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    Green Room
    Note moyenne
    3,1
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    178 critiques spectateurs

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    moket
    moket

    528 abonnés 4 333 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mai 2017
    Un survival sauvage et sanglant dans une ambiance glauque, pesante et anxiogène. La mise en scène est brillante, l'interprétation très intense et le film à déconseiller aux âmes sensibles. La tension monte progressivement pour finir en apothéose avec un jeu de massacre particulièrement jouissif.
    Roub E.
    Roub E.

    957 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2017
    J'avais adoré le précédent film de Jeremy Saulnier: Blue Ruin une petite merveille de film de vengeance bien fichu et assez profond. C'est un peu moins le cas de Green Room, toujours aussi bien fichu, peut être encore mieux maîtrisé mais moins intéressant quand à ses enjeux. J'aime le côté crédible qu'à ce film (comme le précédent d'ailleurs) sur les réactions des personnages placés dans des situations qui sortent de l'ordinaire. Ses acteurs sont convaincants avec notamment un Patrick Stewart glaçant bien loin de son rôle de professeur Xavier qui a occupé pas mal sa filmo. J'aime bien le rapport qu'a Saulnier à la violence, elle n'est jamais gratuite, ni fun et pourtant il s'en dégage une sorte de fascination et une réelle mise en scène autour, elle n'est jamais balancée pour faire cool et à chaque fois elle s'en trouve être marquante. Ceci est un signe évident qu'on est face à un excellent metteur en scène à suivre et que Green Room s'il n'est pas un chef d'œuvre instantané du genre s'avère être un film qui s'invite dans le haut du panier.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    203 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2017
    Il faut convenir que le réalisateur a su nous tenir en haleine du début à la fin. Néanmoins ce survival n'est guère original. Il fait appel à des recettes classiques et manque de subtilité. De plus les caractères des différents personnages ne ressortent guère. On a les méchants skins néonazis d'un côté, les gentis rockers punk de l'autre. Seul le très mauvais gourou des skins fascistes sort un peu du lot dans la mesure où il est interprété par un excellent comédien. On oublie donc assez vite ce divertissement qui tire parfois sur le gore.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 mai 2017
    Film honteux, n'a aucun sens mais vraiment aucun, on comprend vaguement mais très vaguement le scénario et la fin qui n'a ni queux ni tête. Comme quoi ce fier à la note global d'un film qui est plutot pas mal sur alocine est une erreur total quant on voit ce navet qui à eu l'audace d'être nominé au oscar, quelle honte!!!!! Film à fuir si vous ne voulez pas perdre 1h30 de votre vie .
    Kana57
    Kana57

    39 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 avril 2017
    Film a dormir debout,un groupe de rock retenue en otage dans une pièce par des skinheads,sa manque d'inspirations et d'idées un survival complétement raté
    Nosliw G
    Nosliw G

    3 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2018
    Un survival horror tiré par les cheveux. Une réalisation raté avec une intrigue sans intérêt et des personnages pas du tout captivant.
    jthuil
    jthuil

    13 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2017
    Un thriller long, aux dialogues inutilement alambiqués, et franchement pas intéressant de la part du réalisateur de l'excellent "Blue Ruin".
    Shiwamada
    Shiwamada

    40 abonnés 556 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mars 2017
    J'en ai vu des films d'une violence crue, mais clairement avec "Green Room" je ne l'avais pas vu venir. Le film montre une bande de jeunes membres d'un groupe de hard-rock qui se retrouve témoin d'un "meurtre" au sein du club dans lequel ils sont venus joués. Et évidemment, les gens qui fréquentent l'établissement ne sont pas des enfants de coeurs, mais plutôt des punks à chiens extrêmistes, prêts à tout pour éviter de voir la police débarquer, au point d'enfermer ces jeunes pour ne les faire sortir qu'entre quatre planches.
    C'est à partir de la première scène où Anton Yelchin est attaqué que l'on comprend vraiment devant quel type de film on est et l'expérience est franchement difficile. Aucune scène choquante ne nous est épargnée, aucun des personnages ne semble avoir une once d'humanité restante. Le terme de "survival" est plus qu'approprié et la personne avec qui j'étais n'a pas tenu jusqu'au bout.
    "Green Room" n'est pas facile à appréhender, et si la présence du regretté et brillant Anton Yelchin fait malgré tout plaisir (Imogen Poots est très bien aussi et que dire d'un Patrick Stewart terrifiant), c'est un film à ne pas mettre devant tous les yeux et pour lequel vous ne reviendrez surement pas.
    nestor13
    nestor13

    57 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2017
    Beaucoup de suspense dans ce film d'horreur à la trame classique mais mené de main de maître. On assiste en effet à une aventure haletante dont l'intensité, après un début qui peut sembler quelconque, ne se dément pas jusqu'à la fin. Dans le genre, une très jolie réussite.
    iceman7582
    iceman7582

    49 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2017
    Ça commence comme un banal road movie, puis ça tourne vite au "survival" ! Quelle claque ! Quand soudain on fini par se faire aspirer dans un univers punk à l'atmosphère ultra anxiogène ! Le film vire au huis clos ponctué par le réalisme impitoyable de certaines scènes choc et brutales qui font corps avec une BO qui décape ! Ce terrifiant jeu de massacre haletant nous confirme bien que le cinéma indépendant n'a pas fini de nous étonner ! Âmes sensibles s'abstenir. Les amateurs du genre seront comblé.
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2017
    "Green Room" est un survival tout ce qu'il y a de plus basique et dont l'intrigue pourrait être résumée en une ligne. S'il est classique, il n'en demeure pas moins efficace notamment grâce à une mise en scène solide (plutôt rare pour ce genre de série B) et cette petite tension qui s'installe rapidement... avant de s'essouffler dans le dernier quart. Violent comme il faut, "Green Room" est, à l'image de "Blue Ruin", le précédent long métrage de Jeremy Saladier, simple mais divertissant.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 184 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2017
    En 2013, Jeremy Saulnier, jeune réalisateur venu du métier de chef opérateur s'impose dans le monde des cinéastes indépendants avec "Blue Ruin" qui remettait au goût du jour le revenge movie en le délivrant de la connotation fascisante qui pesait sur le genre depuis la longue série initiée par Michael Winner et Charles Bronson en 1974 avec "Un justicier dans la ville" et prolongée ad nauseam par le laborieux Jack Lee Thompson qui avait pris le relai. "Blue Ruin" comme l'indique le bleu délavé de la voiture épave du héros suggèrait le prisme à travers lequel Saulnier entend regarder les personnages de ses films. Celui de l'Amérique des déclassés qui ont été abandonnés depuis des décennies par les politiques de tous bords. Son nouveau film aux tons cette fois vert bouteille, emprunte les mêmes chemins de traverse en proposant le huis clos sanglant vécu par un groupe punk embarqué dans la galère des contrats foireux qui a eu la mauvaise idée d'accepter un concert dans le repaire d'une bande de skinheads situé dans une forêt perdue de l'Oregon . Comprenant très vite dans quelle atmosphère viciée ils se sont imprudemment infiltrés, les membres du groupe ne pensent qu'à filer à la fin de leur set qui n'a pas eu l'air de plaire à tous les crânes rasés avinés présents, filmés au ralenti par Saulnier lors d'un pogo endiablé, présage inquiétant de la tension qui monte. Malheureusement, un des membres est témoin d'un meurtre se déroulant dans les coulisses crasseuses de ce hangar qui va devenir rapidement le théâtre de leur malheur. On pense bien sûr à des films comme "Assaut" de John Carpenter (1977) pour le huis clos ou encore "Les chiens de paille de Sam Peckinpah" (1971) pour le déchainement de violence d'un homme ordinaire, mais aussi à "Délivrance " de John Boorman (1972) ou "Sans retour" de Walter Hill (1981) pour la dimension rurale. Saulnier ne mise pas sur le registre de l'innovation à tout prix mais plutôt sur celui de la synthèse astucieuse alliée à une parfaite maitrise des effets propres à maintenir le spectateur en état de tension. Ayant lui-même appartenu à un groupe punk dans sa jeunesse, Jeremy Saulnier dresse le constat que ce mouvement nihiliste éphémère, né dans les années 70 et devenu vintage pour quelques adolescents en quête de modèles musicaux, a été récupéré par les mouvements néo-nazis qui n'en n'ont conservé que la violence sonore. On notera la présence de Patrick Stewart glaçant en gourou de la bande de nazillons aux ordres, du regretté Anton Yelchin trop tôt disparu peu après la sortie du film et de la très convaincante Imogen Poots. Une nouvelle réussite donc pour Jeremy Saulnier qui trace sa route, guidé par les grandes références du cinéma de genre américain. Pour le moment ses pas sont plutôt assurés et sa boussole semble devoir le mener vers l'affirmation d'un style propre. A suivre de très près.
    apotheme
    apotheme

    117 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 janvier 2017
    Un thriller se passant quasi à huis-clos et qui reste de part son scénario assez fade.
    Dommage que l'action ne soit pas plus variée.
    bibtar
    bibtar

    31 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2021
    Un "survival" largement au dessus de ce que peut proposer habituellement ce genre de film, évitant la plupart des pièges auxquels les studios hollywoodiens ont tendance à tomber quand il s'agit de mettre en scène une bande de jeune dans un contexte violent, allant de la niaiserie insupportable aux personnages sans profondeurs, et même si les codes du genre sont bien présents, ceux ci sont exploités de manière plus qu'intéressante et surtout dans une ambiance efficace. En effet, quand il s'agit d'illustrer tant l'angoisse que l'atmosphère très particulière qui se rattache aux univers des différents protagonistes, le réalisateur apporte sa patte très personnelle, mélange entre esthétique et contemplation qui se ressent surtout à l'image lors de séquences assez étendues qui utilise les décors comme véritable protagoniste, par l'importance que peuvent prendre les paysages que ça soit au niveau de l'intrigue qu'à celui de la tension, de plus cette capacité à transcender l'ambiance du film simplement à l'aide de la caméra, choSe que l'on retrouve également dans son précédent film, offre une façon de regarder et vivre ce genre de film d'une toute autre façon, pas seulement dans les hurlements et le sang, car le contexte et l'atmosphère assez pesantes du film, à l'image tant que dans le sujet, permet clairement une immersion intensive et angoissante dans un monde très glauque, aux lumières crasseuses ou tout simplement par des passages de silence accompagné d'un plan large, afin d'accroître le sentiment de profondeur, il est évident que la qualité de la technique cinématographique est totalement au rendez-vous, et permet de voir sous un angle bien plus intéressant ce genre de film. Pourtant, la structure du film qui tend premièrement à exploiter l'univers des deux groupes de protagoniste pour ensuite à passer quelque chose de plus rentre dedans, n'est pas forcément évidente aux premiers instants si l'on ne sait rien de ce film, pourtant rien que l'atmosphère générale laisse présager une angoisse croissante, mais le suspense et la surprise fonctionne à merveille, laissant présager peu de chose ou tout simplement par une détonation ou une présence inattendue, le réalisateur parvient à faire bondir de son siège par une séquence pour ensuite faire dresser les cheveux sur la tête par la violence assez exacerbée dont l'intrigue prend le virage, et cela de manière assez inattendue et qui ne fait pas dans la dentelle et encore moi dans la série B, car la qualité des passages d'effroi et de barbaries sont non seulement parfaitement mis en scène, déroutant tant par les actes que leurs motivations, mais surtout ils sont totalement dans le style et l'ambiance du film, n'allant pas chercher des effets de massacres totalement absurdes ou pas adaptés, au contraire on sent cette volonté du réalisateur de mettre l'horreur au service du style de ce film, et bien sûr dans une expression assez esthétique de la violence, rappelant évidemment le goût pour ce genre d'image du grand Q. Tarantino, et quand on voit le résultat dans son ensemble, cela fonctionne sans souci et surtout sans se dire que certaines choses sont exagérées, tout semble prévus et orchestrés et bien sur dans l'intrigue on retrouve totalement la présence très pesante de cette atmosphère si particulière. Déjà dès les premiers instants, on ressent bien cette volonté de poser un cadre très marqué afin d'y développer au mieux l'histoire racontée, totalement en harmonie avec ce qui se joue à l'écran, et encore plus un fois que le fil conducteur se met en place, et bien que l'ambiance été travaillée pour faire monter la tension crescendo, on en est pas moins surpris lorsque la situation change de ton, tout en conservant du début à la fin une mise en scène très soignée, une photographie pensée dans chaque détail et bien sûr la musique qui met encore plus en relief l'aspect stressant du film, ainsi de cette manière le scénario prend une tournure et un sens bien barré tant par ce qui est raconté que ce qui est montré, de nombreux passages font effet de façon incroyable, d'autant plus que tout le contexte est réfléchi, pas un simple étalage de violence démesurée, le but étant clairement de donner du sens et de la crédibilité à cette histoire, et quand on pense à son précédent film "Blue Ruin" qui proposait le même type d'approche mais plus dans le genre du "revenge movie", à la fois contemplatif, réaliste et plein de sens sauf que la grande différence ici réside évidement dans le rythme général bien plus puissant et cadencé sans non plus tomber dans le déroulement d'action sans cesse, on se retrouve bien plus facilement emporté devant ce à quoi on assiste par cette façon de jouer au yoyo avec l'attention et le stress, n'hésitant à être très cru mais toujours au bon moment créant surprise et étonnement à l'égard de nombreuses scènes, ainsi qu'un certain intérêt pour l'aspect sociologique qui est mis en lumière par le contexte de l'intrigue, chose bien développée sans trop tomber dans la dénonciation exacerbée. En rajoutant à cela une palette de personnage bien diversifiée, totalement stéréotypée vis à vis de leur appartenance sociale afin d'accroître le sentiment d'immersion et la crédibilité de ce qui est raconté, pourtant la majorité d'entre eux non que très peu d'expérience d'acteur et malgré tout on sent bien que l'on dépasse les simples adolescents prédestinés à la mort, plein de cris et de pleurs de terreur dans leur propos, bien au contraire non seulement leur destin n'est pas évident à établir et d'autant plus surprenant dans le traitement de ces scènes la, ne jouant pas du suspense inutile et tout ces genres d'artifices souvent bien lourds, mais surtout il donne une valeur supplémentaire à l'ensemble de l'intrigue et il est indéniable par contre que c'est clairement P. Stewart qui représente le mieux ces concepts, tant par le flegme et le calme qu'il incarne malgré son rôle et le déroulement des événements, tant par le personnage qu'il joue et sa manière d'agir face à la menace, tout étant encore une fois parfaitement calculé et expliqué sans superflu ou exagération, ainsi il offre une prestation de haut vol et bien que le protagoniste soit déjà incroyable sur le papier, sa place dans l'intrigue et ce que renvoi P. Stewart dans ce rôle en font une dès clés de voûte de la réussite de cette histoire. Ainsi J. Saulnier prouve sa capacité à traité des genres bien particuliers et surtout très souvent fait sans grande qualité scenaristique ou cinématographie, de façon très personnelle, ou images et plans sont au service du scénario et offre des alternatives à ce dont on est habitué à voir quand il s'agit de s'aventurer sur des terrains éprouvés depuis bien longtemps et sans évolutions notables, ce film la étant suffisamment puissant pour rendre cela encore plus évident, et non seulement on arrive à trouver de l'intérêt autant dans l'intrigue que dans l'image ou les scènes de violence, tout y est au diapason et même si le rythme peu paraître assez inégale et la conclusion simpliste, on en reste pas moins totalement pris au jeu, mais surtout on est surpris autant par l'histoire et son traitement que par la qualité technique et l'ambiance mise en place, ainsi difficile de ne pas être happé malgré soi dans cet univers trash, gore et cinglé à souhait, cela se ressentant à tout les niveaux du film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 janvier 2017
    Un navet comme on en fait peu. Il y a bien longtemps que je n'avais pas vu un aussi mauvais film ! La musique est mauvaise, le scénario est vide, le cadrage est atroce...
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