Derniers Avis : Another Day in Paradise - Page 2

Si on reconnaît bien la patte de Larry Clark, je n'ai que très peu retrouvé le style choquant du réalisateur. Toutefois, même si ce n'est pas un chef d'oeuvre, le film mérite quand-même d'être vu, au moins pour la BO et pour James Woods. Concernant Mélanie Griffith, je n'aime pas trop cette actrice, que je trouve un peu trop "regarde moi". J'ai vu plus haut quelqu'un qui a dit de la BO qu'elle était "faiblarde"... Mais qu'est-ce qu'il lui faut ??? Elle est tout simplement géniale !

Suis-je le seul à avoir reconnu Lou Diamond Phillips en "tantouze" maquillée (deuxième partie du film) ? Ou est-ce moi qui me trompe ??? En tout cas, soit la personne lui ressemble vraiment, soit il n'est pas crédité sous ce nom...

Je ne sais pas pourquoi, mais ce film me fait penser à Gun Crazy (le démon des armes), par son côté road-movie sans issue.

J'ai complètement accroché à ce film du début à la fin. Une sombre histoire de sexe, de drogues, de jeunes délinquants habilement raconté et mise à l'écran de façon réaliste et renversante. Le jeu d'acteurs des 4 personnages principaux sont excellents de bout en bout, pas une seule fausse note, et la musique ajoute encore plus l'intérêt du spectateur. Grand prix festival du film policier 1999 mérité. Je le conseille !!!

C'est sombre et intense mais prévisible et sans surprises. James Woods et Melanie Griffith livrent d'honnêtes prestations mais l'univers des toxicomanes n'est vraiment pas assez analysé et creusé. Bilan plutôt négatif.

Nous sommes ici en présence d'un nouveau "road movie" comme les américains savent si bien les faire; mais là où ''Another Day In Paradise'' est intéressant c'est qu'il n'est pas là pour montrer une succession de scènes d'action afin de mieux servir un scénario pauvre. Le scénario est simple, mais cette histoire nous est dévoilée non pas comme un film mais presque comme un reportage où nous suivons le voyage de nos héros. Le réalisateur nous dépeint donc une histoire pas drôle, avec des plans parfois lents, il prend son temps, c'est un style voulu : on a vraiment l'impression que le film fut tournée à l'époque à laquelle il se déroule...effet réussi, on est vraiment dans l'ambiance des 70's, et la B.O. ne fais que renforcer cet aspect ! Au niveau des acteurs, James Woods et Mélanie Griffith sont très bon : James Woods nous prouve une fois de plus qu'il est bien une de ces "belles gueules" du cinéma US, ce genre d'acteur qui ont un charisme incroyable et qui vous passionne pour leur personnage, comme le font Christopher Walken, Ed Harris ou encore Christian Bale. Quand à Melanie Griffith, elle est toujours aussi belle malgré son âge...et juste une actrice de son talent pouvait tenir tête au monstre qu'est James Woods, un couple parfait ! Petit bravo aussi à ces deux inconnus que sont Vincent Kartheiser (Bobby) et Natasha Gregson Wagner (Rosie) : ces jeunes acteurs jouent parfaitement leurs rôles de jeunes paumés accros au joint...Mention Spéciale pour Monsieur Kartheiser, dont le charisme à l'écran arrive même à égaler celui de James Woods par moment ! ''Another Day In Paradise'' est un autre "road movie", certes, mais pas un film joyeux...il ne ressemble pas à d'autres road movies comme ''True Romance'' dans lesquel, au final, nous avons une touche d'optimisme....non il se rapproche plus dans son concept d'un ''Thelma et Louise'' : la vie n'est pas rose et parfois, pour s'en sortir, il faut savoir devenir une petite frappe, voire une merde...du moment que l'on reste en vie ! Parce que, en fin de compte, le seul malheur de nos quatre héros c'est qu'ils soient tous des paumés ! ''Another Day In Paradise'' est donc un film de genre qui se laisse regarder avec joie, mais si vous aimez les films bourrins où ça tire de partout ou les zolies histoires qui se finissent bien dans le meilleur des mondes, passez votre chemin, ''Another Day In Paradise'' risque de vous ennuyer ou de vous faire perdre vos illusions.

Surement le film de Larry Clark qui y ressemble le moins, on y retrouve ses ingrédients comme le personnage principal qui est un jeune complètement perdu en pleine dérive dans la drogue et la petite délinquance, mais le film n'est pas sale, trash ou aussi cru que ses autre métrages, mais surtout ça ne parle que très peu de sexe . Du Larry Clark qui ne semble pas totalement en être et qui change de ses habitudes mais qui démontre un style toujours aussi agréable et percutant .

On est plongé dans les années 70 ou un jeune junkie paumé qui vole des distributeurs va se faire tabasser par un agent de sécurité, il le poignarde mais en ressort salement amoché, son colocataire appel alors un ami pour le soigner, l'homme qui va l’aider c'est Mel un truand d'environ 40 ans qui va l'embarquer lui et sa copine dans des petits coups qui vont mal tourner .
Un junkie qui va devenir cambrioleur ou encore dealer, le réalisateur s'attaquer principalement a la drogue et au vol toujours dans une jeunesse perdue .

C'est sanglant brutal et violent, une descente au enfer qui va peu a peu devenir de plus en plus dur mais qui ne semble pas vraiment savoir ou aller par moment et surtout qui semble un peu tourner en rond a quelques reprise mais qui ne nous ennui par pour autant .
Les années 70 sont moyennement bien démontrés, en dehors de quelques vêtements ça ne tape pas a l’œil que ça se passe dans ces années là .

Du Larry Clark qui sait ce qu'il veut filmer et le fait de façon brut et violente, une vraie descente au enfer dans la drogue et les coups de feux, le tout est maitrisé de bout en bout avec d'excellente interprétations .

Un film assez réaliste et bien emmené par le réalisateur mais hélas le scénario manque vraiment d'intérêt!!

Le quatuor de gangsters que nous propose de suivre Larry Clark s’éloigne des poncifs du genre de par leurs relations complexes qui se rapproche bizarrement du lien de parenté presque vampirique entre les couples formés par James Woods et Mélanie Griffith et par Vincent Kartheiser et Natasha Gregson Wagner. Le microcosme lugubre des junkies est une source d’inspiration inépuisable pour le cinéma indépendant américain mais quand Larry Clark vient y fourrer le nez c’est pour y trouver un vecteur scénaristique à son sujet de prédilection qu’est la recherche de modèles par des adolescents abandonnés par l’espoir. Toujours excessif dans son schéma "Sexe, drogue & rock’n roll", le réalisateur fait de Another day in Paradise une œuvre captivante grâce à sa mise en scène qui parvient à la rendre à la fois brutale et sensuelle.

Larry Clark surement à son meilleur selon moi ! Toujours dans la violence et la jeunesse perdue.

J'ai complètement accroché à ce film du début à la fin. Une sombre histoire de sexe, de drogues, de jeunes délinquants habilement raconté et mise à l'écran de façon réaliste et renversante. Le jeu d'acteurs des 4 personnages principaux sont excellents de bout en bout, pas une seule fausse note, et la musique ajoute encore plus l'intérêt du spectateur. Grand prix festival du film policier 1999 mérité. Je le conseille !!!

Vu au cinéma lors de sa sortie. Il me souvient d'en être sorti retourné avec un sentiment très, très fort. Peut-être le genre (polar & road movie) qui donne ce cadre permettant à l'univers de Larry Clark d'être sublimé à l'écran. C'est en tout cas pour moi son meilleur film. Et mention spéciale à James Woods : ses côtés doux, dur et dingue n'ont jamais été si bien mis en valeur.

J'ai complètement accroché à ce film du début à la fin. Une sombre histoire de sexe, de drogues, de jeunes délinquants habilement raconté et mise à l'écran de façon réaliste et renversante. Le jeu d'acteurs des 4 personnages principaux sont excellents de bout en bout, pas une seule fausse note, et la musique ajoute encore plus l'intérêt du spectateur. Grand prix festival du film policier 1999 mérité. Je le conseille !!!

un film déstabilisant parlant de la drogue et la délinquance chez les jeunes. il montre cet univers de la manière la pus crue possible et c'est cela qui nous trouble un petit peu. spoiler: Notamment la scène de l'overdose.
L'acteur james woods est vraiment convaincant et son personnage qui contrôle la situation du au dé"but du film va se transformer en tueur sanguinaire et perdre complètement les pédales. Ce qui m'a un petit déranger c'est la façon de filmer ou la caméra est sans arrêt en mouvement. Conclusion: un film maitrisé dans le fond mais un peu moins dans la forme.

Larry Clark est un photographe et réalisateur obsédé par les jeunes et le sexe,son deuxième film n'en est donc pas dénué,il ne se résume heureusement pas qu'a ça.
Le parcours de ce jeune junkie embringué par un roublard du crime apprenti dealer nous livre des personnages plutôt bien campés,James Woods en tête,et une virée haute en couleur de cette petite famille improvisée s'avérera dramatique mais pas trop, rocambolesque mais pas trop non plus,au final,la mise en scène ne casse pas des briques et la photo ne rappelle que rarement que ce fut la spécialité de Clark, cela se laisse regarder mais oublié aussitôt.

Un très bon film qui mélange habilement plusieurs genres : road-trip à la Bonnie and Clyde, histoire d'amour et d'addiction à la drogue... On y croit grâce à un scénario qui évolue dans un rythme intelligent, laissant le temps qu'il faut aux personnage pour se révéler. Inutile de dire que les quatre acteurs principaux livrent une très bonne prestation...

2 généreuses étoiles pour ce film aux décors de tueur nés et avec cette histoire à la basketball diaries et toutes autres film du genre. Un scénario parfois ennuyant et des acteurs laids. Trouvé à 2 euros en dvd il y a maintenant 10 ans , je le classe aux oubliettes. ------Août 2012-----