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    The Nice Guys
    Note moyenne
    3,8
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    488 critiques spectateurs

    5
    26 critiques
    4
    196 critiques
    3
    177 critiques
    2
    53 critiques
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    24 critiques
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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 mai 2016
    Bon début de film, mais l'histoire tourne en rond, elle est lente et pauvre! Trop d'humour lourd ..Dommage les acteurs sont pourtant tres bons !
    Angelina.J
    Angelina.J

    37 abonnés 265 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mai 2016
    le tandem Ryan Gosling Russel Crowe est tellement surprenant et mal assorti et pourtant il marche efficacement, deux détectives un niais naïf maladroit face a une brute un roc solide qui frappe sur tout se qui bouge; et pourtant sur une histoire noire et dure nos protagonistes s'éclatent et embarquent avec eux le spectateur dans des situations rocambolesques. c'est très drôle hilarant parfois absurde efficace débile, jouissif. on sort de ce film l'esprit léger détendu une bouffée d'oxygène de fou rire, ça fait vraiment tellement du bien. Ils ont pris du plaisir a jouer ces personnages Gosling et Crowe sont magnifiques.
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    57 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2016
    En 1978, un détective privé joué par Ryan Gosling et un gros bras incarné par Russel Crowe s'associent pour retrouver une jeune femme, sur fond de meurtres d'une équipe de tournage d'un film pornographique.
    Ce long-métrage est un hommage au cinéma des années 70 mettant en scène deux personnages plutôt différents qui se trouvent dans l'obligation de coopérer. J'ai trouvé l'ambiance très plaisante. De plus, bien que l'intrigue soit finalement classique, le tandem formé par Ryan Gosling et Russel Crowe fonctionne, donnant lieu à plusieurs séquences vraiment drôles. J'ai beaucoup apprécié ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 mai 2016
    Le duo Gosling/Crowe est juste exceptionnel. Ça part dans tous les sens, on a pas le temps de s'ennuyer.
    Seul bémol, le scénario un peu banal.
    titicaca120
    titicaca120

    389 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mai 2016
    un film qui m'a surpris d'entrée et dont j'ai adhéré immédiatement.
    on se retrouve fin années 70 la musique est là pour nous le rappeler.
    l'enquête pour retrouver une jeune fille prend des tournures hilarantes,
    chaque scène est un petit bijou d'anthologie.
    le duo d'acteur est complémentaire et les accompagnants comme la fille de Ryan Gosling
    extraordinaires de naturel.
    surement pas récompensé à Cannes mais quel plaisir j'ai pris.
    ER  9395
    ER 9395

    87 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juillet 2016
    Un buddy movie placé dans les 70's on ne plus réussi , ce duo de choc à l'air de bien s'amuser et par la
    même occasion nous aussi .
    Batjoss
    Batjoss

    44 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mai 2016
    Une petite merveille de comédie que ce Buddy Movie. Ryan Gosling démontre une nouvelle fois qu'il maîtrise aussi la comédie, il y est d'ailleurs en feu dans ce film, Russel Crowe très propre comme souvent mais est un peu effacé par son acolyte qui prend toute la place disponible. Les décors et costumes sont également très bons, accompagnés d'une bonne BO. Excellente distraction et on a hate de voir la suite !
    traversay1
    traversay1

    3 623 abonnés 4 872 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2016
    Même Nixon, à sa manière, participe à la fête dans The Nice Guys. Pour un gag absurde qui ne sert en rien à l'intrigue mais c'est précisément la ligne conductrice du film que de profiter d'un scénario sans queue ni tête pour revisiter L.A., dans ses années 70. Buddy Movie corrompu par l'humour noir et une amoralité revendiquée, The Nice Guys n'existe que pour dynamiter les règles de la bienséance (jusqu'à un certain point), imprimer une atmosphère cool et funk et préparer le cadre pour deux privés, losers et frénétiques, dans une enquête aussi peu crédible que propice à des scènes d'action survoltées. Russell Crowe et Ryan Gosling jouent joliment à crétiniser leurs personnages tout en leur donnant une profondeur qu'on qualifiera de métaphysique, faute de mieux. Pour le second, c'est une véritable composition de haute volée qui élargit une palette longtemps confinée à celle de beau gosse ténébreux à l'intérieur ravagé.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 mai 2016
    Très mauvais film,scénario navrant et ennuyant,95% des gags tombent à plat,je me demande comment de tels acteurs ont pu accepter de faire un film aussi mauvais,à fuir.
    lucilla-
    lucilla-

    60 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mai 2016
    C'est en tous points excellent! Le duo Crowe-Gosling est génial, le scénario est dingue et les situations hilarantes, en plus d'être furieusement 70'. A recommander !
    Flaw 70
    Flaw 70

    261 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mai 2016
    Shane Black a fait ses armes à Hollywood en tant que scénariste, étant l’auteur d’un bon nombre de films devenus cultes comme Lethal Weapon, Last Action Hero ou encore The Last Boy Scout. Des films de fin des années 80, début des années 90 qui ont clairement marqué le cinéma et qui se sont posés comme les maîtres étalons du « buddy movie« , genre dont Black s’impose comme le père. Il passe pour la première fois à la réalisation avec Kiss Kiss Bang Bang en 2005, un film néo-noir pulp et totalement jouissif qui malgré un échec au box-office avait séduit le public et la critique, gagnant un statut de film culte. Après ça, le cinéaste fut plus discret avant de revenir au commande d’un film de studio à gros budget, se voyant confié l’écriture et la réalisation de Iron Man 3 en 2013. Un film imparfait mais symptomatique du cinéma de Black, qui replaçait ses obsessions pour les duos improbables et les situations anti-climatiques, préférant déjouer les intrigues par l’humour. Suite à ce succès, il revient avec The Nice Guys, son troisième film, qui a pour ambition de s’imposer comme la suite spirituelle de son premier long métrage tout en ayant la promesse d’être à la fois un retour flamboyant du « buddy movie » et probablement le film le plus cool de l’année.
    Il ne faut pas longtemps au film pour nous signifier que l’on est dans un scénario écrit par Shane Black. Tout transpire son style dès la première scène qui véhicule son humour en total décalage, tout en étant d’une humanité tangible et en n’ayant pas peur de la violence frontale. Car souvent, lorsqu’un film s’impose par une envie de faire du cool, un certain manque d’authenticité peut se dégager de se processus, sauf qu’avec ce cinéaste on a affaire à des films qui ont du cœur, qui nous font nous attacher à leurs personnages et qui ne prennent pas leur spectateur à la légère. Ici, il nous présente son duo de personnages avec humour mais aussi sincérité, le rendant en l’espace de quelques minutes totalement unique et plaisant à suivre. Il y a toujours chez Black cette envie de partir d’un archétype pour l’emmener dans une direction inattendu, pour déjouer les clichés et les facilités. Ici, même si l’on pourrait croire que les personnages sont légèrement stéréotypés, on se rend compte assez vite que c’est un artifice assez habile pour nous surprendre dans leur traitement. A l’image de la relation père-fille d’un des héros, où sa fille a une place centrale au sein du récit sans que l’on tombe dans les travers qu’un autre thriller aurait pu en faire. Elle ne sert ni au côté sentimental de l’histoire, et elle n’est pas là pour être la fille qui se fait kidnapper pour jouer sur un ressort dramatique. Elle évolue au même rang que les deux héros, apporte de l’humour et surtout se montre suffisamment développée pour être intéressante à suivre et apporter un vrai plus à l’ensemble.
    L’intrigue est très bien ficelée et ne tombe pas dans une simplification lourde et agaçante, ici l’aspect film noir et totalement assumé et on n’hésite pas à nous perdre dans une conspiration tentaculaire où les deux héros pataugent. Surtout que ce ne sont pas des lumières et Black prend un malin plaisir à les malmener et à les prendre toujours en dérision. Le duo fonctionne à merveille, ils sont autant différents que complémentaires et ont des réactions vraiment originales et rafraîchissantes pour ce genre de film. Chaque situation a sa propre personnalité, notamment grâce à un travail sur les dialogues absolument exemplaire, il y a un vrai sens de la réplique et de la recherche du bon mot pour faire rire. On passe par toutes sortes de changements de tons, le tout plongeant parfois dans le loufoque, la gravité et faisant même un détour dans le stoner movie mais tout en gardant une homogénéité constante. Même si il faut reconnaître que Black se sert de quelques facilités pour aller d’un point A à un point B lorsqu’il sort une scène d’hallucination un peu de nulle part. La scène en elle-même fonctionne mais elle est mal placée au sein de l’oeuvre. Et on pourra aussi regretter un retournement de situation un peu trop prévisible lors du dernier tiers mais c’est presque du détail face à la maîtrise narrative de l’ensemble. Le film parvient même à accomplir l’exploit rare de faire cohabiter l’humour et les enjeux dramatiques. Car il plonge souvent son spectateur dans l’hilarité, mais ne lui fait pas prendre les enjeux de l’histoire en le mettant face à l’incompétence de ses héros. N’hésitant pas à leur envoyer en pleine face leurs échecs et l’ampleur de ceux-ci. Une vraie prise de risque se dégage de ce procédé.
    The Nice Guys bénéficie aussi d’un excellent casting. L’alchimie entre Russell Crowe et Ryan Gosling est plus qu’évidente et il est clair que les deux acteurs prennent un immense plaisir à jouer ces rôles. Russell Crowe, toujours aussi charismatique, est impeccable dans ce rôle de brute au grand cœur assurant dans les scènes d’actions mais aussi dans l’humour, montrant une facette comique dont on n’a pas l’habitude le concernant. Cependant il se fait voler la vedette par Ryan Gosling qui est ici prodigieux et qui fait éclater l’excellence de son talent comique. Toujours dans la justesse, il n’en fait jamais trop et évite le cabotinage pour offrir une performance hilarante et mémorable. On regrette par contre la sous-exploitation de Kim Basinger ou encore de Matthew Bomer, très bon et inquiétant en bad guy mais légèrement effacé. Néanmoins on retiendra aussi Angourie Rice, qui incarne la fille du personnage de Gosling, qui est géniale et qui ne se fait jamais écraser par les pointures qui lui donnent la réplique. Une jeune actrice à suivre de près.
    La réalisation est superbe avec sa photographie léchée qui magnifie une reconstitution d’époque minutieuse et convaincante. Le film est imprégné dans une ambiance seventies des plus appréciables, aidée par une bande originale inspirée et une sélection musicale « évidente » – les musiques marquantes des années 70 – mais efficace. Le montage est virtuose, permettant un rythme soutenu qui ne connait aucun temps mort mais aussi une gestion du découpage millimétrée à la perfection qui offre des gags visuels mémorables et des scènes d’actions lisibles. La mise en scène de Shane Black est classieuse et viscérale. Il montre la violence et la nudité sans détour, parfois peut être de façon un peu gratuite mais il aime s’imposer comme le sale gosse d’Hollywood. Il y a une sorte d’irrévérence qui traverse le film dans la manière d’aborder les scènes tantôt de manière nonchalante, tantôt de manière énervée au sein de « morceaux de bravoures » maîtrisés et brutaux. Les mouvements de caméras sont fluides et amples, Black ayant une manière de filmer très aérienne dans ses transitions, mais reste quand même dans quelque chose de très classique. Le cinéaste est plus un scénariste de talent qu’un véritable esthète, mais il sait mettre le visuel au service de son histoire et à ce niveau le travail est impeccable.
    En conclusion The Nice Guys est un excellent film. Une suite spirituelle à Kiss Kiss Bang Bang où Shane Black rejoue ses classiques tout en parvenant à les renouveler avec virtuosité. Plus drôle, mieux rythmé et plus dense que tout ce qu’il a fait auparavant, tout en gardant l’intelligence et l’irrévérence de sa plume intactes, le cinéaste signe probablement sa meilleure oeuvre à ce jour. Hilarante, formidablement jouée et mis en scène avec soin, rares sont les reproches à faire au film qui s’impose déjà avec un fort potentiel culte. Un divertissement pulp qui sait aussi se faire plus réfléchi et qui arrive à distiller un vrai propos sur l’Amérique et ses dérives, parvenant à conjuguer humour et noirceur sans manquer de cœur. Probablement un des films les plus cool de ces dix dernières années et assurément un grand moment dont on ne devrait pas se priver.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 mai 2016
    Excellent Buddy Movie avec un Russel Crowe en gros bras qui voudrait faire quelque chose de bien dans son existence et Ryan Gosling dans un rôle surprenant, en détective privé loufoque et assez maladroit, le tout sur fond d'enquête sur un meurtre dans le domaine du porno américain de la fin des années 70. Le film joue des conventions des films d'enquête et d'action en faisant le contraire de ce qu'on attendrait de ce genre de films. Beaucoup d'humour et d'actions. Les seconds rôles sont aussi très bons et complètement barrés. Mention spéciale à Angourie Rice qui joue la fille de Ryan Gosling et qui crève l'écran, tour à tour drôle et émouvante, une très bonne découverte, à suivre!
    Très drôle du début à la fin, un film à partager entre amis!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 mai 2016
    très bon divertissement. du rythme et beaucoup de second degré. un hommage au duo Pierre Richard-Gerard Depardieu. Le duo fonctionne bien.
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    64 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mai 2016
    Présenté dans les films « Hors-compétition » du Festival de Cannes 2016, « The nice guys » intrigue tant par sa bande-annonce que par son pitch. Sympathique, le dernier long métrage de Shane Black se laisse voir en toute décontraction mais n’est peut-être pas à la hauteur des critiques dithyrambiques dont il fait l’objet. En effet, si le casting assure à 100%, le scénario et le ton du film oscillent entre comédie et parodie de façon inconstante et presque dérangeante… Petite présentation dans les règles de ce qu’on a aimé et ce qu’on a regretté.

    - L’atout majeur du film est assurément son casting de choix. Russell Crowe et Ryan Gosling en tête. Se fondant à merveille dans le concept de budddy movie (cher à Shane Black), nos deux comédiens de renom s’allient pour le pire et le meilleur malgré leurs méthodes de travail radicalement différentes et leurs caractères opposés. En effet, Russell « Jackson Healy » Crowe s’emploie à cogner fort pour obtenir des réponses. Quant à Holland March (incarné par Ryan Gosling), son personnage est beaucoup plus original puisqu’il a tout du gaffeur et du faux naïf. Maladroit, il permet toutefois à l’enquête d’avancer non sans offrir une gamme de situations rocambolesques dont nos zygomatiques se souviendront longtemps encore. En réaction à ce florilège de gags, il est amusant de retrouver un comparse stoïque et imperturbable. Le duo fonctionne mais c’est aussi (et avant tout ?) grâce à l’aide d’une détective en herbe : Holly, la fille de Holland.

    - La jeune Angourie Rice ne démérite pas et parvient à se mettre à la hauteur des deux vedettes. Sorte de « Fido » de l’Inspecteur Gadget, elle injecte ce qu’il faut de morale et de savoir-faire à nos deux compères ne manque d’inspiration. Indispensable à l’intrigue, la toute jeune comédienne de 15 ans fait jeu égal avec ses partenaires charismatiques. Ce n’est pas évident d’exister aux côtés de ces deux acteurs confirmés et pourtant !

    - Parallèlement à cela, l’apparition de Kim Basinger (qui retrouve Russell Crowe de nombreuses années après « L.A Confidential ») faisait beaucoup parler d’elle et on ne comprend pas trop pourquoi… Presque anodines, ses scènes ne laisseront facilement oublier au profit de quelques jolies rencontres avec d’autres détracteurs tels que Keith David, Beau Knapp, Yaya DaCosta (future Whitney Houston à l’écran) ou encore Matthew Bomer (« FBI : duo très spécial »), spoiler: véritable figure du méchant froid et méthodique.


    - Tout ce petit monde se fond dans un décor 70’s plus vrai que nature. Danielle Berman, Kym Barrett et leurs équipes techniques ont fait un travail de dingues pour nous immerger dans ces années colorées avec un réalisme probant. Les amateurs de belles voitures ne sauront plus où donner de la tête tant le défilé d’ancêtres est impressionnant. Pas étonnant quand on sait qu’un des sujets centraux du film est le développement automobile de la ville de Détroit.

    - On adore aussi les musiques du film, à la « Shaft » ou à la « Jackie Brown » de David Buckley et John Ottman, boostée par un « September » des Earth wind and fire envoûtant et dansant.

    - Si l’interprétation est excellente et l’ambiance magique, ce petit bijou est terni par un scénario un peu faiblard. Et pourtant, Shane Black, réalisateur de « Kiss Kiss Bang Bang » et « Iron Man 3 » est aussi un scénariste de renom. L’auteur de « L’arme Fatale » ou encore de « Last Action Hero » présente ici de belles idées sans pour autant parvenir à complètement les installer. En effet, dans « The nice guys », on est ballotté tantôt dans une parodie lourdingue, tantôt dans une comédie de qualité. Les répliques font mouches mais peuvent aussi finir collées aux stickers insecticides Baygon lorsqu’elles tombent à plat. Il fallait un prétexte pour faire rencontrer notre détective foireux et notre redresseur de tort et l’angle utilisé laisse un peu à désirer. Fort heureusement, les comédiens principaux s’en donnent à cœur joie pour porter le projet du metteur en scène et communiquent leur bonne humeur à tous les spectateurs au point de presque sauver la mise à l’intrigue militante écologique de peu d’alois.

    - En dehors de ce scénario bancal, Shane Black offre une réalisation juste et adaptée aux différents genres présents dans le film : action/movie et comédie/parodie.

    Prenons « The nice guys » pour ce qu’il est : une comédie rythmée qui tombe parfois dans la lourdeur mais qui offre un casting impeccable et un bon moment de divertissement.
    Misericorde
    Misericorde

    1 abonné 27 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Un duo de choc qui fonctionne très bien pour donner un film déjanté et bien rythmé. Des dialogues et des situations qui font mouche.
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