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Ma première crainte avant de le voir était que Monica Bellucci vole la vedette et fasse un film inégal où trop de concentration serait sur son personnage et c'était le cas. En vérité elle ne se démarque pas. Ces quatre personnages se retrouvent tous à l'hôpital de Ville-Marie pour des raisons différentes que l'on ne comprend pas. J'essaye mais je ne trouve vraiment pas grand chose de positif sur ce film. Peut-être que certaines scènes sur le personnage d'Aliocha Schneider sont un trop longues. Mais elles servent a rien et essaye de construire sa personnalité. Ville-Marie est sans doute réservé au fan de cinéma canadien...
My God !! Quel ennui... j'ai beau adorer le cinéma québécois, j'ai beau aimer beaucoup l'acteur qui joue l'ambulancier (que j'ai découvert dans Vertiges & Nouvelle Adresse), il y a des limites à la patience... Il ne se passe rien dans ce film, Bellucci joue trop mal (comme à son habitude) et j'ai du lutter de toutes mes forces pour ne pas m'endormir tant je me suis ennuyé ! Un gros raté ! Tabarouette !
La 1re scène interpelle et provoque quelques frissons, mais cela n'ira pas plus loin malheureusement. Le réalisateur Guy Édoin porte un regard séduisant et très réaliste sur la ville de Montréal (travaux, urgence, etc.), mais ne parvient pas à instaurer une ambiance crédible. La prestation des acteurs ne vient pas aider à cela puisqu'ils sont loin d’être convaincants. Je ne sais pas si cela est une directive du réalisateur, mais les acteurs, à l’exception de Pascale Bussières et de Aliocha Schneider, livrent leurs dialogues sans grande conviction, avec un vide intérieur qui ennuie. Résultat des courses, de belles images, mais rien de plus.
Dans la lignée des films longs et inutiles, voici Ville-Marie, qui ne vaut que par ses décors montréalais (on voit certains parcs, certaines rues et bâtiments) mais Bellucci n'a ici pas plus d'émotions qu'une poignée de porte.
Eric C.
Un des rares rôles cinéma de Monica Bellucci de ces 3 dernières années si on excepte son petit rôle dans le James Bond où elle aura passé plus de temps en promo aux 4 coins du monde qu'en tournant. Pour le reste quelques rares films confidentiels même pas sortis en salle ou pas présents à l'écran en France. Maitresse de cérémonie du dernier festival de Cannes, il serait temps que cette sublime et grande actrice se ressaisisse à moins que même pour la Bellucci, le virage de la cinquantaine pourtant flamboyante ne lui soit fatidique et que l'on ne lui propose pas grand chose d'autre. On ne peut se résoudre à penser que ces quelques films tournés, pour la plupart pas terribles, soient un choix de carrière. Ce Ville-Marie est d'une tristesse à pleurer mais hélas pas au sens des émotions procurées par un film dramatique. C'est lent, sans rythme,ennuyeux, filmé sans âme et l'Avalanche de pathos et de misère morale sensée former un film cathédrale, ne procure que peu d'émotion sinon de l'ennui. Vite, sauvons la Bellucci avant qu'elle ne disparaisse, offrez lui des beaux rôles dans des films grand public et pas seulement quelques clichés photoshop dans Paris Match.
bsalvert
Un film qui ne vous fera pas passer un bon moment tant le scénario est triste, le manque de dynamisme flagrant, la musique inexistante et Monica tellement standardisée que...
PLV : à réserver aux complétistes de MB
PLV : à réserver aux complétistes de MB
tixou0
Après une apparition dans le dernier "James Bond" (en veuve), Monica Bellucci joue les mères célibataires (de "Thomas", 20 ans), là en tête de distribution - c'est tout pour sa filmo en 2015... C'est pour un film québécois (par Guy Edoin - inconnu en France, c'est son 2e "long", après "Marécages", en 2011, jamais sorti chez nous) : "Ville-Marie" (le premier nom de ce qui deviendra Montréal - aujourd'hui un quartier de la métropole canadienne, et le nom d'un hôpital, où vont se croiser les principaux protagonistes). "Ville-Marie" présente un emboîtement de mélos,
spoiler:
autour d'une trame centrale, qui va s'avérer ne pas être une fiction, en dépit des apparences
(MB, alias "Sophie Bernard", présentée comme actrice "française" - et même de premier plan - vient à Montréal tourner sous la direction d'un ancien compagnon quelque chose qui ressemble à un "Téléphone blanc" de l'Italie fasciste). L'ensemble des histoires (de "Pierre", l'ambulancier, de "Marie", l'infirmière, tous deux bien cabossés, de "Thomas", le jeune "gay" en quête d'image paternelle....), cela fait (probablement) pour le scénariste/metteur en scène un "film choral", entremêlant les destins. C'est, au résultat, filandreux (dramaturgie), poussiéreux (réalisation), et profondément ennuyeux, au global.....
(MB, alias "Sophie Bernard", présentée comme actrice "française" - et même de premier plan - vient à Montréal tourner sous la direction d'un ancien compagnon quelque chose qui ressemble à un "Téléphone blanc" de l'Italie fasciste). L'ensemble des histoires (de "Pierre", l'ambulancier, de "Marie", l'infirmière, tous deux bien cabossés, de "Thomas", le jeune "gay" en quête d'image paternelle....), cela fait (probablement) pour le scénariste/metteur en scène un "film choral", entremêlant les destins. C'est, au résultat, filandreux (dramaturgie), poussiéreux (réalisation), et profondément ennuyeux, au global.....
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