Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Monde
par Sandrine Marques
Ce carnet de voyage hypnotisant est un autoportrait puissant, dévoilant une humanité fracassée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Et il n’y a rien d’autre que cette beauté noire, pas de discours englobant, pas d’apitoiement, pas de haine ni d’amour, juste l’écho brut du monde auquel se raccrocher.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gérard Delorme
Le résultat est étrangement poétique, mais l'expérience relève davantage de la contemplation de l'enfer que de la vision rassurante d'un classique documentaire.
TF1 News
par Romain Le Vern
Avec une incroyable licence poétique, le photographe Antoine d'Agata sculpte les chairs, interroge la dignité comme l'obscénité dans l'horreur d'un monde en quête de paradis artificiels et fait sienne cette phrase de Bukowski : «l'amour est un chien de l'enfer».
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Libération
par Didier Péron
Ce travail de perdition raisonnée qui devrait produire du pur chaos fait paradoxalement naître des plans sophistiqués, et la complainte des prostituées a été à dessein réinvestie d’une dimension poétique par élimination des éléments trop immédiatement autobiographiques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Cet Atlas a quelque chose de mystérieusement beau, et tout ce qu'il a d'éprouvant est ce qui le rend mémorable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Adrien Dénouette
(...) Cinq ans après "Aka Ana" (...) l’artiste réitère avec "Atlas" ; sorte de "Volume 2", élargissant aux ourlets les plus agonisants du monde, son trombinoscope de la misère contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Cet essai du photographe Antoine d'Agata propose le témoignage de prostituées illustré par des images de déchéance, parfois très stylisées. Cette ode au nihilisme finit hélas par ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Ce qui aurait été juste ici, c’est de retourner la caméra vers soi, et de reconnaître que le film n’est pas une exploration responsable de l’exploitation sexuelle, mais le journal intime d’un client isolé dans ses fantasmes, pas un mauvais sujet après tout, à condition d’être pleinement interrogé.
Le Monde
Ce carnet de voyage hypnotisant est un autoportrait puissant, dévoilant une humanité fracassée.
Les Inrockuptibles
Et il n’y a rien d’autre que cette beauté noire, pas de discours englobant, pas d’apitoiement, pas de haine ni d’amour, juste l’écho brut du monde auquel se raccrocher.
Première
Le résultat est étrangement poétique, mais l'expérience relève davantage de la contemplation de l'enfer que de la vision rassurante d'un classique documentaire.
TF1 News
Avec une incroyable licence poétique, le photographe Antoine d'Agata sculpte les chairs, interroge la dignité comme l'obscénité dans l'horreur d'un monde en quête de paradis artificiels et fait sienne cette phrase de Bukowski : «l'amour est un chien de l'enfer».
Libération
Ce travail de perdition raisonnée qui devrait produire du pur chaos fait paradoxalement naître des plans sophistiqués, et la complainte des prostituées a été à dessein réinvestie d’une dimension poétique par élimination des éléments trop immédiatement autobiographiques.
Télérama
Cet Atlas a quelque chose de mystérieusement beau, et tout ce qu'il a d'éprouvant est ce qui le rend mémorable.
Critikat.com
(...) Cinq ans après "Aka Ana" (...) l’artiste réitère avec "Atlas" ; sorte de "Volume 2", élargissant aux ourlets les plus agonisants du monde, son trombinoscope de la misère contemporaine.
Les Fiches du Cinéma
Cet essai du photographe Antoine d'Agata propose le témoignage de prostituées illustré par des images de déchéance, parfois très stylisées. Cette ode au nihilisme finit hélas par ennuyer.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Ce qui aurait été juste ici, c’est de retourner la caméra vers soi, et de reconnaître que le film n’est pas une exploration responsable de l’exploitation sexuelle, mais le journal intime d’un client isolé dans ses fantasmes, pas un mauvais sujet après tout, à condition d’être pleinement interrogé.