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Votre avis sur Ma vie avec John F. Donovan ?
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Un film sur une enfance perdue et sur une vie d'artiste adulée ! Pas mal, mais trop lent, trop long ... des dialogues inutiles qui n'aboutissent à rien si ce n'est un léger ennui.
par cette histoire relatée, Dolan explore la condition du vedettariat et le sentiment de solitude voire de chute d'une star. on retrouve également les rapports mère-fils qui lui sont chers et ces moments de grâce, suspendus dans le temps qui caractérisent son cinéma. même si le scénario manque quelque peu de force, son casting de choix est au service d'une œuvre intemporelle.
J'avais un peu d'appréhension avant d'aller voir "Ma vie avec John F. Donovan" avec les rumeurs que c'était un film baclé au montage avec le temps qu'a passer le jeune cinéaste Xavier Dolan a le finir, de supprimer Jessica Chastain alors qu'elle avait tourné dedans, tout cela me faisait un peu peur mais au final, j'ai bien aimé et je trouve que le metteur en scène s'en est bien sortit au final !! Ce long métrage est comme une oeuvre a décrire à l'Américaine, plus ancré de là-bas. Le début commence par un jeune homme qui raconte à une journaliste son histoire de correspondance quand il était petit à l'école avec un acteur qui faisait sensation à la télévision du nom, comme le titre l'indique, John F. Donovan. Ce dernier meurt à la tristesse du gamin mais ce qu'il y a d'intéressant , on voit le petit lire et écrire des lettres mais on ne voit pas son idole écrire, on ne sait pas la réalité. L'acteur voit sa notoriété basculé. J'ai été touché par ce film ou Xavier Dolan fait du bon travail dans la mise en scène , je trouve, avec un scénario bien écrit et une bande originale sympathique. Puis, il y a un excellent casting avec Kit Harington, le petit Jacob Tremblay, Natalie Portman, Susan Sarandon, Kathy Bates, Thandie Newton pour citer les plus célèbres. Une bonne surprise comme quoi il ne faut pas entendre les mauvaises langues.
Puissant et fort !
On ressort comme d’habitude, après avoir vue un film de Xavier Dolan : tout chamboulé !
Ma vie avec John F. Donavan est une parfaite démonstration que dans un film ont peut encore découvrir une façon de filmer, raconter une histoire, et nous décrire la vie mélodramatique d’un jeune acteur, mais d’une manière différente que l’on pourrai s’attendre...
Ce film se dévore et on aurai eu envie que ça continue, finalement on aurai bien voulu qu’il dure 1 h de plus, la vie des deux acteurs principaux est passionnante !
Pas le meilleur mais du grand Dolan !
On ressort comme d’habitude, après avoir vue un film de Xavier Dolan : tout chamboulé !
Ma vie avec John F. Donavan est une parfaite démonstration que dans un film ont peut encore découvrir une façon de filmer, raconter une histoire, et nous décrire la vie mélodramatique d’un jeune acteur, mais d’une manière différente que l’on pourrai s’attendre...
Ce film se dévore et on aurai eu envie que ça continue, finalement on aurai bien voulu qu’il dure 1 h de plus, la vie des deux acteurs principaux est passionnante !
Pas le meilleur mais du grand Dolan !
shindu77
Un bon film tiré par une histoire intéressante. La mise en scène avec les deux temporalité est bonne mais pas parfaite pour autant. Le casting global est de bonne facture. Quelques longueurs ici et la rendre par moment le film un peu long et c'est dommage
Cette critique s'adresse à celles et ceux qui n'aiment pas particulièrement le cinéma de Dolan, ou à ceux qui hésitent simplement.
Je ne suis pas une grande fan du réalisateur. J'avais aimé l'énergie de son premier film, mais les autres m'ont lassée assez vite. Et si je continue de les regarder, c'est parce que j'espère toujours retrouver quelque chose de l'énergie du premier, et parce que malgré tout c'est un cinéaste qui sait incroyablement filmer les émotions et où les acteurs sont toujours dirigés à la ride près.
Alors pour ceux qui hésitent parce qu'ils n'aiment pas les films de Dolan, une garantie : ce film lui ressemble, mais ne ressemble aucunement à sa filmographie. Il est plus ouvert sur le monde, plus dense en terme d'action et contrairement à d'habitude, on n'étouffe pas : au contraire, c'est une explosion d'oxygène, de sentiments qui réagissent en chaîne, et loin d'être un film d'auteur, "The Life and Death of John F. Donovan" est une vraie proposition destinée à tous. Peut-être est d'ailleurs la raison pour laquelle il a enfin choisi de tourner en anglais.
Alors je ne parlerai pas de toutes les extrêmes qualités du film, d'autres l'ont probablement déjà très bien fait, mais si vous hésitez, je vous encourage à vous lancer sans plus réfléchir.
Kit Harrington est filmé passionnément et son histoire vous passionnera très probablement aussi.
Je ne suis pas une grande fan du réalisateur. J'avais aimé l'énergie de son premier film, mais les autres m'ont lassée assez vite. Et si je continue de les regarder, c'est parce que j'espère toujours retrouver quelque chose de l'énergie du premier, et parce que malgré tout c'est un cinéaste qui sait incroyablement filmer les émotions et où les acteurs sont toujours dirigés à la ride près.
Alors pour ceux qui hésitent parce qu'ils n'aiment pas les films de Dolan, une garantie : ce film lui ressemble, mais ne ressemble aucunement à sa filmographie. Il est plus ouvert sur le monde, plus dense en terme d'action et contrairement à d'habitude, on n'étouffe pas : au contraire, c'est une explosion d'oxygène, de sentiments qui réagissent en chaîne, et loin d'être un film d'auteur, "The Life and Death of John F. Donovan" est une vraie proposition destinée à tous. Peut-être est d'ailleurs la raison pour laquelle il a enfin choisi de tourner en anglais.
Alors je ne parlerai pas de toutes les extrêmes qualités du film, d'autres l'ont probablement déjà très bien fait, mais si vous hésitez, je vous encourage à vous lancer sans plus réfléchir.
Kit Harrington est filmé passionnément et son histoire vous passionnera très probablement aussi.
Une réflexion touchante (malgré un personnage d'enfant très agaçant) sur les affres de la célébrité et les difficultés à appréhender ce monde parallèle, notamment quand l'assise émotionnelle est bancale, à travers les trajectoires liées mais divergentes de deux êtres dont la réalité ou non de la correspondance n'importe guère en réalité, le tout porté par un montage dynamique et symbolique grâce à la recherche esthétique et sonore de Xavier Dolan. Un film d'absolu.
Un film d'une justesse rare et en même temps d'une sensibilité extrême. C'est une perle.
Xavier Dolan signe là son meilleur film.
Xavier Dolan signe là son meilleur film.
Quel coup de cœur.
Mise en scène maîtrisée de bout en bout. Loin, très loin, de ses films prétentieux précédents. Loin de ses effets de style intellos.
Film intelligent et touchant.
Mise en scène maîtrisée de bout en bout. Loin, très loin, de ses films prétentieux précédents. Loin de ses effets de style intellos.
Film intelligent et touchant.
Ses sujets de prédilections (l'homosexualité, la relation mère/fils) sont traités sous un nouvel angle mais les problématiques demeurent...
traversay1
C'est assez souvent que subsistent des sentiments contradictoires (frustration et enthousiasme), à la sortie d'une projection d'un film de Xavier Dolan, dont on peut toujours dire qu'il est un jeune prodige, puisqu'à moins de 30 ans il a déjà signé 7 films (très bientôt 8). Dans ce cinéma, qui est tout sauf indolent, on ne sait encore quelle place aura Ma vie avec John F. Donovan. Celle d'un grand film "malade", sans doute, puisque la première version présentée en salles ne fait pas les 4 heures escomptées mais deux fois moins. Les coupes que Dolan a dû faire ont nécessairement un effet sur le montage de son film qui apparait à la fois complexe, boursouflé et elliptique. Le principal problème est d'accepter le noeud de l'intrigue : ces échanges épistolaires entre un gamin et un acteur de séries confronté à la célébrité et à l'impossibilité de révéler la vraie nature de ses orientations sexuelles. Segmenté en trois récits qui se nourrissent tant bien que mal, le premier film en langue anglaise du cinéaste québécois brasse des thèmes familiers de son univers : la solitude, l'homosexualité, la notoriété et, bien entendu, le rapport à la mère. Ce n'est pas un hasard si Natalie Portman et Susan Sarandon sont admirablement filmés dans Ma vie avec John F. Donovan et dégagent davantage de charisme que Kit Harington (décevant), bien que Dolan ait déjà dessiné des portraits de femmes plus puissants, dans le passé. Le film souffre d'un excès de lignes narratives et de pas assez de limpidité mais, en contrepartie, le style de Dolan est toujours aussi efficace, romantique et romanesque, naïf et matois, narcissique et altruiste. Tout ces côtés agaçant et stimulant à la fois que l'on reconnait à Dolan depuis j'ai tué ma mère et qui en font,, malgré tout ce qu'on peut lui reprocher, un réalisateur unique dont on ne peut s'empêcher d'attendre chaque nouvelle livraison avec impatience.
Cinéaste passionné et passionnant, Xavier Dolan a commencé sa carrière jeune mais ses débuts de prodige ne l'ont jamais fait reposer sur ses acquis, bien au contraire. Après avoir adapté Jean-Luc Lagarce avec "Juste la fin du monde", le voilà qui signe avec "Ma vie avec John F. Donovan" son premier film tourné en langue anglaise avec un sacré casting à la clé ! On n'y trouvera malheureusement pas Jessica Chastain, coupée au terme d'un montage assez compliqué pour le cinéaste, s'étant retrouvé face à un film très dense, trop dense. Réduisant l'essentiel de son récit autour de l'acteur ultra-populaire John Donovan (Kit Harington, dans un rôle qui n'est pas sans rappeler son propre parcours, l'acteur ayant accédé brusquement à la célébrité via une série télévisée) et de la relation épistolaire qu'il entretient avec Rupert, un enfant de 11 ans, acteur lui aussi (Jacob Tremblay, qui confirme son immense talent après "Room, se montrant capable d'émouvoir avec une intensité étonnante), Dolan nous livre un film intense, se jetant à corps perdu dans les émotions qu'il génère, les embrassant avec un premier degré toujours aussi incroyable, capable de nous arracher des larmes à une scène de retrouvailles sous la pluie pourtant maintes fois vues. Le talent de Dolan, c'est de ne jamais prendre de haut les émotions de ses films. C'est pour cela qu'on lui reproche d'être kitsch mais c'est aussi ça qui fait toute sa singularité et qui renforce notre admiration pour lui. Ayant fait un travail colossal de montage pour ne pas laisser paraître qu'il y a la moindre scène coupée, le cinéaste brosse deux portraits complexes d'êtres talentueux rongés par la solitude et l'incompréhension de ceux qui les entourent. Certes, on aurait aimé en savoir plus sur cette relation épistolaire, au cœur du film mais dont nous ne saurons jamais rien. Dolan préfère se concentrer ailleurs, quitte à aller dans le cliché quand il tourne autour de Donovan, star d'une série ringarde cachant son homosexualité et entretenant (évidemment chez Dolan) une relation conflictuelle avec sa mère. Si Kit Harington s'en sort bien, c'est finalement Jacob Tremblay qui vient canaliser toute l'émotion du film, aidé par une superbe Natalie Portman dans un rôle assez difficile sur le papier. Parfois un peu trop dense, parfois frustrant, "Ma vie avec John F. Donovan" n'en demeure pas moins une réflexion sur la célébrité et la solitude totalement bouillonnante et passionnante, véritable élan émotionnel que l'on embrasse avec ferveur tant on se régale de ce que Dolan raconte, aidé par une photographie chaleureuse et un superbe casting.
Cinéphiles 44
Lorsqu’il était enfant Xavier Dolan écrivit une lettre à son idole Leonardo DiCaprio restée sans réponse. Fin 2011, il demanda conseil à son ami Jacob Tierney pour écrire un scénario avec ce point de départ. En 2019 sortira « Ma vie avec John F. Donovan », l’histoire d’un jeune acteur se remémorant ses correspondances avec une vedette de la télévision et mort dix ans plus tôt. Avant même que ne soit diffusée l’ultime saison de « Game of Thrones », Xavier Dolan offre le rôle de la vedette John F. Donovan au comédien Kit Harington. Celui-ci n’aura peut-être pas l’occasion de développer un simili talent à cause d’une histoire trop narrative où son personnage ne fait que gestualiser ce qui est dit. Il en est de même pour le jeune et admirable Jacob Tremblay qui nous a davantage marqué dans « Room » ou « Wonder ». C’est tout à fait l’inverse pour les femmes et ce n’est plus un secret, Xavier sait filmer ses actrices, surtout lorsqu’elles ont un rôle maternel. Natalie Portman apporte la sensibilité, Kathy Bates la détermination, Thandie Newton la douceur et Susan Sarandon la mélancolie. Soulignons la suppression au montage du personnage de Jessica Chastain. « Ma vie avec John F. Donovan » est donc un drame inégal qui s’épuise à reconstruire une fresque alors qu’il aurait été plus judicieux de le mener de façon chronologique. Ce dernier Dolan est néanmoins l’occasion pour nous de découvrir ses choix musicaux éclectiques et de conclure sur une belle référence au film « My Own Private Idaho » avec le défunt River Phoenix.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Roub E.
J’avais tout simplement détesté jusqu’à la fin du monde le précédent film de Xavier Dolan, c’est donc avec des réserves que je me suis lancé dans « ma vie avec John F Donovan ». Et pour le coup celui ci m’a emballé. Ce film semble à la fois plus ambitieux dans la variété de ses thèmes, dans sa mise en scène et en même temps plus sincère. On sent une part d’autobiographie dans les personnages de John et Rupert sans pour autant que le film ne passe pour du nombrilisme. C’est touchant et c’est brillant à la fois.
Enfin rattrapé #MaVieAvecJohnFDonovan
Si les thématiques profondes de Dolan sont toujours présentent, cette œuvre est sans doute sa moins artisanale et sa plus mécanique
Le film atteint vite ses limites narratives face à une durée excessive et Dolan finit par s'autoparodier
Si les thématiques profondes de Dolan sont toujours présentent, cette œuvre est sans doute sa moins artisanale et sa plus mécanique
Le film atteint vite ses limites narratives face à une durée excessive et Dolan finit par s'autoparodier
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