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Votre avis sur Ma vie avec John F. Donovan ?
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Dommage qu’on ne puisse pas mettre de note négative
INSUPPORTABLE
Il ne se passe rien
Nous y sommes allés pour le casting et la réputation de Dolan mais quel navet !!!
2 voisins dormaient
Le rythme cassé par des flash-back, un scénario insipide et confus. J’ai détesté
A FUIR
Ne gaspillez pas votre argent
INSUPPORTABLE
Il ne se passe rien
Nous y sommes allés pour le casting et la réputation de Dolan mais quel navet !!!
2 voisins dormaient
Le rythme cassé par des flash-back, un scénario insipide et confus. J’ai détesté
A FUIR
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Puissante mise en scène, acteurs hyper impliqués, mais un film trop bavard. La scène d'ouverture du dernier Xavier Dolan, magistrale, laisse espérer un grand opus. Cette fougue revient régulièrement à travers de nombreuses séquences superbement mises en images. Mais le récit ne fonctionne pas pleinement, loin de là. L'histoire des deux personnages principaux semble manquer de fond pour être vraiment intéressante. Comment croire essentiel le parcours d'un enfant qui a échangé une centaine de lettres avec un star de série télé ? Même les protagonistes se posent la question au cours du film. Reste que, comme c'est le cas pour Tarantino, Dolan est toujours attendu comme un messie ne produisant que des chefs-d’œuvre. Cet opus-ci n'en est pas un, mais forme un jalon tout de même significatif dans la carrière du jeune cinéaste. Et Dieu, quelle mise en scène !
J'ai aimé sans exception tous les films de Dolan, dans lesquels j'ai toujours trouvé l'émotion juste et captivante. Là je dois dire que j'ai été déçue, malgré de supers acteurs, une BO top et quelques scènes très belles. J'ai trouvé que tout était sur le même ton, un peu "plat", et les scènes " fortes " pas vraiment crédibles car trop en décalage avec le ton plutôt monotone du film. L'interview était je trouve un duo acteur qui ne fonctionnait pas. Dommage!
Un bon film original et intéressant sur le thème de l'homosexualité chez les gens célèbres.
J'ai bien aimé dans l'ensemble et j'ai vraiment voulu savoir la fin.
J'ai bien aimé dans l'ensemble et j'ai vraiment voulu savoir la fin.
Film puissant , touchant et parfois déstabilisant.
Une correspondance entre un jeune comédien célèbre et un enfant fan.
intéressant mais néanmoins certaines scènes sont un peu longue.
Une correspondance entre un jeune comédien célèbre et un enfant fan.
intéressant mais néanmoins certaines scènes sont un peu longue.
Un film poignant qui fait converger ses deux protagonistes (l'un étouffé par la gloire, l'autre vivant celle-ci par procuration) vers la vérité. En plus d'être profondément critique sur l'archétype du cinéma hollywoodien, X. Dolan, sert (presque de manière obsessionnelle) des thématiques qui lui sont propres : la maturité précoce, les rapports mère/fils souffrant de l'incommunicabilité, la difficile acceptation de soi. Dire que la direction d'acteurs est remarquable est peu dire, les mères : Susan Sarandon et Nathalie Portman sont bouleversantes tout comme leurs fils...
🎬🎬🎬🎬
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Cinéaste passionné et passionnant, Xavier Dolan a commencé sa carrière jeune mais ses débuts de prodige ne l'ont jamais fait reposer sur ses acquis, bien au contraire. Après avoir adapté Jean-Luc Lagarce avec "Juste la fin du monde", le voilà qui signe avec "Ma vie avec John F. Donovan" son premier film tourné en langue anglaise avec un sacré casting à la clé ! On n'y trouvera malheureusement pas Jessica Chastain, coupée au terme d'un montage assez compliqué pour le cinéaste, s'étant retrouvé face à un film très dense, trop dense. Réduisant l'essentiel de son récit autour de l'acteur ultra-populaire John Donovan (Kit Harington, dans un rôle qui n'est pas sans rappeler son propre parcours, l'acteur ayant accédé brusquement à la célébrité via une série télévisée) et de la relation épistolaire qu'il entretient avec Rupert, un enfant de 11 ans, acteur lui aussi (Jacob Tremblay, qui confirme son immense talent après "Room, se montrant capable d'émouvoir avec une intensité étonnante), Dolan nous livre un film intense, se jetant à corps perdu dans les émotions qu'il génère, les embrassant avec un premier degré toujours aussi incroyable, capable de nous arracher des larmes à une scène de retrouvailles sous la pluie pourtant maintes fois vues. Le talent de Dolan, c'est de ne jamais prendre de haut les émotions de ses films. C'est pour cela qu'on lui reproche d'être kitsch mais c'est aussi ça qui fait toute sa singularité et qui renforce notre admiration pour lui. Ayant fait un travail colossal de montage pour ne pas laisser paraître qu'il y a la moindre scène coupée, le cinéaste brosse deux portraits complexes d'êtres talentueux rongés par la solitude et l'incompréhension de ceux qui les entourent. Certes, on aurait aimé en savoir plus sur cette relation épistolaire, au cœur du film mais dont nous ne saurons jamais rien. Dolan préfère se concentrer ailleurs, quitte à aller dans le cliché quand il tourne autour de Donovan, star d'une série ringarde cachant son homosexualité et entretenant (évidemment chez Dolan) une relation conflictuelle avec sa mère. Si Kit Harington s'en sort bien, c'est finalement Jacob Tremblay qui vient canaliser toute l'émotion du film, aidé par une superbe Natalie Portman dans un rôle assez difficile sur le papier. Parfois un peu trop dense, parfois frustrant, "Ma vie avec John F. Donovan" n'en demeure pas moins une réflexion sur la célébrité et la solitude totalement bouillonnante et passionnante, véritable élan émotionnel que l'on embrasse avec ferveur tant on se régale de ce que Dolan raconte, aidé par une photographie chaleureuse et un superbe casting.
A l'occasion d'une interview avec une journaliste, un jeune acteur va replonger dans son passé et raconter comment il a entretenu pendant des années une correspondance avec une vedette de la TV décédée.
Le côté étrange, c'est que cette amitié épistolaire se passait entre un enfant de 6-7 ans et un adulte de plus de 20 ans...
Je n'ai pas trop accroché sur le fond de cette histoire plutôt insipide et légèrement déroutante, je n'ai pas non plus aimé la forme utilisant des tas de flashbacks répétitifs un peu pénibles.
Des films traitant de la difficulté d'assumer ses tendances sexuelles atypiques ou de la complexité de gérer un statut de vedette ont déjà été maintes fois tournés, j'oublierai rapidement celui-ci sans grand relief, malgré la présence de la toujours sublime Natalie Portman.
Très fade.
Site www.cinemadourg.free.fr
Le côté étrange, c'est que cette amitié épistolaire se passait entre un enfant de 6-7 ans et un adulte de plus de 20 ans...
Je n'ai pas trop accroché sur le fond de cette histoire plutôt insipide et légèrement déroutante, je n'ai pas non plus aimé la forme utilisant des tas de flashbacks répétitifs un peu pénibles.
Des films traitant de la difficulté d'assumer ses tendances sexuelles atypiques ou de la complexité de gérer un statut de vedette ont déjà été maintes fois tournés, j'oublierai rapidement celui-ci sans grand relief, malgré la présence de la toujours sublime Natalie Portman.
Très fade.
Site www.cinemadourg.free.fr
Je ne publie pas souvent de critique mais face à ce que j'ai pu lire je ne peux que venir défendre ce film. La BA m'avait donné tellement envie (sur un rythme incroyable de run boy run de Woodkid) que j'avais peur d'être déçue. Et je ne l'ai pas été...
Commençons par cette scène d'ouverture sur du adèle, le genre de scène musicale qui a fait le succès de dolan et qui lance le film de manière incroyable. Alors oui ensuite sur l'histoire nous retrouvons des thèmes classique de Dolan (la mère, l'homoséxualité) dans une histoire qui peut paraitre classique et prévisible ( spoiler: acteur torturé qui cache son homosexualité, qui est en pleine descente aux enfers et qui entretien une correspondance avec un enfant
). Mais Dolan la traite à sa façon et nous livre tellement plus que cela : cette quête d'identité face à la célébrité, cette solitude de Donovan face à lui meme, à sa famille et à son public, comment cette correspondance va permettre à Rupert de devenir qui il est... J'ai tout trouvé incroyablement juste en s'éloignant des clichés qui collaient à la peau de Dolan (la relation mère/fils est présente mais à enfin trouvé un juste milieu). La ou certains jugent cela comme un film qui n'est "plus du dolan" j'ai trouvé que justement il s'était enfin trouvé en jouant de ce qui fait sa force sans abuser. La ou encore certains jugent le film "décousu" ou l'on voit qu'il y a eu des coupages au montage je trouve que justement grâce à cette narration particulière le fait que Rupert ne raconte que certains moments de sa vie et de celle de donovan ne me gène pas et nous permet de voir par éclair ce qu'a pu etre leur vie en nous laissant imaginer le reste. Et que de dire de la photographie, de ces plans serrés, de la musique, du casting (natalie portman incroyable, jacob tremblay exceptionnel, kit harrigton qui nous montre enfin ce qu'il peut jouer et les autres...), de certaines scenes tellement fulgurantes de génie ( spoiler: la scene entre natalie portman et jacob tremblay sur stand by me est juste époustouflante, la scene dans la baignoire, ou la scene ou on découvre un jacob tremblay qui hurle devant sa télé pour sa série préféré
). Et cette fin, oui certes prévisible mais traitée avec une telle émotion et des plans incroyables ( spoiler: cette lettre..
)... j'ai été incapable de parler pendant 1h à la sortie du film et la j'ai su que je venais de voir un film bouleversant, qui est pour moi le meilleur dolan, le plus aboutit, le plus personnel et le plus juste.
Commençons par cette scène d'ouverture sur du adèle, le genre de scène musicale qui a fait le succès de dolan et qui lance le film de manière incroyable. Alors oui ensuite sur l'histoire nous retrouvons des thèmes classique de Dolan (la mère, l'homoséxualité) dans une histoire qui peut paraitre classique et prévisible ( spoiler: acteur torturé qui cache son homosexualité, qui est en pleine descente aux enfers et qui entretien une correspondance avec un enfant
). Mais Dolan la traite à sa façon et nous livre tellement plus que cela : cette quête d'identité face à la célébrité, cette solitude de Donovan face à lui meme, à sa famille et à son public, comment cette correspondance va permettre à Rupert de devenir qui il est... J'ai tout trouvé incroyablement juste en s'éloignant des clichés qui collaient à la peau de Dolan (la relation mère/fils est présente mais à enfin trouvé un juste milieu). La ou certains jugent cela comme un film qui n'est "plus du dolan" j'ai trouvé que justement il s'était enfin trouvé en jouant de ce qui fait sa force sans abuser. La ou encore certains jugent le film "décousu" ou l'on voit qu'il y a eu des coupages au montage je trouve que justement grâce à cette narration particulière le fait que Rupert ne raconte que certains moments de sa vie et de celle de donovan ne me gène pas et nous permet de voir par éclair ce qu'a pu etre leur vie en nous laissant imaginer le reste. Et que de dire de la photographie, de ces plans serrés, de la musique, du casting (natalie portman incroyable, jacob tremblay exceptionnel, kit harrigton qui nous montre enfin ce qu'il peut jouer et les autres...), de certaines scenes tellement fulgurantes de génie ( spoiler: la scene entre natalie portman et jacob tremblay sur stand by me est juste époustouflante, la scene dans la baignoire, ou la scene ou on découvre un jacob tremblay qui hurle devant sa télé pour sa série préféré
). Et cette fin, oui certes prévisible mais traitée avec une telle émotion et des plans incroyables ( spoiler: cette lettre..
)... j'ai été incapable de parler pendant 1h à la sortie du film et la j'ai su que je venais de voir un film bouleversant, qui est pour moi le meilleur dolan, le plus aboutit, le plus personnel et le plus juste.
Décevant ... Inutilement intellectualisé, assez bien filmé et joli mais c’est tout. On ne suit pas bien le fil rouge, les personnages sont bizarrement caricaturés. Vraiment un cran en-dessous des précédents !
Très très très déçue. Je suis une adepte du cinéma de Dolan, et son talent s'est notamment fait connaitre grâce au magnifique "Mommy" ou encore "J'ai tué ma mère". Or, ici Dolan s'éloigne complètement de son côté intimiste qui défini si bien ses films, en nous proposant un film bon public avec des scènes sans fond, et une histoire qui ne tient pas la route pour nous émouvoir, malgré un casting de qualité.
Que de clichés, de ralentis intempestifs, de lourdeurs, de longueurs, de bienpensance, de dialogues pathétiques dégoulinants de bons sentiments! Si vous aimez les films de Xavier Dolan, vous allez (plus que) être déçus. Si non, je vous le déconseille absolument. Dans les deux cas: fuyez!
Bons interprètes, histoire tirée par les cheveux, il faut s’accrocher, bon dénouement, bon esprit sur la fin.
C'est le deuxième film de Dolan que je vois après Mommy et les similitudes sont nombreuses, tant sur la forme (façon de filmer, BO très soignée) que sur le fond (la relation entre un enfant et sa mère est au cœur de l'histoire). L'histoire de base a le mérite d'être recherchée et les acteurs sont très bons, notamment le gamin. Je regrette néanmoins le temps mis à nous éclairer sur tous les élements de l'histoire (on reste dans le flou trop longtemps si on a pas vu la BA) et la longueur du film. Il faut aimer le style Dolan pour aller voir ce film.
Grosse déception. Dolan a les yeux plus gros que le ventre
et son rêve américain se fracasse sur des ambitions trop grandes
pour ses petites épaules. Best of des scènes de ces anciens films,
la sauce ne prend pas. Trop d'hystérie, trop de musiques, trop de ralentis,
trop de mères et de gros plans. Ce qui pouvait faire le charme de ses précédents films devient
vite insupportable et dégoulinant de mièvrerie.
Les personnages sont peu aimables (gamin et acteur gay dans le placard) seules les actrices
s'en sortent, Susan Sarandon et Kathy Bates apportent un peu de maturité à ce pensum narcissique
d'ado attardé sur les affres de la célébrité.
et son rêve américain se fracasse sur des ambitions trop grandes
pour ses petites épaules. Best of des scènes de ces anciens films,
la sauce ne prend pas. Trop d'hystérie, trop de musiques, trop de ralentis,
trop de mères et de gros plans. Ce qui pouvait faire le charme de ses précédents films devient
vite insupportable et dégoulinant de mièvrerie.
Les personnages sont peu aimables (gamin et acteur gay dans le placard) seules les actrices
s'en sortent, Susan Sarandon et Kathy Bates apportent un peu de maturité à ce pensum narcissique
d'ado attardé sur les affres de la célébrité.
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