Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
GQ
par Toma Clarac
Thriller horrifique rythmé par une BO punk-hardcore au poil, "Green Room", de Jeremy Saulnier, prouve que le cinéma indépendant américain a encore de beaux jours devant lui.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Guillaume Loison
A une époque où le cinéma de genre privilégie la vitesse et l’hystérie, la force de "Green Room" tient à son atmosphère glauque, anxiogène, visqueuse, et à un suspense qui joue sur les tripes et les nerfs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Combat de punks et de soins dans une salle de concerts de l’Oregon. Le deuxième film fracassant d’un jeune cinéaste US très doué.
Mad Movies
par Fausto Fasulo
Rien à jeter, tout à prendre dans la gueule : Jeremy Saulnier style.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Sur le thème classique de personnages ordinaires placés dans une situation extraordinaire, le film construit un suspense magistral qui marquera les mémoires.
20 Minutes
par Caroline Vié
Il en résulte un beau festival de scènes entre rouge (le sang) et vert (la tonalité chromatique du film).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par François-Xavier Taboni
L’essentiel reste là : le talent de Saulnier pour camper rapidement des personnages et sa façon de ne pas reculer devant une certaine forme de cruauté font le prix de son cinéma âpre et sans concession.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
"Green Room" confirme la dévorante énergie de Jeremy Saulnier.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Sous couvert de nous offrir un huis clos enragé, Jeremy Saulnier nous plonge dans un bain acide, une aventure sans retour, dont l’intensité et l’impact laissent recroquevillé au fond de son siège. Après "Blue ruin", Jeremy Saulnier frappe un grand coup.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
(...) Jeremy Saulnier n'est pas l'homme d'un seul film, mais l'un des grands réalisateurs actuels.
L'Express
par Christophe Carrière
Un exercice de style amusant comme peut l'être un "survivor" efficace, un peu affaibli par des transitions dialoguées sans grand intérêt, mais musclé par le réalisme impitoyable de certaines séquences où ça meurt sans crier gare.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce thriller gore, qui a la particularité de présenter une rare unité de lieu, de temps, de sujet et de vision artistique, est une illustration cruelle et presque ironique de la psyché punk poussée à son comble. On reparlera de Jeremy Saulnier, c’est certain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un thriller bien gore qui met en scène, sous l’imaginaire que peut véhiculer la culture rock, un autre imaginaire, cauchemardesque, de ce qui est la négation même de la culture : la barbarie.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Saulnier n’a pas oublié que, lycéen, il réalisait déjà des films de zombies et se produisait dans des groupes rock. Son huis clos comporte d’effrayants accents de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Hubert Lizé
Patrick Stewart est excellent.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Yannick Lemarié
Le film suit, sans ciller, son programme : éliminer le maximum de personnes. Et il le fait avec d'autant plus d'efficacité que son réalisateur sait jouer à merveille avec les cadres, le hors-champ, le son, un montage abrupt, l'exposition brutale des chairs suppliciées.
Première
par Eric Vernay
(...) un film drôlement brutal certes, mais distillant des bouffées d’empathie avec équité. L’atmosphère "no future" de ce jubilatoire jeu de massacre s’en trouve augmentée d’une note plutôt incongrue sur un champ de bataille : la tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Sans atteindre le niveau d'une greffe inédite comme "It Follows" de David Robert Mitchell l'année dernière, grande sensation horrifique de Deauville 2014, le plaisir avec lequel il a été conçu se révèle infectieux qu'il devient le nôtre en le regardant. C'est le principal.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jacques Morice
En s'appuyant sur une variété d'armes (poignard, pitbull, fusil de chasse...), le réalisateur orchestre très bien ce jeu de massacre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Le cinéaste transforme le survival gore en parcours initiatique beau et subtil, tout en préservant son côté grand-huit purificatoire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Gala
par Paul-Arthur Jean-Marie
Le cinéaste tient son spectateur en haleine au fil des stratagèmes mis en place par les malchanceux, cernés dans une salle verte, pour échapper à une fin tragique.Green Room est palpitant mais aussi dérangeant dans sa peinture sans détour du néo-nazisme.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Jeremy Saulnier signe un survival haletant, hommage au cinéma de genre mal élevé qui fit la gloire des seventies.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
La bonne surprise provoquée par Blue Ruin en 2013 restera-t-elle sans lendemain ? Green Room déçoit en comparaison de ce coup d’éclat, tant sa modestie de teen-movie ternit l’éclat si particulier du premier film de Jeremy Saulnier.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce survival tourné à huis clos épingle la recrudescence des groupuscules néonazis mais s’avère trop lent et démonstratif pour bousculer le public, qui n’attend pourtant que ça.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le nouveau film de Jeremy Saulnier, "Green Room", déçoit quelque peu les espoirs qu’avait suscités son précédent long-métrage, "Blue Ruin", un thriller avec Macon Blair, Devin Ratray. Il relève de l’exercice de style tout autant que d’une certaine tendance nihiliste du cinéma de terreur contemporain.
Libération
par Guillaume Tion
Lancé comme une expérience punko-gore, "Green Room" n’a pas la puissance d’un "The Descent" ou de l’aïeul "Délivrance". À la fin, the kids are united, les différences idéologiques entre punks et skins s’effacent devant la violence, et on s’aperçoit que les chiens sont méchants parce qu’on leur demande de l’être, comme si le film cherchait en creux à donner des excuses aux tueurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
(...) ce film avec des skinheads dedans est assommant. Et la musique n'y est pour rien !
VSD
par Bernard Achour
Un thriller ultraviolent en quasi-huis clos, efficace mais limité.
GQ
Thriller horrifique rythmé par une BO punk-hardcore au poil, "Green Room", de Jeremy Saulnier, prouve que le cinéma indépendant américain a encore de beaux jours devant lui.
L'Obs
A une époque où le cinéma de genre privilégie la vitesse et l’hystérie, la force de "Green Room" tient à son atmosphère glauque, anxiogène, visqueuse, et à un suspense qui joue sur les tripes et les nerfs.
Les Inrockuptibles
Combat de punks et de soins dans une salle de concerts de l’Oregon. Le deuxième film fracassant d’un jeune cinéaste US très doué.
Mad Movies
Rien à jeter, tout à prendre dans la gueule : Jeremy Saulnier style.
Ouest France
Sur le thème classique de personnages ordinaires placés dans une situation extraordinaire, le film construit un suspense magistral qui marquera les mémoires.
20 Minutes
Il en résulte un beau festival de scènes entre rouge (le sang) et vert (la tonalité chromatique du film).
Bande à part
L’essentiel reste là : le talent de Saulnier pour camper rapidement des personnages et sa façon de ne pas reculer devant une certaine forme de cruauté font le prix de son cinéma âpre et sans concession.
CinemaTeaser
"Green Room" confirme la dévorante énergie de Jeremy Saulnier.
Ecran Large
Sous couvert de nous offrir un huis clos enragé, Jeremy Saulnier nous plonge dans un bain acide, une aventure sans retour, dont l’intensité et l’impact laissent recroquevillé au fond de son siège. Après "Blue ruin", Jeremy Saulnier frappe un grand coup.
L'Ecran Fantastique
(...) Jeremy Saulnier n'est pas l'homme d'un seul film, mais l'un des grands réalisateurs actuels.
L'Express
Un exercice de style amusant comme peut l'être un "survivor" efficace, un peu affaibli par des transitions dialoguées sans grand intérêt, mais musclé par le réalisme impitoyable de certaines séquences où ça meurt sans crier gare.
L'Humanité
Ce thriller gore, qui a la particularité de présenter une rare unité de lieu, de temps, de sujet et de vision artistique, est une illustration cruelle et presque ironique de la psyché punk poussée à son comble. On reparlera de Jeremy Saulnier, c’est certain.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller bien gore qui met en scène, sous l’imaginaire que peut véhiculer la culture rock, un autre imaginaire, cauchemardesque, de ce qui est la négation même de la culture : la barbarie.
Le Figaroscope
Saulnier n’a pas oublié que, lycéen, il réalisait déjà des films de zombies et se produisait dans des groupes rock. Son huis clos comporte d’effrayants accents de vérité.
Le Parisien
Patrick Stewart est excellent.
Positif
Le film suit, sans ciller, son programme : éliminer le maximum de personnes. Et il le fait avec d'autant plus d'efficacité que son réalisateur sait jouer à merveille avec les cadres, le hors-champ, le son, un montage abrupt, l'exposition brutale des chairs suppliciées.
Première
(...) un film drôlement brutal certes, mais distillant des bouffées d’empathie avec équité. L’atmosphère "no future" de ce jubilatoire jeu de massacre s’en trouve augmentée d’une note plutôt incongrue sur un champ de bataille : la tendresse.
TF1 News
Sans atteindre le niveau d'une greffe inédite comme "It Follows" de David Robert Mitchell l'année dernière, grande sensation horrifique de Deauville 2014, le plaisir avec lequel il a été conçu se révèle infectieux qu'il devient le nôtre en le regardant. C'est le principal.
Télérama
En s'appuyant sur une variété d'armes (poignard, pitbull, fusil de chasse...), le réalisateur orchestre très bien ce jeu de massacre.
aVoir-aLire.com
Le cinéaste transforme le survival gore en parcours initiatique beau et subtil, tout en préservant son côté grand-huit purificatoire.
Gala
Le cinéaste tient son spectateur en haleine au fil des stratagèmes mis en place par les malchanceux, cernés dans une salle verte, pour échapper à une fin tragique.Green Room est palpitant mais aussi dérangeant dans sa peinture sans détour du néo-nazisme.
Les Fiches du Cinéma
Jeremy Saulnier signe un survival haletant, hommage au cinéma de genre mal élevé qui fit la gloire des seventies.
Cahiers du Cinéma
La bonne surprise provoquée par Blue Ruin en 2013 restera-t-elle sans lendemain ? Green Room déçoit en comparaison de ce coup d’éclat, tant sa modestie de teen-movie ternit l’éclat si particulier du premier film de Jeremy Saulnier.
Le Journal du Dimanche
Ce survival tourné à huis clos épingle la recrudescence des groupuscules néonazis mais s’avère trop lent et démonstratif pour bousculer le public, qui n’attend pourtant que ça.
Le Monde
Le nouveau film de Jeremy Saulnier, "Green Room", déçoit quelque peu les espoirs qu’avait suscités son précédent long-métrage, "Blue Ruin", un thriller avec Macon Blair, Devin Ratray. Il relève de l’exercice de style tout autant que d’une certaine tendance nihiliste du cinéma de terreur contemporain.
Libération
Lancé comme une expérience punko-gore, "Green Room" n’a pas la puissance d’un "The Descent" ou de l’aïeul "Délivrance". À la fin, the kids are united, les différences idéologiques entre punks et skins s’effacent devant la violence, et on s’aperçoit que les chiens sont méchants parce qu’on leur demande de l’être, comme si le film cherchait en creux à donner des excuses aux tueurs.
Studio Ciné Live
(...) ce film avec des skinheads dedans est assommant. Et la musique n'y est pour rien !
VSD
Un thriller ultraviolent en quasi-huis clos, efficace mais limité.