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Territoire fantastique, où le merveilleux se cueille au coeur même de la désolation, ce petit chef-d'oeuvre nous transforme tous en « psychonautes », voyageurs de l'âme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Il l’a mise au profit d’un style très personnel à la fois foisonnant et épuré, angoissant et enfantin qui renforce l’impression d’isolement de jeunes héros en péril. Le spectateur se laisse happer dans son univers.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ce serait du côté de René Laloux qu'il faudrait chercher les influences majeures de Psiconautas, que ce soit dans ses personnages mélancoliques ou ses paysages imaginaires dévastés. (...) La pérégrination infinie d'âmes candides qui cherche une issue finit par distiller une incommensurable tristesse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Si l'animation de "Psiconautas" est minimaliste comme son graphisme, elle renferme une véritable force évocatrice et sait réserver des séquences sinistres d'une rare intensité.
Adapté de la bande dessinée d’Alberto Vazquez, une vision à la fois sombre, hallucinée et poétique d’un monde apocalyptique, où la réalité a les traits et les couleurs du fantastique.
Psiconautas joue sans nuance, mais de manière troublante, la carte de l’opposition entre l’absolue noirceur de son propos et l’apparente candeur d’un bestiaire dont certains personnages renvoient aux clichés anthropomorphes de l’animation pour enfants.
Désindustrialisation, pollution, chômage, répression… Même s’il est parfois pataud dans son effusion d’émotions adolescentes, le film semble habité par le profond sentiment de révolte qui traverse une société espagnole brutalement heurtée par la crise de la fin des années 2000 (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le tableau est si sombre qu’il est déconseillé aux moins de douze ans ! D’abord conçu comme un court métrage, il a été élargi à une durée de plus de une heure. Pas sûr qu’il y gagne : le scénario piétine et se répète un peu. Mais il faudrait être aveugle pour nier l’originalité du graphisme.
Malgré le tableau de désolation qu’elle présente, cette dystopie est par moments un peu trop contemplative ; le graphisme et le paysage occultent presque le récit. Espérons néanmoins que les réalisateurs approfondiront ce sous-genre peu fréquenté en Europe.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Trop cruel pour les enfants, pas assez structuré pour les adultes, il reste sans doute aux adolescents d’accueillir ce film qui partage avec eux le goût de l’effusion et de l’affect.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
Territoire fantastique, où le merveilleux se cueille au coeur même de la désolation, ce petit chef-d'oeuvre nous transforme tous en « psychonautes », voyageurs de l'âme.
20 Minutes
Il l’a mise au profit d’un style très personnel à la fois foisonnant et épuré, angoissant et enfantin qui renforce l’impression d’isolement de jeunes héros en péril. Le spectateur se laisse happer dans son univers.
Culturopoing.com
Ce serait du côté de René Laloux qu'il faudrait chercher les influences majeures de Psiconautas, que ce soit dans ses personnages mélancoliques ou ses paysages imaginaires dévastés. (...) La pérégrination infinie d'âmes candides qui cherche une issue finit par distiller une incommensurable tristesse.
Femme Actuelle
Un conte horrifique pour adultes, sombre et saisissant, un plaidoyer écologique d'une beauté et d'une force émotionnelle rares.
L'Ecran Fantastique
Si l'animation de "Psiconautas" est minimaliste comme son graphisme, elle renferme une véritable force évocatrice et sait réserver des séquences sinistres d'une rare intensité.
L'Obs
ous la fable pessimiste, il y a un humanisme persistant. Ce sont les premiers pas prometteurs d'un tandem qu'il faudra suivre.
Le Dauphiné Libéré
Adapté de la bande dessinée d’Alberto Vazquez, une vision à la fois sombre, hallucinée et poétique d’un monde apocalyptique, où la réalité a les traits et les couleurs du fantastique.
Les Fiches du Cinéma
Déroutant, dérangeant, très violent, ce cauchemar au graphisme virtuose est un choc.
aVoir-aLire.com
Une superbe fable dystopique, qui alterne scènes oniriques en apesanteur et visions cauchemardesques.
Cahiers du Cinéma
Psiconautas joue sans nuance, mais de manière troublante, la carte de l’opposition entre l’absolue noirceur de son propos et l’apparente candeur d’un bestiaire dont certains personnages renvoient aux clichés anthropomorphes de l’animation pour enfants.
Libération
Désindustrialisation, pollution, chômage, répression… Même s’il est parfois pataud dans son effusion d’émotions adolescentes, le film semble habité par le profond sentiment de révolte qui traverse une société espagnole brutalement heurtée par la crise de la fin des années 2000 (...).
Positif
Le tableau est si sombre qu’il est déconseillé aux moins de douze ans ! D’abord conçu comme un court métrage, il a été élargi à une durée de plus de une heure. Pas sûr qu’il y gagne : le scénario piétine et se répète un peu. Mais il faudrait être aveugle pour nier l’originalité du graphisme.
Critikat.com
L’imaginaire "dark" de "Psiconautas" a quelque chose de paradoxal : à la fois violemment extensif et singulièrement étriqué, replié sur sa petite île.
L'Humanité
Malgré le tableau de désolation qu’elle présente, cette dystopie est par moments un peu trop contemplative ; le graphisme et le paysage occultent presque le récit. Espérons néanmoins que les réalisateurs approfondiront ce sous-genre peu fréquenté en Europe.
Le Monde
Trop cruel pour les enfants, pas assez structuré pour les adultes, il reste sans doute aux adolescents d’accueillir ce film qui partage avec eux le goût de l’effusion et de l’affect.