cette fois-ci la narration l'emporte sur la description. Dans Another Day... la jeunesse est brute, évanescente, mais les corps y sont gauchement dirigés, moins sublimés qu'à l'accoutumée, probablement en raison d'un récit très vampirique, plus linéaire et moins conceptuel que d'habitude... Il en résulte un divertissement de facture terriblement classique, assez tendance, qui n'évite pas toujours les poncifs du genre mais qui se laisse suivre sans broncher. On préférera revoir le terrible Kids, preuve que Larry Clark n'a jamais été meilleur que lorsqu'il pratiquait l'art de la pose...