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    Snowden
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    408 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 novembre 2016
    film qui se veut être un biotique sur l 'histoire d'un homme qui rongé par ses idéaux se voit devoir remettre en cause tout ce qu'il a voulu croire et porter. Pour une fois pas de drapeau américain et de bible mais des allers retours sur les principes républicains mis à mal par l'utilisation abusive des moyens de télécommunication. Le film traduit les dérives de l'utilisation de toute nouvelle technologie qui au nom de l'évolution humaine et du bien être et détourné pour assouvir d'autres motivations. Cela souligne à la fois la finitude de toute technologie et de celle du comportement humain. La technologie au nom du progrès au même titre que ceux qui l'utilisent doivent connaître des limites au risque de se perdre et de remettre en cause le principe même de liberté. Il ne faut pour autant pas être dupe car au nom de la raison d'Etat les lois peuvent être bafouées. Le film ne le dit pas mais pour se protéger de big brother il n'y a pas d'autres solutions que de se libérer du progrès au maximum : ne faire qu'un retrait en espèces par mois systématiquement et régler tous ses achats en liquide, se défaire de son téléviseur et de ses téléphones et naviguer sur le Web d'un espace public. Et faire le contraire de ce que je fais ne plus communiquer sur les réseaux sociaux. La seule liberté est celle que l'on s'accorde. Le film pose donc un certain nombre de questions pour lesquelles il y a une multitude de réponse selon le mode de vie que l'on souhaite s'octroyer.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 novembre 2016
    très bon acteurs, l acteur principal excelle dans ce rôle.

    ce film nous fait beaucoup réfléchir sur les abus d internet et sur le droit à la vie privée.

    je l ai malheureusement trouvé trop long ( j ai décroché à la moitié pour reconnecter presque à la fin

    même si l'affaire à été mise à jour en 2013 elle n'en reste néanmoins toujours d actualité.
    mat niro
    mat niro

    364 abonnés 1 845 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2016
    Oliver Stone réalise un nouveau film sur l'histoire contemporaine américaine. Il retrace ici l'histoire d'Edward Snowden qui révéla en 2013, que le gouvernement américain pouvait espionner tout un chacun. On retrouve Joseph Gordon-Levitt sans ce rôle de mathématicien surdoué. Cependant, j'ai été un peu déçu par ce "divertissement de masse" car même si le film est instructif, il souffre de nombreuses longueurs et l'on peut se perdre parfois dans un certain jargon de geek. Les 2 h 15 du film peuvent parfois manquer de puissance émotionnelle pour qui n'est pas féru de nouvelles technologies et d'espionnage.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2016
    Oliver Stone, fidèle à son regard critique sur l’histoire américaine récente, signe avec Snowden un biopic du désormais célèbre lanceur d’alerte. (...) Le film n’apporte pas plus d’informations que le formidable docu de Laura Poitras (autrement plus haletant) mais a l’avantage de l’exposer à une audience plus large.

    LA SUITE :
    selenie
    selenie

    6 403 abonnés 6 221 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Après son thriller "Savages" (2012), petit intermède inoffensif mais bien foutu le réalisateur renoue avec le thriller politico-financier avec le potentiel pamphlétaire qui lui ont permis de signer ses meilleurs films. Oliver Stone signe un thriller intéressant mais trop didactique et sans tension. Mais le fond du problème reste en suspens et jamais vraiment approfondit. Néanmoins la thématique et les effets médiatiques encore brûlants font que le film reste assez prenant et interroge à minima le spectateur.
    schemaman
    schemaman

    20 abonnés 277 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Biopic sauvé du naufrage par l'intérêt que suscite l'histoire de fond. Sans cette dernière, ce film serait une grotesque caricature avec ses scènes cousues de fil blanc d'avance : la "méchante" rédac-chef qui tergiverse avant de sortir le scoop de l'année devant ses journalistes médusés (pourtant envoyés sur place pour faire le scoop), la bébête femme au foyer qui empêche son amour de héros de tourner rond et qui lui crée plus de stress que son propre boulot, caricature de la femme idiote que l'on voit dans trop de scénarios américains, image caricaturale du geek parfait, baba-cool mâcheur de chwing-gum...Bref, seul le parcours de fonds de Snowden retiendra notre attention mais ce dernier à lui tout seul vaut le coup d'être vu.
    norman06
    norman06

    354 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Les qualités et les défauts du cinéma d'Oliver Stone sont bien ancrées dans ce biopic branché : un récit bien mené mais parfois confus, un montage brillant mais manipulateur, une dénonciation des tares et des hypocrisies de la démocratie américaine mais une fin patriotique et grandiloquente. On est au final séduit par le propos du cinéaste tout en regrettant son penchant pour la roublardise.
    dominique P.
    dominique P.

    849 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2016
    Le réalisateur O. Stone a réalisé un bon film de qualité.
    Il a souhaité faire un film sur cette affaire.
    On peut tout de même préciser que par moments c'est ennuyeux et rébarbatif.
    Cependant le film est vraiment intéressant dans l'ensemble et je suis contente de l'avoir vu.
    ninilechat
    ninilechat

    76 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2016
    On comprend que le sujet ait pu séduire Oliver Stone, notre grand dénonciateur multi-cartes! Et il ne manque pas une fleur à l'hagiographie; d'ailleurs, pour que nous soyons bien conscients du bon fond d'Edgar Snowden, on a choisi un sosie d'Harry Potter. Bon, quand il vieillit, qu'il change de lunettes et a de la barbe au menton, ça s'arrange..... (et il se met à ressembler au vrai Edgar) Je plaisante mais on est convaincus dès le départ: pourquoi Snowden aurait il foutu sa vie en l'air, tout a la fois sur le plan professionnel et privé, si ce n'était par idéalisme; car il n'a rien gagné -et beaucoup perdu. A commencer par le salaire très confortable d'un petit génie de l'informatique au sein de la CIA.

    Edgar grandit dans une famille de militaires. Peu scolaire, il est en autodidacte un virtuose de l'informatique. Il est républicain, il veut servir son pays.... et s'engager dans l'armée. Ah, Oliver, c'était difficile de résister à cette petite séquence introductive de formation de troufions par un sergent peu amène, Sir, yes, Sir.... qui nous rappelle quelque chose. Pour des raisons de santé, il doit y renoncer, mais intègre la CIA (dont il démissionne une première fois en raison d'agissements qui ne sont pas conforme à son éthique, comme l'utilisation du diabolique logiciel XKeyscore) puis la NSA, où il est chargé de programmes hyper pointus d'espionnage (ou de défense) militaire ou industriel.

    Petit à petit, il découvre l'existence d'un système de surveillance généralisée, ce qui permet à Stone quelques jolies images de toile..... A partir d'un individu douteux, on surveille son entourage, puis l'entourage de l'entourage, puis l'entourage de... etc, jusqu'à espionner des personnes parfaitement anodines.

    Il décide alors de tout révéler, et cela passera par deux journalistes britanniques (le Guardian), eux même très engagés pour la liberté de la presse, dans une chambre d'hôtel de Hong Kong.... Bon tout cela on le sait plus ou moins, mais le film de Stone a le grand mérite de le rendre parfaitement clair; il a un haut pouvoir didactique. et puis, il est bien fait, bien filmé, vivant, pas austère (on ne se refuse pas quelques jolis paysages à Hawai ou ailleurs) et avec une pléiade d'excellents seconds rôles (coucou Nicolas Cage). Joseph Gordon-Levitt est parfait, et la gironde petite amie de Snowden, Shailene Woodley, tout à fait ravissante...

    Naturellement c'est un film à voir quand on s'intéresse à son époque!
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    67 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2016
    « Snowden », le dernier film d’Oliver Stone tient-il toutes ses promesses ? En partie oui ! Si l’on regrette l’angle choisi pour aborder ce sujet fastidieux et son engagement moins prononcé que pour certains autres longs-métrages, on ne peut néanmoins pas négliger le travail de documentation et de préparation qui a été fait autour du film , que ce soit par les scénaristes, le réalisateur ou par les acteurs. Instructif, « Snowden » nous distille une longue série d’informations et font de ces 2h15, un vrai marathon vers la vérité. Technique et ambitieux, le film possède quelques longueurs dispensables mais séduira tous ceux qui se sont intéressés au cas « Edouard Snowden ». Pour les autres, il sera peut-être difficile de tenir la distance…
    kiki3364
    kiki3364

    38 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 novembre 2016
    Snowden est vraiment est très bon film sur la vie de Edward Snowden, héros des temps modernes qui a donc révélé l'un des plus gros scandales de ces derniers temps.
    Joseph Gordon Levitt est juste parfait sous les traits de Edward, personnages déterminé et à l'intelligence rare. Quant à Shailene Woodley, elle nous dévoile une belle partie d'elle meme : une femme douce et jolie dans la peau de Lyndsay Mills, actuelle (je crois) compagne de Snowden.
    Bref, (j'ai remarqué je disais souvent bref dans mes critiques aha) Snowden est un film à l'allure de documentaire assez bien illustré avec de longs dialogues très instructeurs et nécessaires au bon déroulement du film. Un conseil : ne lâchez pas prise. La fille avec qui j'étais à passé son temps sur son portable pour finir par s'étonner du fait qu'elle ne comprenait pas et qu'elle n'avait pas vraiment apprécié le film ... c'est regrettable !
    Pour finir, je dirais que Snowden nous fait ouvrir les yeux sur la réalité de notre monde et la dangerosité de internet, constamment observé. Personnellement, j'ai collé un pansement sur la webcam de mon ordinateur ... et je ne dois pas être le seul !
    nathalie R
    nathalie R

    13 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2016
    Pas assez d'enjeu - pas assez de suspense - pas assez de terreur. J'ai suivis l'histoire tranquilou sans d'inquiétude.
    Le film rend le documentaire @citizen-four plus accessible - c'est là son essentielle réussite.
    Underslide42
    Underslide42

    33 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    Tellement de potentiel si peu exploité par Oliver Stone sur cette histoire qui a encore des échos en 2016. Seul les dix dernières minutes nous montrent tout l'ampleur de cette révélation alors que l'espionnage informatique touchait le monde entier.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    540 abonnés 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2016
    Oliver Stone s'attaque à Edward Snowden, rendu célèbre à la suite de ses révélations sur les dispositifs de surveillance illégaux utilisés par les principales agences de renseignements? Même si la réunion de ces deux figures n'a rien de bien surprenant, il est difficile d'y rester insensible. Le sujet est aussi présent aujourd'hui qu'il ne l'était en 2013, et Oliver Stone avait l'occasion de retrouver les cimes qu'il a souvent touché. Pas que ces derniers films manquaient d'intérêt (malgré un mineur Savages), mais plutôt de cette rage que Stone imprimait sur ses chefs-d'œuvre. Même si Citizenfour (le documentaire de Laura Poitras) est déjà passé par là avec brio, le personnage de Snowden avait encore beaucoup de chose à raconter. Le film éponyme choisit donc de coller aux basques du lanceur d'alerte, de son entrée dans les services secrets à sa "trahison" il y a trois ans. Avec pédagogie et un sens évident du rythme, le film a le mérite de rendre intelligible la complexité de la situation. Citizenfour avait déjà ouvert la voie, mais Stone veut rendre le propos accessible à tous, et il y arrive sans mal. On échappe pas à certains dialogues évidents, mais à aucun moment ils n'entament le récit. D'une part car la mise en scène ne s'éparpille pas, et les acteurs rivalisent d'excellence. Joseph Gordon-Levitt est magistral en Snowden, Shailene Woodley épate en Lindsey Mills (la petite-amie de Snowden), et Rhys Ifans compose un inquiétant "mentor".
    Avec ce film, Oliver Stone retrouve un peu de sa superbe. L'art et la manière sont beaucoup plus palpables que sur ses derniers longs. Mais la rage qui caractérisait ses plus grands films et parvenait à les hisser au sommet est encore trop discrète. Plus que jamais la voix et la vision de Stone sont nécessaires en des temps plus que troubles. Le souci d'informer et si possible d'éveiller les consciences est toujours présent. Et c'est déjà pas mal. Mais l'audace de bousculer est beaucoup plus contenue. Ce qui est tout à fait compréhensible après tant de films aussi complexes que furieux. Mais j'ai tout de même le sentiment que le réalisateur aurait pu faire de Snowden un film encore bien meilleur. Certaines pistes narratives ne dépassent pas l'esquisse (notamment concernant le personnage de Nicolas Cage, par ailleurs parfait). Il y avait matière à raconter beaucoup d'histoires avec un tel sujet. Oliver Stone a choisi la plus directe. En ce sens, il remplit l'objectif sans problème. Mais il aurait pu le transcender.
    Chris58640
    Chris58640

    221 abonnés 763 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2016
    Oliver Stone est un habitué des sujets sensibles, « Snowden » n’est ni son premier film polémique engagé, ni son premier biopic. Et en s’attaquant à un sujet si complexe, il se met lui-même dans la position de produire un film difficile d’accès et un peu hermétique. Même si je lui reconnais un vrai courage et un vrai savoir faire, l’éceuil n’est pas complètement évité et je le dis d’emblée, son film à deux défauts : il est un peu trop long et malgré tout les efforts de Stone et de son scénariste Kieran Fitzgerald, il est quand même difficile à comprendre. Il est trop long d’au moins 20 mn, et c’est un défaut habituel chez Oliver Stone. Très conscient de l’importance de ce qu’il filme, il a du mal à élaguer, il tire en longueur, il n’arrive pas à éviter certaines scènes trop longues, ou trop bavardes. Son film dure 2h15, il parait en faire nettement plus et ça, ça n’est jamais bon signe ! Et puis le film tente de nous faire entrer dans un système très compliqué d’espionnage de données et on finit, même en s’accorchant, à s’emmêler un peu entre les différentes agences gouvernementales et leur ramifications. Mais Oliver Stone n’est pas le premier venu, il sait utiliser le montage pour mettre son histoire en valeur, il sait placer sa musique, mettre du suspens quand il faut, de la gravité quand il faut, et même un peu d’humour parfois. Il évite au maximum les dialogues un peu pontifiants et sentencieux alors que sur ce sujet, c’est quand même très tentant de faire la morale à peu de frais. Son passage sur Nuremberg est court mais remet en persective toute la problématique de son sujet, efficace. Son casting est sans fausse note et il offre à Joseph Gordon-Lewitt un rôle d’importance que cet acteur (encore trop inexploité à mon gout) incarne avec beaucoup d’humilité et de sobriété. Autour de lui, Shailene Woodley, Melissa Léo, Zachary Quintow et tous les autres sont très biens mais il faut reconnaitre que « Snowden » compte tellement de seconds et de petits rôles qu’il est impossible pour eux de livrer une interprétation exceptionnelle, parce qu’à part Shailene Woodley, ils n’ont tout simplement pas assez de temps à l’écran pour le faire. Comme je l’ai dit, le scénario essaie de nous faire comprendre, sans y parvenir pleinement, l’importance de l’espionnage de masse mis en place par les Etats-Unis au lendemain du 11 septembre. Si techniquement, malgré quelques louables démonstrations, c’est assez compliqué à saisir, philosophiquement en revanche, on comprend très bien le but recherché par Oliver Stone. Sur ce point, la démonstration est claire : Mis en cause (et à juste titre) après le fiasco du renseignement dans les attentats de 2001, la CIA, la NSA et l’ensemble des organisations fédérales ont décidé qu’on ne les y reprendrait plus. Au départ, et énoncé ainsi, les choses semblent couler de source : Ils ont recruté, formé et mis des moyens techniques et financiers colossaux pour monter des programmes de surveillance électroniques. Dans une démocratie normale les choses auraient du en rester là, mais la machine était lancée. Stone nous montre une Amérique enivrée de sa propre puissance technologique et guidée par une paranoïa (justifiée ou injustifiée) qui les amènera à espionner tout azimut le monde entier et leur propres citoyens. Très vite, il n’est plus question de lutte anti terroriste mais d’une surveillance générale et totale utilisée pour tout et n’importe quoi : favoriser des contrats économiques, déstabiliser des pays ennemis, surveiller des pays amis (mais qui pourraient devenir des ennemis un jour, sait on jamais… !), contrer les hacking, espionner pour espionner, en somme. Comme si les moyens techniques avaient pris plus d’importance que le but à atteindre : on espionne parce qu’on peut le faire, on est à la limite du voyeurisme d’Etat. Le politique, dans tout ça, n’est pas épargné. Le législatif, en revanche, semble soigneusement tenu à l’écart et, si j’ai bien tout compris, le Congrès et le Sénat américain n’avaient aucune idée précise de ce qui se passait et « on » a tout fait pour ça, y compris mentir en commission d’enquête (le crime fédéral suprême !). Le scénario de Stone et Fitzgerald nous montre un jeune homme très patriote, probablement républicain bon teint, fils de militaire, qui, choqué de voir jour après jour son pays se fourvoyer, décide qu’il est de son devoir de citoyen que de le dénoncer. Ca ne vous rappelle rien ? C’est exactement le même cheminement moral que Kovic, le héros de « Né un 4 juillet ». Le contexte est différent mais la morale est la même : quand ton pays te fait honte, c’est ton devoir que de le dire haut et fort, même si c’est difficile, parce que c’est difficile même… De ce point de vue, « Snowden » montre assez clairement l’évolution d’un jeune homme, au départ patriote aveugle, à l’arrivée patriote clairvoyant. spoiler: Dans les 5 dernières minutes du film, Joseph Gordon-Lewitt cède son rôle au vrai Edward Snowden, qu’Oliver Stone est allé filmer dans son exil forcé en Russie. Un petit pied de nez à l’Amérique comme il aime en faire de temps en temps, le petit malin…
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