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    Green Room
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    3,1
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    178 critiques spectateurs

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    tifdel13
    tifdel13

    87 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2016
    Après Blue Ruin, Green Room. Jeremy Saulnier change de couleur et d’atmosphère mais pas de registre. Dans son nouveau film, pas de vengeance personnelle mais un groupe de punk-rock pris au piège dans une loge d’un bar néo-nazi.
    Green Room tient surtout du genre « survival » ultra-violent, comme Délivrance ou Mad Max 2. Deux oeuvres dont Saulnier ne renie pas l’influence. Les méchants du film (menés par un Patrick Stewart, froid et terrifiant) ne tuent par simple plaisir – même si ça ne les dérange pas – ils le font surtout pour se débarrasser de témoins indésirables sans encombrer de scrupules. C’est leur façon de s’y prendre qui relève du sordide. La violence est...

    Venez découvrir la suite de ma critique dans son intégralité sur mon site ScreenReview !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 septembre 2016
    Pas très prenant en fait, quelques scènes intéressantes cependant... Les personnages ne sont pas assez développés pour qu'on accroche. Un film à regarder pour passer le temps
    BeatJunky
    BeatJunky

    151 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2016
    Pas la peine d'en faire une longue analyse, le film est juste bien trippant ! Dans le genre huis clos à l'ambiance stressante et oppressante, c'est le top! L'histoire n'est pas des plus originales mais Saulnier (Blue Ruin) arrive malgré tout à nous pondre un film dont on ne devine pas l'issue dès les premières minutes comme c'est très souvent le cas dans ce genre de films... Et c'est justement ce qui fait tout la force du film qui vous scotche au siège en vous demandant comment vont réagir chacun des personnages aussi bien d'un côté que de l'autre... Tout s'enchaîne très vite, impossible de s'ennuyer d'autant plus que le film est court ! Un vrai bonheur de constater qu'on peut encore être surpris et se taper de bons films dans le genre! Après Blue Ruin et maintenant "Green Room", reste plus qu'à espérer que Saulnier continue de nous pondre des pépites pareilles! ! J'en reprendrais bien tous les jours des comme ça !
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    633 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2016
    J'avais déjà vu "Green Room" à Cannes lors de la Quinzaine des réalisateurs avec l'équipe du film il y a un an et je constate qu'il y a beaucoup d'éléments que je n'avais pas saisi. Là, en le revoyant un an après dans une salle quasi vide, loin de tout le gratin cannois qui rigole aux éclats à chaque "vanne" (c'est loin d'être un film comique pourtant !), j'avoue avoir nettement plus apprécié le film que j'avais trouvé banal à ma première visualisation. "Green Room" est un slasher peu ordinaire qui met en scène un jeune groupe de musique punk qui, lors d'un concert au fin fond d'un coin pommé dans une boite rempli de skinhead violents, assistent par accident à un meurtre en coulisse. Mais malheureusement, le patron du club (Patrick Stewart) ne compte laisser aucun témoins pouvant leur causer des problèmes. Bien que le début a du mal à démarrer, on remarque néanmoins une réelle signature au niveau de l'image ; les plans sont rapides et propres, et ne laissent en aucun cas présager ce qui s'ensuit, mêlant le road trip avec humour et musique punk. Puis, c'est le début de la descente aux enfers pour le groupe et on se demande quel sera le point de départ de toute cette boucherie que laisse entrevoir la bande-annonce. Toute va très vite, une sorte d'effet boule de neige infernal très efficace qui nous emporte dans ce survival improbable, et l'ayant vu deux fois, l'effet reste saisissant, même si certains éléments restent pour moi un mystère. En effet, le film se constitue comme un puzzle car rien n'est dit explicitement sur le contexte du meurtre (ou sinon par parole rapportée) ni sur la réelle identité des "skinhead". spoiler: Sont-il des nazis au vue des réactions violentes lors la chanson "Nazi, fuck off" ? Quelle est la réelle signification de la communauté des "Lacets rouge" ? A un moment, Patrick Stewart en donne à l'un de ses sbires...
    La violence est l'un des thèmes du film. Comment des innocents pris au piège répondent à une violence étrangère ? Qu'est-ce qu'ils sont prêts à faire pour sauver leur peau ? Quelles valeurs défendent ces skinheads ? C'est effrayant de voir cette alternative de représentation. Après tout, comme le dit l'un des personnages, spoiler: "c'est comme une grande partie de paint-ball, c'est violent mais on fait semblant"
    . Les jeunes acteurs sont tous très convaincants et Patrick Stewart est glaçant dans ce rôle très mielleux à premier abord mais totalement fêlé et prêt à tout pour arriver à ses fins. Ce qui apporte de l’intérêt à ce film, en plus du fait qu'il soit bien réalisé, c'est que c'est pas de l'horreur et de la violence gratuite. C'est de la violence qui répond à une attaque soudaine et extérieure. Par contre, c'est dommage que la fin soit si bâclée que ça...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 avril 2016
    Green Room (2015

    Les membres d’un groupe de rock punk se retrouvent malgré eux témoin d’un meurtre, et devront survivre aux agressions d’une communauté de Skinhead.

    Le groupe méconnu The Ain't Rights décide en dernier recours d’aller jouer dans un club paumé d’une région reculée de l’Oregon. Ils ne s’attendaient cependant pas à se retrouver au milieu d’une bande d’extrémistes. La situation bascule lorsque le groupe découvre un meurtre dans les loges. spoiler: Essayant d’appeler la police, ils seront obligés de s’enfermer, alors que Darcy, le propriétaire, arrivera et essayera de régler la situation… par tous les moyens. Bien que le groupe cherche à prendre contact avec la police, afin de faire la lumière et la justice sur le crime, Darcy ne cherche qu’à couvrir la situation, quitte à se débarrasser de ces gêneurs.


    L’élément déclencheur arrive rapidement et sans mise en garde permettant à l’histoire de se lancer immédiatement. La tension est construite instantanément, et grâce à la mise en place préalable des risques et des comportements des personnages, nous ressentons très vite les risques et les enjeux de cette situations tendues et dangereuses. Les penchants extrémistes de Darcy couplé à l’environnement social instable permet au film de dégager un sentiment de dure réalité, qui fait que chaque acte ou action violente résonnait encore plus fort que des litres d’hémoglobines dans un simple film de zombie ou d’un bête film d’action grand public. Chaque coupure, chaque tire, de par le coté prenant et par le très petit nombre d’arme et de munition, a un impact et des répercussions importante et marquante. La narration appuis progressivement, et au fur et à mesure, la situation semble sans issue pour les protagonistes. C’est direct et ne propose pas beaucoup, avec quelques légers retournements.
    Les éléments d’intrigue sont également livrés au fur et à mesure, mais certains moments trop longs et trop calmes casse réellement le rythme. J’avais envie de dire « je m’en fous ! Qu’on passe à la suite ! ».

    Le cadrage est rapproché, ce qui donne constamment un sentiment d’oppression car on ne voit pas ce qu’il se passe hors du champ, et on est plus proche des situations, des peurs, des angoisses, de la tension des personnages. L’éclairage utilise beaucoup de contraste, ce qui rend ce club malfamé encore plus angoissant.

    Anton Yelchin est bon dans son rôle. Il donne à son personnage Pat les émotions lorsqu’il est confronté à des peurs, lorsqu’il essaye tant bien que mal que de garder le courage ou bien lorsqu’il souffre le martyr.
    Imogen Poots incarne Amber, un autre témoin de la scène, mais au caractère vengeur et à la limite de la cruauté. Elle saura nous surprendre aussi bien par son bon sens, que par ses actions.
    Patrick Stewart était Darcy. J’ai trouvé très agréable que de le voir jouer ce rôle paternelle vis-à-vis de sa communauté, avec des paroles plein de (fausse) chaleurs, mais en étant également calculateur et un manipulateur suave.

    Un thriller sympathique, jouant principalement sur l’ambiance et la tension.
    7,5/10
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    208 abonnés 2 855 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2016
    Reconnaissons, depuis Blue Ruin, le nom de Saulnier porte l'intérêt. Comme un James Wan ou un Alexandre Aja. On suit de très prêt la sortie du prochain, sauf que Green Room se devait de confirmer. La patte est bien présente. Tout en retenue et en réflexion, l'hyper- réalisme dicte l'évolution. Des disparitions en grandes enjambées tonitruantes, on savoure l'exécution surprenante de ce survival. Vivement la suite.
    Sblurch J.
    Sblurch J.

    2 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 avril 2016
    Ce qu'il y a de bien avec Green room... Non, je reformule : ce qu'il y a de GENIAL avec Green Room, c'est qu'on a non seulement un thriller qui va à 100 à l'heure, avec de l'action, du suspens, et de l'adrénaline, mais aussi un vrai film de metteur en scène où l'on retrouve tout le talent de Jeremy Saulnier. Après Blue Ruin, ce jeune réalisateur confirme qu'il a une manière de montrer la violence qui est assez unique dans le cinéma d'aujourd'hui, même si elle est imprégnée de cinéastes comme Carpenter ou Peckinpah. Pour une fois, voilà un survival sans personnages stupides qui prennent des décisions foireuses les faisant automatiquement se retrouver à la merci de leurs agresseurs. Non, ici les personnages s'efforcent tant bien que mal de prendre des décisions rationnelles dans un climat de violence extrême. Et c'est cet hyper-réalisme qui crée un état de tension intense chez le spectateur... Chaque situation est l'occasion de se mettre à la place des personnages, et de se demander ce qu'on aurait fait à leur place. Préparez-vous à passer 1H30 accrochés à votre siège. Et à prendre un gros coup de poing dans l'estomac.
    Blog Be French
    Blog Be French

    39 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2016
    Jeremy Saulnier avait su se faire remarquer en 2013 avec Blue Ruin et apporte à Deauville avec lui Green Room, thriller ultra-violent mêlant Punk-rock et idéaux nazis au pays des skinheads. Si le film ne ressort pas comme une véritable claque cinématographique, Saulnier a au moins le mérite de proposer un presque huis-clos sous tension, utilisant les codes du slasher et usant d'un humour grinçant. Pas vraiment effrayant mais pas loin d'être dérangeant...
    Mondocine
    Mondocine

    75 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2015
    Un groupe de punk-rockers aux prises avec des skinheads ploucs et violents, Jeremy Saulnier filme et se régale dans une série B furieuse et sans concessions, à laquelle on reprochera juste les mêmes manquements d'écriture qu'à Blue Ruin.

    La critique complète sur Mondociné
    Dimitri F
    Dimitri F

    10 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2015
    Vu à Deauville 2015.
    Casting impeccable avec en tête une Imogen Poots toujours aussi sexy.
    Une réalisation dense, aux scènes chocs et un humour noir omniprésent.
    Un très bon moment.
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    62 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 septembre 2015
    Il était étonnant de découvrir que le Festival du Film Américain de Deauville 2015 avait sélectionné un film d’horreur pour sa compétition officielle. Si de primes abords, la thématique ne semble pas si effroyable que cela, détrompez-vous car « Green Room » recèle quelques scènes trash mémorables et de nombreuses situations stressantes qui feront battre le cœur de tous ses spectateurs.

    Tout d’abord parce que l’atmosphère est pesante. Les lumières, le lieu, les musiques et les bruitages utilisés nous immergent dans un huit clos hyper angoissant vécu par nos héros. La pression psychologique est intense et les intentions du groupe de néo-nazis on ne peut plus claire… On sait que tous nos protagonistes sont exposés à une morte certaine mais on souhaite de tout cœur les voir survivre à une situation qu’ils étaient bien loin d’imaginer.

    Ensuite, parce que le casting porte à bras le corps une intrigue alarmante avec un talent incommensurable. Certains sont d’ailleurs des habitués des comédies romantiques et présentent ici une nouvelle facette de leur potentiel dramatique : Anton Yelchin ou Alia Shawkat en sont deux beaux exemples. D’autres assumeront complètement le rôle qu’on leur a confié: tantôt victime, tantôt traqueur, ils jongleront avec les émotions avec beaucoup de conviction : Callum Turner, Mark Webber, Joe Cole, Imogen Poots, Macon Blair ne sont que quelques-uns de ces brillants acteurs aux côtés desquels nous prendrons place durant plus d’une heure trente… En effet, le réalisateur a eu l’intelligence de filmer les scènes de telle façon qu’on ne peut qu’être impliqué dans l’histoire qui défile sous nos yeux.

    Autre belle surprise du film, le jeu hallucinant de Patrick Stewart (« Star Trek », Professeur Xavier dans « X-Men ») qui nous glace le sang par ses intentions malsaines et sa froideur. Il n’y a pas à dire, nous ne le verrons plus jamais de la même façon ! Quel acteur ! Entouré lui aussi de comédiens les plus flippants les uns que les autres, il saura mettre un place un jeu du chat et de la souris prenant et oppressant.

    Jeremy Saulnier signe ici un troisième long métrage intense. Certes dérangeant, le film offre une expérience cinématographique inédite. Même si le sujet abordé est loin de faire l’unanimité, il faut admettre que la réalisation est impeccable et qu’hormis le sujet traité, nous n’avons pas grand-chose à reprocher à « Green Room ». Espérons qu’il sera distribué chez nous pour permettre aux amateurs du genre d’assouvir leur intérêt et d’entrer dans l’univers préoccupant du jeune réalisateur américain.
    Alice025
    Alice025

    1 671 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 septembre 2015
    Après Blue Ruin, un film que je n'ai pas aimé, Jeremy Saulnier m'a épaté pour son nouveau long-métrage avec notamment en tête d'affiche Patrick Stewart. Un groupe de jeune punk rock se fait séquestrer par des skinheads car ils ont vu un cadavre. La quête de la survie commence... Assez violent (- de 16 ans), l'histoire nous tient en haleine du début à la fin, vont-ils s'en sortir ? Qui va mourir ? Que va t-il se passer s'ils sortent de la pièce ?
    J'ai d'autant plus aimé que ce genre de film sort du lot face aux films de compétitions, qui sont principalement des drames. J'espère qu'il sortira au cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 septembre 2015
    Un bon film bien gore , bien jouer, bien réaliser, a voir !!!
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