Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Très peu de paroles en effet dans cette leçon de choses plus qu’humaine, qui nous donne à voir le réel d’il y a quarante ans avec une intensité extraordinaire. Grâce à cet unique film posthume d’un cinéaste inconnu, un passé vierge et vivace revit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Express
par Christophe Carrière
Inédit en salles, le film est fascinant de beauté et de sobriété.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Quel bonheur que ce film ! Plans millimétrés, compositions magnifiques, montage fluide, caméra en mouvement, comme amoureuse... Maîtrisée avec brio, la technique s'efface pour laisser Jules et Félicie envahir l'espace allongé de l'image, leurs gestes devenir poésie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Tout cela dans une beauté plastique, dans une sensibilité atmosphérique, qui évoque la gaze et la douceur impressionniste. (...). Ineffable élégie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
aVoir-aLire.com
par Jean-Christophe Malévialle
Ce qui marque l’esprit, c’est l’aventure humaine qu’il nous est donné de voir. Celle d’un couple, que l’on peut supposer heureux et uni, qui, à l’aube de sa vie, nous offre le témoignage d’une époque.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Très loin de Depardon, (...), mais les beautés du film n'en sont pas moins réelles et fort estimables.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Antithèse d’un cinéma américain cherchant sans cesse à excéder le réel par l’imagerie, "Le Cousin Jules" atteint une forme de nirvana en s’appesantissant sur la banalité du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jérémie Couston
Du cinéma contemplatif, certes, mais où affleurent la vérité du temps qui passe et celle d'une ruralité déjà en voie de disparition, à l'époque. Un film bouleversant pour qui se donnera la peine de s'y abandonner.
Culturopoing.com
par Pierre Audebert
De chamboulé, Dominique Benicheti en devient bouleversant. La matérialité du monde n'est pas dans la vie sociale mais dans la douceur de la caresse du rasoir sur le torchon et elle ne pouvait s'éprouver que dans le tâtonnement, à l'écoute, aux aguets.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
Très peu de paroles en effet dans cette leçon de choses plus qu’humaine, qui nous donne à voir le réel d’il y a quarante ans avec une intensité extraordinaire. Grâce à cet unique film posthume d’un cinéaste inconnu, un passé vierge et vivace revit.
L'Express
Inédit en salles, le film est fascinant de beauté et de sobriété.
La Croix
Quel bonheur que ce film ! Plans millimétrés, compositions magnifiques, montage fluide, caméra en mouvement, comme amoureuse... Maîtrisée avec brio, la technique s'efface pour laisser Jules et Félicie envahir l'espace allongé de l'image, leurs gestes devenir poésie.
Le Monde
Tout cela dans une beauté plastique, dans une sensibilité atmosphérique, qui évoque la gaze et la douceur impressionniste. (...). Ineffable élégie.
aVoir-aLire.com
Ce qui marque l’esprit, c’est l’aventure humaine qu’il nous est donné de voir. Celle d’un couple, que l’on peut supposer heureux et uni, qui, à l’aube de sa vie, nous offre le témoignage d’une époque.
L'Obs
Très loin de Depardon, (...), mais les beautés du film n'en sont pas moins réelles et fort estimables.
Les Inrockuptibles
Antithèse d’un cinéma américain cherchant sans cesse à excéder le réel par l’imagerie, "Le Cousin Jules" atteint une forme de nirvana en s’appesantissant sur la banalité du quotidien.
Télérama
Du cinéma contemplatif, certes, mais où affleurent la vérité du temps qui passe et celle d'une ruralité déjà en voie de disparition, à l'époque. Un film bouleversant pour qui se donnera la peine de s'y abandonner.
Culturopoing.com
De chamboulé, Dominique Benicheti en devient bouleversant. La matérialité du monde n'est pas dans la vie sociale mais dans la douceur de la caresse du rasoir sur le torchon et elle ne pouvait s'éprouver que dans le tâtonnement, à l'écoute, aux aguets.