Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Oliver Stone sans nuance, plein de mauvais goût et donneur de leçons pour un film où convergent de vrais partis pris de mise en scène, de bons acteurs et une histoire d'héroïsme.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de "JFK" (1991) et "W" (2008) signe un biopic passionnant du donneur d’alerte qui a révélé au public les détails des programmes de surveillance de la NSA (National Security Agency).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Françoise Delbecq
Le grand Oliver Stone fait son retour dans le biopic !
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La Rédaction
Oliver Stone offre une plongée vertigineuse dans le monde du renseignement américain.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Avec ce grand spectacle engagé, Oliver Stone atteint son objectif. "Snowden" est un film de son époque, courageux et convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
La gageure était de rendre spectaculaire et haletante la vie d’un jeune homme passant le plus clair de son temps derrière un ordinateur. Pari réussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Marilyne Letertre
Oliver Stone signe son meilleur film depuis "L’Enfer du dimanche" en tirant le portrait du lanceur d’alerte Edward Snowden, devenu ennemi public aux Etats-Unis.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Oliver Stone reprend du poil de la bête. (...) Il présente un solide dossier à l'ancienne, pèse le pour et le contre, s'inquiète pour l'avenir. On dirait un grand-oncle pessimiste, mais qui en a vu d'autres.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Stone, réalisateur viril et amateur d’action ("Platoon", "Salvador", "Alexandre"), s’efforce de rendre (presque) palpitantes les conversations de geeks à lunettes devant des écrans d’ordinateur. Là aussi, il s’en tire plutôt bien, faisant œuvre de pédagogie pour le spectateur qui ne serait pas un hacker professionnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Renaud Baronian
Evitant la plupart du temps le gouffre des embrouillaminis techniques, Stone a choisi de s'intéresser à l'homme, tiraillé en permanence. Dans le rôle-titre, Joseph Gordon-Levitt fait une très forte impression.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Phalène de La Valette
Le réalisateur de "Platoon" retrouve ses élans d'autrefois pour défendre la cause des lanceurs d'alerte avec "Snowden".
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Sorte de film-Wikipédia du plus grand scandale de surveillance du monde moderne, “Snowden” a l’efficacité d’un didactisme limpide. Associé au documentaire “Citizenfour”, ce biopic “heroic-historique” déroule un parfait scénario pour film d’espionnage.
Marianne
par Danièle Heymann
"Snowden" est étonnament calme et fervent. Un thriller intime [dans lequel] Joseph Gordon-Levitt donne à son modèle une profondeur et une vérité constantes.
Ouest France
par La Rédaction
Le cinéaste franc-tireur signe avec "Snowden" un super thriller parano.
Première
par Frédéric Foubert
"Snowden" est un thriller efficace où Oliver Stone retrouve son mordant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Du cinéma engagé qui pose les bonnes questions.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Voici
par La Rédaction
Le film, qui n'évite pas quelques clichés, se regarde comme un thriller à suspense, flirte avec le film d'espionnage à la Jason Bourne ou Mission : Impossible, sur fond de prise de conscience politique.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Conteur avéré, le réalisateur de JFK pose le décor d’une dystopie par les moyens de communication, soudant le suspense par des scènes calibrées, où la catharsis par la révélation, ne résout pas le schmilblick, mais place la balle dans notre camp, invitant le spectateur citoyen à prendre position.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le Stone d’aujourd’hui n’est plus celui de "JFK". Edifiant, son "Snowden" s’apparente davantage à un portrait Wikipédia éditorialisé qu’au grand film qu’on était en droit d’attendre sur le sujet.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Portrait fouillé du lanceur d’alerte américain qui a dévoilé l’ampleur insoupçonnée de la surveillance globale mise en place par la NSA, le film d’Oliver Stone manque hélas de mordant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Theate
Le réalisateur de "JFK" souligne le douloureux cas de conscience que l'ex-consultant a dû affronter, entre paranoïa et désir de faire son devoir. Mais à vouloir tout expliquer, il nous perd dans les rouages informatiques de la cybersurveillance et les rebondissements un peu mièvres de la vie sentimentale de Snowden.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
C'est l'histoire d'un homme qui n'aime pas être filmé racontée par un homme qui aime tout filmer. Dans ce paradoxe tient entièrement le "Snowden" d'Oliver Stone, sa force comme sa limite : donner à connaître un personnage secret devenu instantanément historique (...) Le vertige théorique est hélas effleuré par Stone, cinéaste trop terre à terre.
Libération
par Didier Péron
Le film néanmoins n’essaie jamais de déconstruire le personnage ou de chercher autre chose qu’à être son porte-parole le plus obéissant. On ne peut pas tout à fait lui en vouloir, mais c’est curieux de la part d’un cinéaste qui entend ne jamais s’en laisser conter.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Les bouleversements politiques contemporains auront toujours plus d’imagination qu’Oliver Stone.
L'Express
par Christophe Carrière
(...) les dents du réalisateur de "Wall Street" et "Tueurs nés" se sont émoussées. En dévotion devant son personnage, il en oublie de faire monter la tension et se limite à un exposé des faits, certes édifiant, mais bien moins passionnant que le documentaire de Laura Poitras sur le même sujet, "Citizenfour" (oscar en 2015).
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Pour se faire entendre, le cinéaste vise l’efficacité et recourt à une structure narrative oscillant entre vie privée (antinomie, frictions conjugales) et expériences professionnelles, thriller sociétal et mélo conjugal, empruntant aux séries leur style bulldozer, leur musique envahissante et leur lot de confessions.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Toujours à l’affût d’une juste et grande cause à défendre, Oliver Stone a manifestement trouvé avec Edward Snowden son héros : mais son film pâtit de l’absence d’une vraie progression dramatique et apparaît plus bavard que profond.
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’autodiscipline dont fait preuve Stone force le respect, mais ce mode de narration n’est pas le sien, et Snowden ne trouve jamais le juste rythme, la dimension qui conviendrait à son insaisissable héros.
Positif
par Éric Derobert
Le malaise de ce film, c'est qu'il n'y en a pas. On sort de là rassuré puisqu'une fois de plus, un super-héros a sauvé le monde. Or, "Snowden", ce devrait être inquiétant, dissonant, inconfortable et suggérer un monde orwellien de moins en moins évoqué au fur et à mesure que nous y sommes davantage plongés.
Télérama
par Frédéric Strauss
En se focalisant sur la vie privée du lanceur d'alerte, Oliver Stone passe à côté de ce qu'il voudrait dénoncer : le pouvoir de la NSA (National Security Agency), capable de mettre sur écoute le premier quidam venu ou Angela Merkel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
De JFK à Snowden, d’une affaire d’état à une autre, rien ne semble avoir changé au rayon “film dossier” de Stone, qui continue d’appliquer son maigre savoir-faire de cinéaste engagé, entre grammaire d’investigation nineties et filmage high tech tous azimuts, façon pilote des Experts à la NSA.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Nicolas Journet
Délateur narcissique, héros des temps modernes, le lanceur d’alerte reste avec son mystère.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
CinemaTeaser
Oliver Stone sans nuance, plein de mauvais goût et donneur de leçons pour un film où convergent de vrais partis pris de mise en scène, de bons acteurs et une histoire d'héroïsme.
20 Minutes
Le réalisateur de "JFK" (1991) et "W" (2008) signe un biopic passionnant du donneur d’alerte qui a révélé au public les détails des programmes de surveillance de la NSA (National Security Agency).
Elle
Le grand Oliver Stone fait son retour dans le biopic !
Femme Actuelle
Oliver Stone offre une plongée vertigineuse dans le monde du renseignement américain.
Franceinfo Culture
Avec ce grand spectacle engagé, Oliver Stone atteint son objectif. "Snowden" est un film de son époque, courageux et convaincant.
L'Humanité
La gageure était de rendre spectaculaire et haletante la vie d’un jeune homme passant le plus clair de son temps derrière un ordinateur. Pari réussi.
LCI
Oliver Stone signe son meilleur film depuis "L’Enfer du dimanche" en tirant le portrait du lanceur d’alerte Edward Snowden, devenu ennemi public aux Etats-Unis.
Le Figaro
Oliver Stone reprend du poil de la bête. (...) Il présente un solide dossier à l'ancienne, pèse le pour et le contre, s'inquiète pour l'avenir. On dirait un grand-oncle pessimiste, mais qui en a vu d'autres.
Le Figaroscope
Stone, réalisateur viril et amateur d’action ("Platoon", "Salvador", "Alexandre"), s’efforce de rendre (presque) palpitantes les conversations de geeks à lunettes devant des écrans d’ordinateur. Là aussi, il s’en tire plutôt bien, faisant œuvre de pédagogie pour le spectateur qui ne serait pas un hacker professionnel.
Le Parisien
Evitant la plupart du temps le gouffre des embrouillaminis techniques, Stone a choisi de s'intéresser à l'homme, tiraillé en permanence. Dans le rôle-titre, Joseph Gordon-Levitt fait une très forte impression.
Le Point
Le réalisateur de "Platoon" retrouve ses élans d'autrefois pour défendre la cause des lanceurs d'alerte avec "Snowden".
Les Fiches du Cinéma
Sorte de film-Wikipédia du plus grand scandale de surveillance du monde moderne, “Snowden” a l’efficacité d’un didactisme limpide. Associé au documentaire “Citizenfour”, ce biopic “heroic-historique” déroule un parfait scénario pour film d’espionnage.
Marianne
"Snowden" est étonnament calme et fervent. Un thriller intime [dans lequel] Joseph Gordon-Levitt donne à son modèle une profondeur et une vérité constantes.
Ouest France
Le cinéaste franc-tireur signe avec "Snowden" un super thriller parano.
Première
"Snowden" est un thriller efficace où Oliver Stone retrouve son mordant.
Studio Ciné Live
Du cinéma engagé qui pose les bonnes questions.
Voici
Le film, qui n'évite pas quelques clichés, se regarde comme un thriller à suspense, flirte avec le film d'espionnage à la Jason Bourne ou Mission : Impossible, sur fond de prise de conscience politique.
aVoir-aLire.com
Conteur avéré, le réalisateur de JFK pose le décor d’une dystopie par les moyens de communication, soudant le suspense par des scènes calibrées, où la catharsis par la révélation, ne résout pas le schmilblick, mais place la balle dans notre camp, invitant le spectateur citoyen à prendre position.
L'Obs
Le Stone d’aujourd’hui n’est plus celui de "JFK". Edifiant, son "Snowden" s’apparente davantage à un portrait Wikipédia éditorialisé qu’au grand film qu’on était en droit d’attendre sur le sujet.
La Croix
Portrait fouillé du lanceur d’alerte américain qui a dévoilé l’ampleur insoupçonnée de la surveillance globale mise en place par la NSA, le film d’Oliver Stone manque hélas de mordant.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur de "JFK" souligne le douloureux cas de conscience que l'ex-consultant a dû affronter, entre paranoïa et désir de faire son devoir. Mais à vouloir tout expliquer, il nous perd dans les rouages informatiques de la cybersurveillance et les rebondissements un peu mièvres de la vie sentimentale de Snowden.
Les Inrockuptibles
C'est l'histoire d'un homme qui n'aime pas être filmé racontée par un homme qui aime tout filmer. Dans ce paradoxe tient entièrement le "Snowden" d'Oliver Stone, sa force comme sa limite : donner à connaître un personnage secret devenu instantanément historique (...) Le vertige théorique est hélas effleuré par Stone, cinéaste trop terre à terre.
Libération
Le film néanmoins n’essaie jamais de déconstruire le personnage ou de chercher autre chose qu’à être son porte-parole le plus obéissant. On ne peut pas tout à fait lui en vouloir, mais c’est curieux de la part d’un cinéaste qui entend ne jamais s’en laisser conter.
Cahiers du Cinéma
Les bouleversements politiques contemporains auront toujours plus d’imagination qu’Oliver Stone.
L'Express
(...) les dents du réalisateur de "Wall Street" et "Tueurs nés" se sont émoussées. En dévotion devant son personnage, il en oublie de faire monter la tension et se limite à un exposé des faits, certes édifiant, mais bien moins passionnant que le documentaire de Laura Poitras sur le même sujet, "Citizenfour" (oscar en 2015).
La Voix du Nord
Pour se faire entendre, le cinéaste vise l’efficacité et recourt à une structure narrative oscillant entre vie privée (antinomie, frictions conjugales) et expériences professionnelles, thriller sociétal et mélo conjugal, empruntant aux séries leur style bulldozer, leur musique envahissante et leur lot de confessions.
Le Dauphiné Libéré
Toujours à l’affût d’une juste et grande cause à défendre, Oliver Stone a manifestement trouvé avec Edward Snowden son héros : mais son film pâtit de l’absence d’une vraie progression dramatique et apparaît plus bavard que profond.
Le Monde
L’autodiscipline dont fait preuve Stone force le respect, mais ce mode de narration n’est pas le sien, et Snowden ne trouve jamais le juste rythme, la dimension qui conviendrait à son insaisissable héros.
Positif
Le malaise de ce film, c'est qu'il n'y en a pas. On sort de là rassuré puisqu'une fois de plus, un super-héros a sauvé le monde. Or, "Snowden", ce devrait être inquiétant, dissonant, inconfortable et suggérer un monde orwellien de moins en moins évoqué au fur et à mesure que nous y sommes davantage plongés.
Télérama
En se focalisant sur la vie privée du lanceur d'alerte, Oliver Stone passe à côté de ce qu'il voudrait dénoncer : le pouvoir de la NSA (National Security Agency), capable de mettre sur écoute le premier quidam venu ou Angela Merkel.
Chronic'art.com
De JFK à Snowden, d’une affaire d’état à une autre, rien ne semble avoir changé au rayon “film dossier” de Stone, qui continue d’appliquer son maigre savoir-faire de cinéaste engagé, entre grammaire d’investigation nineties et filmage high tech tous azimuts, façon pilote des Experts à la NSA.
Critikat.com
Délateur narcissique, héros des temps modernes, le lanceur d’alerte reste avec son mystère.