Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Ouest France
par S. P.
Flirtant avec le fantastique et la folie, ce beau film d'angoisse joue avec nos terreurs primales et la puissance de l'imaginaire. Jérémie Elkaïm est impressionnant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Sans faire couler une goutte de sang, cette œuvre vénéneuse est de l’étoffe dont on fait les cauchemars.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Fabien Reyre
Gilles Marchand plonge dans les méandres de la folie et en tire un film anxiogène, un cauchemar qui renvoie aux peurs primales.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Critikat.com
par Fabien Reyre
"Dans la forêt" est beau parce qu’il n’est pas immédiatement lisible, et parce que Gilles Marchand parvient à y projeter ses propres obsessions et à les rendre universelles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
À l’heure où le cinéma français cherche encore ses marques dès lors qu’il s’aventure hors des sentiers de la philosophie de comptoir parisienne ou de la comédie réac, s’égarer dans une œuvre maîtrisée, peu soucieuse des codes préétablis et capable de transcender un dispositif aussi éminemment simple, fait un bien immense.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un conte étrange et énigmatique marqué par le regard envoûtant de Timothé Vom Drop, jeune comédien épatant.
Le Figaro
par La Rédaction
Scénariste d'Harry, un ami qui vous veut du bien, Gilles Marchand crée une atmosphère étrange et un suspense anxiogène, transmis à travers le regard d'un enfant. Frissons assurés.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Au gré d’un scénario épuré et d’une mise en scène suggestive littéralement aimantée par le fantastique, Gilles Marchand, auteur de films étranges et guidés par l’inquiétante ambiguïté de leurs personnages ("L’Autre Monde", "Qui a tué Bambi ?"), signe ici une fable singulière et audacieuse dans sa forme.
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
À la manière de Couperin, "Dans la forêt" est une magnifique "leçon de ténèbres" dont le lamento n'est pas une jérémiade mais une mélancolie de fond
Libération
par Luc Chessel
Gilles Marchand raconte avec finesse les retrouvailles d’un père aux idées étranges et de ses deux fils dans la nature suédoise.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Un conte initiatique à la fois inconfortable et touchant, auquel il manque un tout petit quelque chose pour nous mettre totalement KO.
Positif
par Pierre Eisenreich
Servi par une belle utilisation de l'écran large 2.35 et une bande sonore aux effets parcimonieux d'une grande efficacité, "Dans la forêt" présente à ce jour aussi la meilleure interprétation de Jérémie Elkaïm.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Film d’initiation tenu par la sobriété de l’intrigue et par la finesse des effets, "Dans la forêt" conjugue un beau portrait d’enfance, à la fois âpre et juste, et donne à Jérémie Elkaïm l’occasion de se montrer sous un jour inattendu en père austère.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
En favorisant une totale immersion dans les paysages, le réalisateur atteint une forme de fantastique poétique, où la peur se transforme en énergie positive.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Une approche flippante des terreurs de l'enfance.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Les zones incertaines choisies par le film suscitent l’intérêt par leur audace et leur promesse, mais il y a un moment où les idées et les affects doivent se ramasser sous peine d’en rester au vaporeux et à l’atmosphérique.
L'Humanité
par Vincent Ostria
On s’arrête juste à l’orée du cinéma d’horreur. Le film reste dans un entre-deux ; sa magie tient à cela. La monstruosité émane pour ainsi dire du contexte : la triste forêt, la neurasthénie du père, l’isolement. Comme tous les phobiques et paranos, Marchand s’inspire de Master Hitchcock, il propose une vision très personnelle de la peur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Cette habileté dans l’art de renvoyer le spectateur à ses peurs profondes est habilement servie par les trois acteurs principaux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
En quelques scènes mémorables et coups de théâtres plus bouleversants qu'effrayants, l'auteur entreprend un voyage initiatique et énigmatique dans le monde des peurs enfantines : l'obscurité, l'eau, l'inconnu, la solitude... Troublantes ondes de cinéma que voilà.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur la thématique symbolique des rapports au père, un film qui balance, comme un conte, entre le merveilleux et l’épouvante, à l’image de ce que suscite la forêt suédoise, décor et surtout acteur principal du film.
Le Parisien
par Catherine Balle
Malgré un début un peu lent, le film fait efficacement grimper la pression.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Romain Princet
Un film ambitieux, qui souffre hélas de sa construction alambiquée.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le scénariste de Harry, un ami qui veut du bien, revient aux rouages du thriller minimaliste, avec une nouvelle réalisation pour le moins ténébreuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Claude Atlas
Malgré une bonne interprétation et une photographie soignée, à force d'être programmatique, Dans la Forêt produit une forme d’oxymore : de l’ambivalence lisse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On a vite fait le tour de cette forêt trop pénétrable, dont le mystère est vite résolu, donnant l’impression de tourner en rond, avec l’effet de répétition inhérent, malgré de bonnes intentions premières.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Un conte à l'atmosphère prenante, qui pèche par manque de rythme et de péripéties. Dommage.
L'Obs
par François Forestier
Gilles Marchand ("Qui a tué Bambi ?") livre une sorte de roman d’apprentissage agaçant. L’image est belle, l’idée est intéressante, les acteurs sont excellents (surtout le petit Timothé Vom Dorp), mais l’ensemble est rébarbatif. C’est un genre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
La lente et efficace montée de l’angoisse dans le film de Gilles Marchand est celle ressentie par la menace du retour d’un fait divers.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Dès la première scène et un échange avec une psy, on sait que le film va dans le mur. La faute à un récit cousu de fil blanc, où la peur et le trouble se transforment en ennui.
Ouest France
Flirtant avec le fantastique et la folie, ce beau film d'angoisse joue avec nos terreurs primales et la puissance de l'imaginaire. Jérémie Elkaïm est impressionnant.
20 Minutes
Sans faire couler une goutte de sang, cette œuvre vénéneuse est de l’étoffe dont on fait les cauchemars.
Critikat.com
Gilles Marchand plonge dans les méandres de la folie et en tire un film anxiogène, un cauchemar qui renvoie aux peurs primales.
Critikat.com
"Dans la forêt" est beau parce qu’il n’est pas immédiatement lisible, et parce que Gilles Marchand parvient à y projeter ses propres obsessions et à les rendre universelles.
Ecran Large
À l’heure où le cinéma français cherche encore ses marques dès lors qu’il s’aventure hors des sentiers de la philosophie de comptoir parisienne ou de la comédie réac, s’égarer dans une œuvre maîtrisée, peu soucieuse des codes préétablis et capable de transcender un dispositif aussi éminemment simple, fait un bien immense.
Femme Actuelle
Un conte étrange et énigmatique marqué par le regard envoûtant de Timothé Vom Drop, jeune comédien épatant.
Le Figaro
Scénariste d'Harry, un ami qui vous veut du bien, Gilles Marchand crée une atmosphère étrange et un suspense anxiogène, transmis à travers le regard d'un enfant. Frissons assurés.
Le Journal du Dimanche
Au gré d’un scénario épuré et d’une mise en scène suggestive littéralement aimantée par le fantastique, Gilles Marchand, auteur de films étranges et guidés par l’inquiétante ambiguïté de leurs personnages ("L’Autre Monde", "Qui a tué Bambi ?"), signe ici une fable singulière et audacieuse dans sa forme.
Les Inrockuptibles
À la manière de Couperin, "Dans la forêt" est une magnifique "leçon de ténèbres" dont le lamento n'est pas une jérémiade mais une mélancolie de fond
Libération
Gilles Marchand raconte avec finesse les retrouvailles d’un père aux idées étranges et de ses deux fils dans la nature suédoise.
Mad Movies
Un conte initiatique à la fois inconfortable et touchant, auquel il manque un tout petit quelque chose pour nous mettre totalement KO.
Positif
Servi par une belle utilisation de l'écran large 2.35 et une bande sonore aux effets parcimonieux d'une grande efficacité, "Dans la forêt" présente à ce jour aussi la meilleure interprétation de Jérémie Elkaïm.
Sud Ouest
Film d’initiation tenu par la sobriété de l’intrigue et par la finesse des effets, "Dans la forêt" conjugue un beau portrait d’enfance, à la fois âpre et juste, et donne à Jérémie Elkaïm l’occasion de se montrer sous un jour inattendu en père austère.
Télérama
En favorisant une totale immersion dans les paysages, le réalisateur atteint une forme de fantastique poétique, où la peur se transforme en énergie positive.
VSD
Une approche flippante des terreurs de l'enfance.
Cahiers du Cinéma
Les zones incertaines choisies par le film suscitent l’intérêt par leur audace et leur promesse, mais il y a un moment où les idées et les affects doivent se ramasser sous peine d’en rester au vaporeux et à l’atmosphérique.
L'Humanité
On s’arrête juste à l’orée du cinéma d’horreur. Le film reste dans un entre-deux ; sa magie tient à cela. La monstruosité émane pour ainsi dire du contexte : la triste forêt, la neurasthénie du père, l’isolement. Comme tous les phobiques et paranos, Marchand s’inspire de Master Hitchcock, il propose une vision très personnelle de la peur.
La Croix
Cette habileté dans l’art de renvoyer le spectateur à ses peurs profondes est habilement servie par les trois acteurs principaux.
La Voix du Nord
En quelques scènes mémorables et coups de théâtres plus bouleversants qu'effrayants, l'auteur entreprend un voyage initiatique et énigmatique dans le monde des peurs enfantines : l'obscurité, l'eau, l'inconnu, la solitude... Troublantes ondes de cinéma que voilà.
Le Dauphiné Libéré
Sur la thématique symbolique des rapports au père, un film qui balance, comme un conte, entre le merveilleux et l’épouvante, à l’image de ce que suscite la forêt suédoise, décor et surtout acteur principal du film.
Le Parisien
Malgré un début un peu lent, le film fait efficacement grimper la pression.
Les Fiches du Cinéma
Un film ambitieux, qui souffre hélas de sa construction alambiquée.
aVoir-aLire.com
Le scénariste de Harry, un ami qui veut du bien, revient aux rouages du thriller minimaliste, avec une nouvelle réalisation pour le moins ténébreuse.
Culturopoing.com
Malgré une bonne interprétation et une photographie soignée, à force d'être programmatique, Dans la Forêt produit une forme d’oxymore : de l’ambivalence lisse.
Franceinfo Culture
On a vite fait le tour de cette forêt trop pénétrable, dont le mystère est vite résolu, donnant l’impression de tourner en rond, avec l’effet de répétition inhérent, malgré de bonnes intentions premières.
L'Express
Un conte à l'atmosphère prenante, qui pèche par manque de rythme et de péripéties. Dommage.
L'Obs
Gilles Marchand ("Qui a tué Bambi ?") livre une sorte de roman d’apprentissage agaçant. L’image est belle, l’idée est intéressante, les acteurs sont excellents (surtout le petit Timothé Vom Dorp), mais l’ensemble est rébarbatif. C’est un genre.
Le Monde
La lente et efficace montée de l’angoisse dans le film de Gilles Marchand est celle ressentie par la menace du retour d’un fait divers.
Studio Ciné Live
Dès la première scène et un échange avec une psy, on sait que le film va dans le mur. La faute à un récit cousu de fil blanc, où la peur et le trouble se transforment en ennui.