Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Express
par Sandra Benedetti
Un premier film sensoriel et aérien. Avec deux jeunes actrices à retenir : Constance Rousseau et Jenna Thiam.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une approche très juste des indécisions de l’adolescence, bien portée par le jeu contrasté des deux jeunes comédiennes.
Positif
par Olivier De Bruyn
Habile avec son duo d'héroïnes (Constance Rousseau et Jenna Thiam, très convaincantes) comme avec ses personnages secondaires (interprétés, entre autres, par les remarquables Frédéric Pierrot et Julien Boisselier), la cinéaste, pudique et sensible, multiplie les ellipses, privilégie la suggestion et fait preuve d'une maturité scénaristique et formelle qui rend curieux de sa carrière à venir.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Sensible et sensuelle, cette évocation de la post-adolescence se construit comme une longue séance de lutte (méta)physique, harassante, et pour les personnages et pour les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Jérôme Garcin
Vania Leturcq a de l'avenir.
Le Monde
par Noémie Luciani
Ce premier long-métrage ambitieux raconte le passage à l'âge adulte en suivant deux étudiantes dans l'effondrement de leur amitié d'enfance, mais il s'éparpille dans sa structure et les lieux communs. Constance Rousseau et Jenna Thiam livrent cependant une performance remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Devenir soi n'est pas chose aisée. Ce premier long métrage, nourri d'expérience et servi par des comédiens épatants, en atteste avec une finesse et une énergie qui ne jouent jamais sur la mélancolie.
Première
par Isabelle Danel
Parfois très démonstratif dans son écriture et souffrant de baisses de rythme, ce premier long est habité par ses comédiennes, auxquelles il faut ajouter Kevin Azaïs ("Les Combattants") en amoureux éconduit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Un parfum d'entrée dans l'âge adulte qui, bien que léger, n'est pas pour déplaire.
Télérama
par Guillemette Odicino
Du nouveau sous le soleil de l'adolescence ? A peine, mais la réalisatrice capte bien les désillusions et la guerre des ego de deux jeunes provinciales, dont l'amitié explose en un an de vie étudiante parisienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Dommage que ces bonnes idées de scénario n’influent pas réellement sur la mise en scène, qui ne parvient pas à déborder l’horizon d’une chronique délicate mais anecdotique.
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Malgré ces rares instants d’envol, "L’Année prochaine" peine à n’être que l’anecdotique répétition d’une chanson trop connue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Clémentine Gallot
Ce premier long métrage de la Belge Vania Leturcq mériterait de s’affranchir d’une trop grande fidélité à ses modèles (de Black Swan à Mia Hansen-Løve).
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
Un premier film sensoriel et aérien. Avec deux jeunes actrices à retenir : Constance Rousseau et Jenna Thiam.
Le Dauphiné Libéré
Une approche très juste des indécisions de l’adolescence, bien portée par le jeu contrasté des deux jeunes comédiennes.
Positif
Habile avec son duo d'héroïnes (Constance Rousseau et Jenna Thiam, très convaincantes) comme avec ses personnages secondaires (interprétés, entre autres, par les remarquables Frédéric Pierrot et Julien Boisselier), la cinéaste, pudique et sensible, multiplie les ellipses, privilégie la suggestion et fait preuve d'une maturité scénaristique et formelle qui rend curieux de sa carrière à venir.
aVoir-aLire.com
Sensible et sensuelle, cette évocation de la post-adolescence se construit comme une longue séance de lutte (méta)physique, harassante, et pour les personnages et pour les spectateurs.
L'Obs
Vania Leturcq a de l'avenir.
Le Monde
Ce premier long-métrage ambitieux raconte le passage à l'âge adulte en suivant deux étudiantes dans l'effondrement de leur amitié d'enfance, mais il s'éparpille dans sa structure et les lieux communs. Constance Rousseau et Jenna Thiam livrent cependant une performance remarquable.
Les Fiches du Cinéma
Devenir soi n'est pas chose aisée. Ce premier long métrage, nourri d'expérience et servi par des comédiens épatants, en atteste avec une finesse et une énergie qui ne jouent jamais sur la mélancolie.
Première
Parfois très démonstratif dans son écriture et souffrant de baisses de rythme, ce premier long est habité par ses comédiennes, auxquelles il faut ajouter Kevin Azaïs ("Les Combattants") en amoureux éconduit.
Studio Ciné Live
Un parfum d'entrée dans l'âge adulte qui, bien que léger, n'est pas pour déplaire.
Télérama
Du nouveau sous le soleil de l'adolescence ? A peine, mais la réalisatrice capte bien les désillusions et la guerre des ego de deux jeunes provinciales, dont l'amitié explose en un an de vie étudiante parisienne.
Cahiers du Cinéma
Dommage que ces bonnes idées de scénario n’influent pas réellement sur la mise en scène, qui ne parvient pas à déborder l’horizon d’une chronique délicate mais anecdotique.
Critikat.com
Malgré ces rares instants d’envol, "L’Année prochaine" peine à n’être que l’anecdotique répétition d’une chanson trop connue.
Libération
Ce premier long métrage de la Belge Vania Leturcq mériterait de s’affranchir d’une trop grande fidélité à ses modèles (de Black Swan à Mia Hansen-Løve).