Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Emile Breton
Regardant vivre un certain Japon, celui de l’insouciance, il (Koji Fukada)donne toute sa tendresse à Sakuko, qui retourne à Tokyo, dernier regard sur cet été qu’elle quitte, à Takashi qui reste, geste timide d’une main à demi levée. C’est cela qui parle dans ce film précieux, ces gestes esquissés.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
C’est assez pour déjà ranger Fukada parmi les cousins asiatiques de Rohmer, délicieux fabricants de comédies de mœurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Au milieu d’un paysage de la production nipponne morose, le film de Koji Fukada est une perle rare faite de douceur et de drôlerie (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Outre la découverte d’un talentueux auteur de 35 ans, dont l’œuvre encore jeune ne compte que trois films, "Au revoir l’été" ouvre une porte sur un cinéma indépendant refusant l’infantilisme d’une bonne partie de la production commerciale japonaise.
Critikat.com
par Quentin Le Goff
Les rencontres se font, tracent entre les lieux et les personnages les lignes d’une cartographie à la légèreté imparable, réseau de sentiments éthérés pour lequel Rohmer et Hong Sang-soo sont directement convoqués.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
"Au revoir l’Eté" travaille sur ce voile des illusions. Le cinéaste provoque un malaise diffus entre cette normalité et le détail qui déteint et laisse deviner la vérité sous le masque.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par La Rédaction
Un délice inspiré du travail de Rohmer.
Le Monde
par Mathieu Macheret
(...) Fukada procédant par touches discrètes, à la fois drôles et douloureuses, un ensemble subtil de rimes visuelles et narratives (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Ce film rohmérien est remarquable par sa capacité à parler de la passion tout en n'oubliant pas la vraie vie, et à évoquer l'après-Fukushima tout en restant un “feel good movie”.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yannick Lemarié
On retrouve dans la façon de filmer de Kôji Fukada une économie de moyens, une rigueur cinématographique, une façon de dire les choses essentielles, sans pour autant s'appensantir.
Première
par Eric Vernay
Délicieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) Les hommages multiples (et réussis !) au cinéma de Rohmer n'empêchent pas le cinéaste de faire entendre sa petite musique personnelle, plus sociale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
"Au revoir l’été" évoque avec poésie ces moments de transition qui amènent à la remise en question de soi. Un film doux et plaisant comme les derniers rayons de l’été.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Regardant vivre un certain Japon, celui de l’insouciance, il (Koji Fukada)donne toute sa tendresse à Sakuko, qui retourne à Tokyo, dernier regard sur cet été qu’elle quitte, à Takashi qui reste, geste timide d’une main à demi levée. C’est cela qui parle dans ce film précieux, ces gestes esquissés.
Les Inrockuptibles
C’est assez pour déjà ranger Fukada parmi les cousins asiatiques de Rohmer, délicieux fabricants de comédies de mœurs.
Libération
Au milieu d’un paysage de la production nipponne morose, le film de Koji Fukada est une perle rare faite de douceur et de drôlerie (...).
Cahiers du Cinéma
Outre la découverte d’un talentueux auteur de 35 ans, dont l’œuvre encore jeune ne compte que trois films, "Au revoir l’été" ouvre une porte sur un cinéma indépendant refusant l’infantilisme d’une bonne partie de la production commerciale japonaise.
Critikat.com
Les rencontres se font, tracent entre les lieux et les personnages les lignes d’une cartographie à la légèreté imparable, réseau de sentiments éthérés pour lequel Rohmer et Hong Sang-soo sont directement convoqués.
Culturopoing.com
"Au revoir l’Eté" travaille sur ce voile des illusions. Le cinéaste provoque un malaise diffus entre cette normalité et le détail qui déteint et laisse deviner la vérité sous le masque.
La Croix
Un délice inspiré du travail de Rohmer.
Le Monde
(...) Fukada procédant par touches discrètes, à la fois drôles et douloureuses, un ensemble subtil de rimes visuelles et narratives (...).
Les Fiches du Cinéma
Ce film rohmérien est remarquable par sa capacité à parler de la passion tout en n'oubliant pas la vraie vie, et à évoquer l'après-Fukushima tout en restant un “feel good movie”.
Positif
On retrouve dans la façon de filmer de Kôji Fukada une économie de moyens, une rigueur cinématographique, une façon de dire les choses essentielles, sans pour autant s'appensantir.
Première
Délicieux.
Télérama
(...) Les hommages multiples (et réussis !) au cinéma de Rohmer n'empêchent pas le cinéaste de faire entendre sa petite musique personnelle, plus sociale.
aVoir-aLire.com
"Au revoir l’été" évoque avec poésie ces moments de transition qui amènent à la remise en question de soi. Un film doux et plaisant comme les derniers rayons de l’été.