Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un sublime film-somme, à la fois intime et grandiose.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Complexification du fond et épure de la forme, "Ma vie avec John F. Donovan" marque un fascinant tournant dans la carrière de Xavier Dolan.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thomas Baurez
C'est sans doute l'oeuvre la plus ambitieuse de Dolan qui n'a rien perdu de sa faculté à faire vibrer les émotions de ses personnages.
20 Minutes
par Caroline Vié
Xavier Dolan frappe un grand coup avec Ma vie avec John F. Donovan (...). Le réalisateur québécois signe une œuvre bouleversante sur les mécanismes de Hollywood.
CNews
par La rédaction
En conservant ses plans stylisés, sublimés par une BO pop, le cinéaste livre une œuvre aux récits emboîtés qui fait écho à sa propre vie, quand, enfant, il se rêvait comédien et écrivait à son idole, Leonardo DiCaprio.
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
"The Death and Life of John F. Donovan" est un film plus délicat peut-être, mais comme tous les précédents, d'une sincérité désarmante, à travers ses obsessions et à travers sa forme. Un film qui dit les émois souvent informulables, par lesquels les personnages font l'expérience du monde, et sont, l'air de rien, la voix de ceux qui manquent.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Ce film touchant livre des vérités sur la gloire (et ses rançons), sur la bêtise ordinaire et sur les histoires intimes qui nourrissent une vie d'artiste.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Soignant le suspense, il impressionne par son habileté à conjuguer l’épique et l’intime, le réel et la fiction, à enchâsser dans une même intrigue deux destins sous pression.
Le Point
par V.G.
Une superbe mise en abyme de ce que le cinéma offre de pire et de meilleur.
Marie Claire
par Emily Barnett
Cet édifice temporel instable se révèle passionnant, même si le gamin, sorte de double dolanien, prend parfois trop la lumière au détriment de son modèle.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Son film le plus simple et le plus sincère. Un retour aux sources salutaire.
Première
par Thierry Chèze
Xavier Dolan revisite ses obsessions, témoigne d’un amour enragé du 7eart, et signe son oeuvre la plus audacieuse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Ma vie avec John F. Donovan se perd parfois dans une surenchère scénaristique qu’il ne maîtrise pas toujours mais réussit à toucher le spectateur. Par le jeu des comédiens, manifestement transportés par la direction de Dolan, mais aussi par la musique, utilisée à bon escient selon ses habitudes et qu’il a laissé entre les mains de Gabriel Yared.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[...] son œuvre la plus personnelle et, sans doute, la plus belle : une fresque romanesque et hyper séduisante, nourrie de ses obsessions (précocité, relation à la mère, amour impossible, difficulté d’être soi) et portée par des comédiens amoureusement filmés.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Un mélo bouleversant sur les affres de la célébrité.
Télérama
par Louis Guichard
POUR : Mais la vraie surprise consiste à retrouver, malgré le changement d’échelle, l’empreinte intacte du jeune auteur et toutes ses obsessions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudio Marchi
Xavier Dolan rempile avec bonheur sur les thèmes qui lui sont chers. Un film percutant, sensible et d’une grande densité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film cherche et atteint un beau feuilleté romanesque, construit avec virtuosité.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Ma vie avec John F. Donovan" n'est ni le grand film, ni le gros raté de Dolan. Mais c'est peut-être son essai le plus fragile et étrange, tiraillé entre des moments très beaux et des limites évidentes en terme d'écriture.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
C’est l’écriture qui pèche et le montage qui ne parvient pas à faire le lien. A vouloir trop en mettre, le cinéaste perd l’essentiel de son récit et le spectateur. Qui trop embrasse, mal étreint.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Les comédiens font le boulot (Natalie Portman, Susan Sarandon, Kit Harrington) mais Dolan ne semble pas très à l'aise avec ses histoires trop fabriquées, à la fois proches et loin de lui.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Or depuis deux films, le style du réalisateur de "Mommy" se fait plus littéral, voire sursignifiant. L'envie de toucher un public plus large ne doit pas y être étrangère. Toutefois, une vérité émerge, quelque chose de profond nous touche qui dépasse les complaisances mélodramatiques et les débordements lelouchiens.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Murielle Joudet
Au final, les circonvolutions narratives du récit s’épuisent à cacher son thème essentiel, une image lancinante, plus vraie que les autres et qui s’enroule dans la trame de tous ses films : celle des mères ordinaires et sublimes qu’incarnent Natalie Portman et Susan Sarandon. C’est sur ce registre presque infantile que Ma vie avec John F. Donovan révèle finalement ses charmes (...).
Sud Ouest
par Sophie Avon
Toutes ces souffrances, toutes ces peines, toute cette vulnérabilité transcendée sur un grand écran, où Dolan se projette depuis qu’il a commencé à tourner, nourrissent un hommage en forme de tumulte.
Voici
par A.V.
Le réalisateur de Momy poursuit ses obsessions en mode plus kitsch, bande-son pop envahissante, et saillies philosophiques souvent trop illustratives, mais reste un vrai cinéaste sincère et passionné.
La Croix
par Céline Rouden
Après dix ans d’une carrière fulgurante, le 7e film du canadien Xavier Dolan, réflexion au ton très personnel sur la célébrité, déçoit par un scénario et une construction trop alambiqués.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par David Ezan
En deux heures de film, les multiples personnages peinent à exister réellement : la faute sûrement à un récit épars qui aurait mérité qu’on s’y attarde une heure de plus, le cinéma de Dolan étant tout sauf ennuyeux.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’univers, et le talent, de Xavier Dolan sont donc bien là. Mais, est-ce parce que le film, son premier en langue anglaise, constitue sa première véritable aventure américaine qu’il se croit obligé de le plier à certaines conventions qui altèrent sa fougue créatrice ?
Le Figaro
par La Rédaction
Difficile de mettre en cause la sincérité de Dolan, qui part d'un matériau autobiographique - il a écrit des lettres à Leonardo DiCaprio, restées sans réponse, et a fait son coming out à l'adolescence. Mais qui trop embrasse mal étreint. Dolan charge la barque, fatigue à force de va-et-vient entre les époques et perd le fil.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
On a beau être fan des oeuvres du jeune prodige québécois, Xavier Dolan, on est déçu…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Autour de la correspondance entre un enfant et un acteur TV, Dolan tricote un petit film ample (petit par le souffle romanesque qui l’anime, ample par les couches narratives qu’il superpose) en forme d’autojustification.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron et Julien Gester
Mais le mystère ou les troubles supposés du récit ont vite fait de se désintégrer ici pour nous reparachuter en terrain dolanien bien balisé, avec ses réunions de familles névrotiques et ses relations torves de dépendance sentimentale des mères et des fils, ses grandes phrases définitives et ses bulles de clip au ralenti vouées à exprimer un lyrisme et une beauté que les personnages ont appris à taire ou à piétiner.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Engoncés dans une rétrospective m'as-tu-vu des moments de bravoure de sa filmographie, tous ses thèmes de prédilection se transforment pour la première fois en gimmicks artificiels, et finissent par donner au film des airs de répétitions filmées, où chacun des excellents acteurs semble ravi de "faire du Dolan" [...], sans que jamais n'affleure la sensation d'urgence et de sincérité totale à laquelle nous avait habitués le cinéaste.
Critikat.com
par Josué Morel
Reste que ce montage relève moins du rafistolage maladroit, là pour faire tenir ensemble des bouts de films exogènes et une galerie de personnages trop fournie, qu’il ne suit un tracé problématique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ma Vie avec John F. Donovan est le premier film raté de Xavier Dolan, mélo malheureux, pleurnichard, illustratif.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un soupçon de modestie et de simplicité n'aurait pas nui à ce film caricaturalement "dolanien".
Télérama
par Anne Dessuant
CONTRE : Le cinéma de Xavier Dolan a perdu son caractère artisanal et donc son âme. Tout est expliqué, révélé, surligné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Un sublime film-somme, à la fois intime et grandiose.
Les Inrockuptibles
Complexification du fond et épure de la forme, "Ma vie avec John F. Donovan" marque un fascinant tournant dans la carrière de Xavier Dolan.
Ouest France
C'est sans doute l'oeuvre la plus ambitieuse de Dolan qui n'a rien perdu de sa faculté à faire vibrer les émotions de ses personnages.
20 Minutes
Xavier Dolan frappe un grand coup avec Ma vie avec John F. Donovan (...). Le réalisateur québécois signe une œuvre bouleversante sur les mécanismes de Hollywood.
CNews
En conservant ses plans stylisés, sublimés par une BO pop, le cinéaste livre une œuvre aux récits emboîtés qui fait écho à sa propre vie, quand, enfant, il se rêvait comédien et écrivait à son idole, Leonardo DiCaprio.
Culturopoing.com
"The Death and Life of John F. Donovan" est un film plus délicat peut-être, mais comme tous les précédents, d'une sincérité désarmante, à travers ses obsessions et à travers sa forme. Un film qui dit les émois souvent informulables, par lesquels les personnages font l'expérience du monde, et sont, l'air de rien, la voix de ceux qui manquent.
Femme Actuelle
Ce film touchant livre des vérités sur la gloire (et ses rançons), sur la bêtise ordinaire et sur les histoires intimes qui nourrissent une vie d'artiste.
Le Journal du Dimanche
Soignant le suspense, il impressionne par son habileté à conjuguer l’épique et l’intime, le réel et la fiction, à enchâsser dans une même intrigue deux destins sous pression.
Le Point
Une superbe mise en abyme de ce que le cinéma offre de pire et de meilleur.
Marie Claire
Cet édifice temporel instable se révèle passionnant, même si le gamin, sorte de double dolanien, prend parfois trop la lumière au détriment de son modèle.
Paris Match
Son film le plus simple et le plus sincère. Un retour aux sources salutaire.
Première
Xavier Dolan revisite ses obsessions, témoigne d’un amour enragé du 7eart, et signe son oeuvre la plus audacieuse.
Rolling Stone
Ma vie avec John F. Donovan se perd parfois dans une surenchère scénaristique qu’il ne maîtrise pas toujours mais réussit à toucher le spectateur. Par le jeu des comédiens, manifestement transportés par la direction de Dolan, mais aussi par la musique, utilisée à bon escient selon ses habitudes et qu’il a laissé entre les mains de Gabriel Yared.
Télé 7 Jours
[...] son œuvre la plus personnelle et, sans doute, la plus belle : une fresque romanesque et hyper séduisante, nourrie de ses obsessions (précocité, relation à la mère, amour impossible, difficulté d’être soi) et portée par des comédiens amoureusement filmés.
Télé Loisirs
Un mélo bouleversant sur les affres de la célébrité.
Télérama
POUR : Mais la vraie surprise consiste à retrouver, malgré le changement d’échelle, l’empreinte intacte du jeune auteur et toutes ses obsessions.
aVoir-aLire.com
Xavier Dolan rempile avec bonheur sur les thèmes qui lui sont chers. Un film percutant, sensible et d’une grande densité.
Cahiers du Cinéma
Le film cherche et atteint un beau feuilleté romanesque, construit avec virtuosité.
Ecran Large
"Ma vie avec John F. Donovan" n'est ni le grand film, ni le gros raté de Dolan. Mais c'est peut-être son essai le plus fragile et étrange, tiraillé entre des moments très beaux et des limites évidentes en terme d'écriture.
Franceinfo Culture
C’est l’écriture qui pèche et le montage qui ne parvient pas à faire le lien. A vouloir trop en mettre, le cinéaste perd l’essentiel de son récit et le spectateur. Qui trop embrasse, mal étreint.
L'Express
Les comédiens font le boulot (Natalie Portman, Susan Sarandon, Kit Harrington) mais Dolan ne semble pas très à l'aise avec ses histoires trop fabriquées, à la fois proches et loin de lui.
L'Obs
Or depuis deux films, le style du réalisateur de "Mommy" se fait plus littéral, voire sursignifiant. L'envie de toucher un public plus large ne doit pas y être étrangère. Toutefois, une vérité émerge, quelque chose de profond nous touche qui dépasse les complaisances mélodramatiques et les débordements lelouchiens.
Le Monde
Au final, les circonvolutions narratives du récit s’épuisent à cacher son thème essentiel, une image lancinante, plus vraie que les autres et qui s’enroule dans la trame de tous ses films : celle des mères ordinaires et sublimes qu’incarnent Natalie Portman et Susan Sarandon. C’est sur ce registre presque infantile que Ma vie avec John F. Donovan révèle finalement ses charmes (...).
Sud Ouest
Toutes ces souffrances, toutes ces peines, toute cette vulnérabilité transcendée sur un grand écran, où Dolan se projette depuis qu’il a commencé à tourner, nourrissent un hommage en forme de tumulte.
Voici
Le réalisateur de Momy poursuit ses obsessions en mode plus kitsch, bande-son pop envahissante, et saillies philosophiques souvent trop illustratives, mais reste un vrai cinéaste sincère et passionné.
La Croix
Après dix ans d’une carrière fulgurante, le 7e film du canadien Xavier Dolan, réflexion au ton très personnel sur la célébrité, déçoit par un scénario et une construction trop alambiqués.
La Septième Obsession
En deux heures de film, les multiples personnages peinent à exister réellement : la faute sûrement à un récit épars qui aurait mérité qu’on s’y attarde une heure de plus, le cinéma de Dolan étant tout sauf ennuyeux.
Le Dauphiné Libéré
L’univers, et le talent, de Xavier Dolan sont donc bien là. Mais, est-ce parce que le film, son premier en langue anglaise, constitue sa première véritable aventure américaine qu’il se croit obligé de le plier à certaines conventions qui altèrent sa fougue créatrice ?
Le Figaro
Difficile de mettre en cause la sincérité de Dolan, qui part d'un matériau autobiographique - il a écrit des lettres à Leonardo DiCaprio, restées sans réponse, et a fait son coming out à l'adolescence. Mais qui trop embrasse mal étreint. Dolan charge la barque, fatigue à force de va-et-vient entre les époques et perd le fil.
Le Parisien
On a beau être fan des oeuvres du jeune prodige québécois, Xavier Dolan, on est déçu…
Les Fiches du Cinéma
Autour de la correspondance entre un enfant et un acteur TV, Dolan tricote un petit film ample (petit par le souffle romanesque qui l’anime, ample par les couches narratives qu’il superpose) en forme d’autojustification.
Libération
Mais le mystère ou les troubles supposés du récit ont vite fait de se désintégrer ici pour nous reparachuter en terrain dolanien bien balisé, avec ses réunions de familles névrotiques et ses relations torves de dépendance sentimentale des mères et des fils, ses grandes phrases définitives et ses bulles de clip au ralenti vouées à exprimer un lyrisme et une beauté que les personnages ont appris à taire ou à piétiner.
Positif
Engoncés dans une rétrospective m'as-tu-vu des moments de bravoure de sa filmographie, tous ses thèmes de prédilection se transforment pour la première fois en gimmicks artificiels, et finissent par donner au film des airs de répétitions filmées, où chacun des excellents acteurs semble ravi de "faire du Dolan" [...], sans que jamais n'affleure la sensation d'urgence et de sincérité totale à laquelle nous avait habitués le cinéaste.
Critikat.com
Reste que ce montage relève moins du rafistolage maladroit, là pour faire tenir ensemble des bouts de films exogènes et une galerie de personnages trop fournie, qu’il ne suit un tracé problématique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ma Vie avec John F. Donovan est le premier film raté de Xavier Dolan, mélo malheureux, pleurnichard, illustratif.
Marianne
Un soupçon de modestie et de simplicité n'aurait pas nui à ce film caricaturalement "dolanien".
Télérama
CONTRE : Le cinéma de Xavier Dolan a perdu son caractère artisanal et donc son âme. Tout est expliqué, révélé, surligné.