Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Ecran Large
par Jacques-Henry Poucave
Interactions multiples entre premier et second plan, comique de situation, burlesque, absurde, dialogues ciselés, l’humour du film est d’une belle richesse et sait prendre bien des formes pour nous surprendre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Critikat.com
par Nicolas Journet
Le fond est plus dense qu’il n’y paraît, défendant en creux la liberté de création et dressant un bel éloge de l’impureté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Certaines scènes provoquent une véritable jubilation. On ressort de la salle avec le sentiment étrange d'avoir beaucoup ri à une histoire très noire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Gala
par Jean-Christian Hay
Avec "The Nice Guys", le réalisateur américain retrouve le terrain idéal pour laisser libre cours à son inventivité et son humour parfois absurde. On rigole franchement aux situations parfois déjantées dans lesquelles il place ses personnages et il faut dire que le tandem formé par Ryan Gosling et Russell Crowe l’aide bien dans sa tâche.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Obs
par Nicolas Schaller
Il faut aimer sincèrement le genre pour le respecter tout en s’amusant aussi librement avec ses clichés – tout y est, de la voix off désabusée à l’intrigue brumeuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un budy movie avec toutes les ficelles du genre, tirées avec efficacité par un Shane Black particulièrement bien servi par ses deux acolytes.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
"The Nice Guys" met en scène un tandem aussi mal assorti qu'irrésistible de drôlerie, servi par un humour noir corrosif, des situations rocambolesques et des répliques hilarantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
On sort de la salle comme on descend d’une attraction foraine, le sourire aux lèvres, la tête vide.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Philippe Guedj
"The Nice Guys" est un film de mecs bien, fait par un chic type respectueux d'un genre qu'on aime. Impossible de tirer dessus.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Marilyne Letertre
Russell Crowe (...), dans la peau d’un homme de mains expéditif et méchant, prend visiblement un malin plaisir à castagner, malmener et ridiculiser Ryan Gosling, parfait en détective naïf et maladroit, voire carrément crétin.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La Rédaction
Un rêve pour les fans du genre. Surtout grâce au numéro hallucinant de Ryan Gosling et Russell Crowe qui forment un duo étonnant et explosif.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Yannick Vely
Si le déroulement de l’intrigue n’est pas toujours très cohérent, le plaisir, lui, reste permanent, surtout que la bande son est démente, compil du meilleur des discos funk des années 70. L'incarnation même du cool au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Eric Libiot
On ne va pas disserter trois heures sur la solidité du scénario qui, souvent, prend des chemins de traverses trop tordus pour être honnête. Ce qui est plaisant, ici, c'est d'abord l'association Ryan Gosling/Russell Crowe (...) : les deux s'amusent visiblement beaucoup.
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Si Russell Crowe est parfait en « messager » bourru et castagneur fou, Ryan Gosling livre LA performance du film. Il est hilarant dans le rôle du privé crétin et poissard façon Pierre Richard dans "La Chèvre".
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
VSD
par Olivier Bousquet
Comme Paul Thomas Anderson dans le récent "Inherent vice", Black saisit la fin d’une époque, celle de l’innocence 60’s et du flower power qui fit croire, un temps, que tout pouvait changer. Il ne reste plus que le cinéma pour rêver, semble nous dire Shane Black. A Cannes, personne n’en doute.
La critique complète est disponible sur le site VSD
Voici
par La Rédaction
Ryan Gosling révèle un réel talent dans une comédie déjantée, en duo avec... Russell Crowe !
L'Express
par Eric Libiot
Comédie policière autour d'une enquête, menée par deux privés. Prétexte à un réjouissant numéro d'acteurs entre Ryan Gosling et Russell Crowe et à quelques scènes survitaminées qui cachent un scénario pas très original.
Première
par Benjamin Rozovas
Le ciel est bleu, l’eau mouille, les femmes ont des secrets, et Shane Black cache son absence d’amour-propre dans des histoires de détectives mal élevés. Le charme irrésistible du cinéaste en boucle permanente sur lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Si Shane Black ne signe pas un chef d’œuvre, celui-ci démontre en tout cas un talent inouï pour architecturer ses séquences, et dépeindre une belle atmosphère.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Ce n’est pas tant que cette histoire de complot et corruption dans la florissante industrie du X californienne des 70’s soit atroce ou cynique, mais elle déçoit constamment par son manque d’inventivité. Tout ce petit monde paraît las, réduit à en faire le minimum pour amuser la galerie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
À force de trop jouer la carte de la coolitude, avec agréable décor vintage du LA seventies et son tandem viril et décontracté Ryan Gosling-Russell Crowe, "The Nice Guys" peine à communiquer un quelconque emballement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ecran Large
Interactions multiples entre premier et second plan, comique de situation, burlesque, absurde, dialogues ciselés, l’humour du film est d’une belle richesse et sait prendre bien des formes pour nous surprendre.
Critikat.com
Le fond est plus dense qu’il n’y paraît, défendant en creux la liberté de création et dressant un bel éloge de l’impureté.
Franceinfo Culture
Certaines scènes provoquent une véritable jubilation. On ressort de la salle avec le sentiment étrange d'avoir beaucoup ri à une histoire très noire.
Gala
Avec "The Nice Guys", le réalisateur américain retrouve le terrain idéal pour laisser libre cours à son inventivité et son humour parfois absurde. On rigole franchement aux situations parfois déjantées dans lesquelles il place ses personnages et il faut dire que le tandem formé par Ryan Gosling et Russell Crowe l’aide bien dans sa tâche.
L'Obs
Il faut aimer sincèrement le genre pour le respecter tout en s’amusant aussi librement avec ses clichés – tout y est, de la voix off désabusée à l’intrigue brumeuse.
Le Dauphiné Libéré
Un budy movie avec toutes les ficelles du genre, tirées avec efficacité par un Shane Black particulièrement bien servi par ses deux acolytes.
Le Journal du Dimanche
"The Nice Guys" met en scène un tandem aussi mal assorti qu'irrésistible de drôlerie, servi par un humour noir corrosif, des situations rocambolesques et des répliques hilarantes.
Le Monde
On sort de la salle comme on descend d’une attraction foraine, le sourire aux lèvres, la tête vide.
Le Point
"The Nice Guys" est un film de mecs bien, fait par un chic type respectueux d'un genre qu'on aime. Impossible de tirer dessus.
Metro
Russell Crowe (...), dans la peau d’un homme de mains expéditif et méchant, prend visiblement un malin plaisir à castagner, malmener et ridiculiser Ryan Gosling, parfait en détective naïf et maladroit, voire carrément crétin.
Ouest France
Un rêve pour les fans du genre. Surtout grâce au numéro hallucinant de Ryan Gosling et Russell Crowe qui forment un duo étonnant et explosif.
Paris Match
Si le déroulement de l’intrigue n’est pas toujours très cohérent, le plaisir, lui, reste permanent, surtout que la bande son est démente, compil du meilleur des discos funk des années 70. L'incarnation même du cool au cinéma.
Studio Ciné Live
On ne va pas disserter trois heures sur la solidité du scénario qui, souvent, prend des chemins de traverses trop tordus pour être honnête. Ce qui est plaisant, ici, c'est d'abord l'association Ryan Gosling/Russell Crowe (...) : les deux s'amusent visiblement beaucoup.
Télé 2 semaines
Si Russell Crowe est parfait en « messager » bourru et castagneur fou, Ryan Gosling livre LA performance du film. Il est hilarant dans le rôle du privé crétin et poissard façon Pierre Richard dans "La Chèvre".
VSD
Comme Paul Thomas Anderson dans le récent "Inherent vice", Black saisit la fin d’une époque, celle de l’innocence 60’s et du flower power qui fit croire, un temps, que tout pouvait changer. Il ne reste plus que le cinéma pour rêver, semble nous dire Shane Black. A Cannes, personne n’en doute.
Voici
Ryan Gosling révèle un réel talent dans une comédie déjantée, en duo avec... Russell Crowe !
L'Express
Comédie policière autour d'une enquête, menée par deux privés. Prétexte à un réjouissant numéro d'acteurs entre Ryan Gosling et Russell Crowe et à quelques scènes survitaminées qui cachent un scénario pas très original.
Première
Le ciel est bleu, l’eau mouille, les femmes ont des secrets, et Shane Black cache son absence d’amour-propre dans des histoires de détectives mal élevés. Le charme irrésistible du cinéaste en boucle permanente sur lui-même.
aVoir-aLire.com
Si Shane Black ne signe pas un chef d’œuvre, celui-ci démontre en tout cas un talent inouï pour architecturer ses séquences, et dépeindre une belle atmosphère.
Les Inrockuptibles
Ce n’est pas tant que cette histoire de complot et corruption dans la florissante industrie du X californienne des 70’s soit atroce ou cynique, mais elle déçoit constamment par son manque d’inventivité. Tout ce petit monde paraît las, réduit à en faire le minimum pour amuser la galerie.
Libération
À force de trop jouer la carte de la coolitude, avec agréable décor vintage du LA seventies et son tandem viril et décontracté Ryan Gosling-Russell Crowe, "The Nice Guys" peine à communiquer un quelconque emballement.