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    Le Bouton de nacre
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    4,0
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    Nicolas L.
    Nicolas L.

    87 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2018
    Belles images sur la patagonie, histoire poignante sur ces peuples disparus et cette dictature Pinochet abominable mais je n'ai pas trop compris le lien entre l'histoire du Chili et la science de l'eau ?? Dommage car ce documentaire comporte des moments de grâces !
    Noé T
    Noé T

    11 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 janvier 2018
    Un film touchant par rapport à l'histoire racontée, mais dans l'ensemble pas terrible car je n'aime pas trop le genre documentaire, mais je comprend les critiques positives de ce film...
    Cinemaniakmontreal
    Cinemaniakmontreal

    20 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mai 2016
    Le bouton de nacre: le vague à l’âme sincère et touchant d’une œuvre aboutie qui condamne l’impunité des crimes commis sur les Indiens au Chili depuis des siècles.♥♥♥♥1/2

    Dans son documentaire Le bouton de nacre, le prolifique Patricio Guzman continue de questionner les fondements de son pays, le Chili, au moyen d’une poésie visuelle, souvent philosophique, qui ne perd jamais de vue un désir d’authenticité. Réalisateur de La nostalgia de la luz, il avait à l’époque entamé un travail de recherche sur le désert d’Atacama, au nord du pays, afin d’honorer la mémoire des victimes disparues sous le régime militaire de Pinochet. Il nous offre ici une plongée abyssale, parfois teintée de lumière, sur la Patagonie et ses multiples paysages (glaciers, montagnes…) faisant de nouveau apparaître une corrélation entre les éléments naturels, le cosmos et les différents massacres politiques.

    La Patagonie: le plus grand archipel au monde, collection d’îles mais surtout de vies, abandonnées à leur sort, ne laissant comme héritage qu’un langage dont le fil conducteur serait l’eau, à travers une vingtaine de descendants d’Indiens. L’eau, c’est la frontière du Chili. En partant de ce constat, le réalisateur retourne aux origines de son apparition dans un simple morceau de quartz qui l’achemine sur Terre. Puis, il nous présente ses propriétés ainsi que ses forces au gré d’images saisissantes, en contre-plongée, d’une nature qui se veut diversifiée, calme, silencieuse et reposante. On entend jusqu’au craquellement des glaciers qui s’effritent, appuyé par un mixage du son en surimpression et de longs plans mettant l’accent sur son immensité. Il se dégage alors quelque chose de métaphysique de ces décors vivants évoquant le cinéma de Terrence Malick grâce notamment à des vues aériennes et lancinantes d’où émane une poésie douce et triste à la fois.
    L’eau est un langage.

    L’eau est aussi le véhicule naturel qui amena les colons à découvrir, puis à détruire, avant 1880, les Indiens et leur mode de vie ancestral. Rapidement traités de brigands et de hors-la-loi, leur processus d’extermination s’étalera sur 150 ans, au moyen de chasseurs d’Indiens ou indirectement, par la dissémination de bactéries mortelles. Quant aux survivants, ils seront laissés à l’abandon, ou pire, déportés sur leurs propres îles (notamment celle de Dawson). Longtemps les Indiens du sud ont été invisibles, s’identifiant à la nature dans le but de survivre. C’est alors par le biais de photographies en noir et blanc que l’on découvre ces nomades de l’eau qui naviguent en canoë à travers les îles en cinq groupes bien distincts: les Kawesqar, les Manekenk, les Selknam, les Telhuelches et les Yagan. Gabriela est une des dernières descendantes du peuple Kawesqar (elle n’est pas Chilienne, comme elle se plaît à le préciser) affirmant sa forte appartenance à la terre tandis que l’eau, une partie intégrante de la famille, agit à titre de mère. Plusieurs siècles séparent cette dernière du narrateur, deux exilés qui ne partagent pas le même mode de vie, ni les mêmes valeurs ancestrales. Il ne connaît pas, entre autre, l’histoire de Jemmy Button, cet indigène que le Britannique Robert Fitzroy a ramené en Angleterre avec trois autres autochtones dans l’intention de les civiliser. On lui a coupé les cheveux et appris l’anglais. On l’a habillé et instruit. On l’a surtout déraciné à sa culture pour, une fois bien apatrié, le renvoyer et l’abandonner dans son pays. Il s’est alors littéralement mis à nu, dans l’intention de redevenir la personne qu’il était précédemment. Le prix à payer pour ce voyage initiatique? Un bouton de nacre en échange de son identité bafouée.
    « Nous sommes tous les ruisseaux d’une seule eau ».

    Un peu plus tard, tandis que d’autres Indiens étaient de nouveau envoyés sur l’île de Dawson (devenu un camp de concentration), ce même bouton sera le seul vestige retrouvé sur les rails qui écrasaient les cages thoraciques et lestaient les corps des victimes qu’on envoyait au fond de l’océan. L’histoire se répète. L’Homme n’apprend pas de ses erreurs et la cruauté n’a plus de limites. À la manière de Nuit et brouillard, le réalisateur pratique une reconstruction méthodique, quasi chirurgicale, basée sur les écrits historiques de Marta Ugarte qui laissent entrevoir l’abomination des actes perpétrés ainsi que la torture infligée aux partisans de Salvadore Allende, suite au coup d’état du 11 septembre 1973 par le dictateur Pinochet. Étrangement, le nom de Pinochet ne sera jamais prononcé, comme pour oublier un personnage à qui on ne souhaite pas donner vie pour effacer l’horreur et croire en des jours meilleurs.

    Si l’eau est source de vie, elle est aussi source de musique à travers des personnages plus atypiques les uns que les autres, tels que Claudio qui chante et utilise sa bouche comme caisse de résonance pour émettre des vibrations. Il fait alors parler la mémoire de l’eau.Il faudra attendre les années 1990 pour qu’un juge, mu par l’idée de rédemption, ordonne une exploration sous-marine afin de récupérer ces corps balancés d’hélicoptères au-dessus de l’océan.

    Ne pas rendre les corps, c’est tuer une deuxième fois selon Raul Zurita, grand poète Chilien. Pour le réalisateur, ce bouton n’est que la pointe de l’iceberg et laisse émerger l’idée qu’il en existe d’autres perdus dans les fonds marins que les moyens actuels ne permettent pas de retrouver. Dès lors, on comprend mieux le rapport que les indigènes entretiennent avec l’eau: une certaine admiration mêlée de crainte (le narrateur restera à jamais hanté par l’image de son camarade de classe emporté par la mer). Malgré tout, les anciens la respectent encore énormément.

    Présenté en 2015 au dernier Festival de Berlin, Le bouton de nacre a légitimement mérité l’Ours d’argent du meilleur scénario et le prix du Jury œcuménique. Il puise sa force dans l’opposition constante entre ceux qui vivent avec et ceux qui vivent contre la nature, sans jamais noyer son récit sous un flot de fioritures et d’artifices en tout genre. Avec beaucoup d’humilité, sans jamais sombrer dans l’amertume, lui préférant de loin des paraboles pleines de sens et d’espoir, Patricio Guzman fait la lumière sur un passé honteux que l’on a cherché à oublier. Finalement, ce bouton de nacre, si petit, si ridicule ne constitue pour le spectateur qu’une preuve matérielle, sous une forme allégorique, déclencheur d’une réflexion sur le souvenir de mémoire, loin des formes conventionnelles propres au documentaire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Dans Le bouton de nacre, Patricio Guzman revisite l’histoire tourmentée de son pays, le Chili, à travers deux événements, en tant que ceux-ci sont deux faits marquant une rupture et méritant d’être retenus, à savoir l’extermination des derniers Amérindiens de Patagonie et les disparus de la dictature d’Augusto Pinochet. Pour aborder ces deux pans de l’histoire chilienne, Patricio Guzman utilise le thème de l’eau comme trait d’union. L’eau avait en effet une importance majeure dans la culture et l’imaginaire amérindiens. Ces premiers habitants du Chili étaient en parfaite osmose avec la nature et le cosmos, dont les étoiles représentaient, à leurs yeux, la perpétuation des âmes défuntes. Patricio Guzman épouse quelque peu cette représentation du monde, ceci donnant lieu à des commentaires teintés d’ethnologie et des réflexions poétiques pouvant par moments tomber un peu à plat : n’est pas anthropologue qui veut. Toutefois, ces commentaires, notamment ceux du genre : « l’eau a-t-elle une mémoire ? » sont fort heureusement tempérés par des commentaires plus scientifiques de la part du réalisateur, qui nous rappelle là l’importance cruciale de l’eau. Ce thème est l’occasion de plans magnifiques de glaciers, de courants de l’océan, de ruisseaux. Ces plans sont d’autant plus captivants que ceux-ci sont accompagnés de sons, parfois de simples gouttes d’eau tombant au sol, donnant un aspect assez immersif. Bref, on est saisi par le côté sensoriel du film.

    Vous pouvez lire le reste de ma critique (accompagnée d'illustrations) ainsi que d'autres critiques sur mon blog :
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 février 2016
    Le scénario était intéressent mais je suis resté sur ma faim, puisque j'estime que ce film pour une personne de 15 ans n'est pas vraiment adapté. Il faut avoir quelque connaissance pour comprendre une partie du film, ce que je n'avais as lors du visionnage.
    Cependant, la musique et les paysages étaient magnifiques et majestueux.
    Christophe L
    Christophe L

    28 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2016
    Un voyage à la fois envoûtant au pays de l’eau (le Chili), et terrifiant dans les méandres les plus sombres de l’âme humaine (le génocide des Indiens de Patagonie et la dictature Pinochet). Ce documentaire d’une beauté cristalline (à l’image de son titre), rythmé par la voix du réalisateur, nous offre une vision du monde a des années-lumière de celle, désincarnée et creuse, d’Arthus-Bertrand, qui abandonne si souvent son propos au sensationnalisme de belles images…
    Frédéric P
    Frédéric P

    15 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2015
    Superbe documentaire qui à travers un bouton de nacre fait le lien entre les violences coloniales du passé et celle de la dictature de Pinochet. L'horreur de l'opération Condor. contre les opposants devient concrète grâce à une reconstitution d'un genre nouveau.
    Réalisation soignée qui met en valeur les derniers survivants des populations amérindiennes de Patagonie dont on entend la langue. "Dieu" et "police" sont des mots intraduisibles dans leur langue, car pour Gabriela, une des dernières locutrices, ils n'en ont pas besoin.
    On réalise ce qu'est un crime contre l'humanité quand les cadavres ne sont pas rendus.
    Guzman filme l'océan et les croyances cosmiques des indigènes en leur rendant leur dignité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 décembre 2015
    Belles images, beau texte, très éducatif, un Chili inconnu...l'extrême sud, la vie et la mort !!! à voir absolument !!!
    Desman
    Desman

    7 abonnés 305 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 décembre 2015
    Voilà un documentaire présentant de superbes images d'une région méconnue : la Patagonie chilienne. Une région qui nous renvoie à 2 périodes sombres de l'Histoire du pays : l'extermination des indiens et la dictature de Pinochet. Les faits énoncés sont évidemment aussi intéressants qu'ils sont horribles.
    Je ne connaissais pas le cinéma de Guzmán, dont le rythme est pour ma part beaucoup trop lent. Par moment il faut s'accrocher...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 décembre 2015
    "...D'abord, le répertoire des images sur l'eau et son bruit nous offre les moments les plus enivrantes de tout le métrage et ils ne nous font pas sentir le passage du temps pendant qu'on regarde le film. Le mérite des paysages chiliens bien sur qu'ils n'appartient pas au réalisateur, mais au moins on sait qu'il arrive à transporter la beauté du coté sauvage chilien à nos écrans. Des fois on tombe sur des effets par ordi pas trop rudimentaires qui nous rappellent par moments à Malick sur une overdose de new-ageism, mais ces moments se voient sauvées grâce à la narration de Guzmán.

    Parce-que la narration c'est peut-être la clé de l'enjeu du film. La voix posée de Guzman sert de véhicule poétique aux belles images projetées. La façon dont il récite, en sorte de poète, nous lasse conduire pour un texte claire et direct qui révise son enfance et sa jeunesse en relation à la mer et la pluie. Tout cela condensé avec l'histoire chilienne dans la région de la Patagonie...."

    Lire la critique en entier sur:
    soulman
    soulman

    86 abonnés 1 219 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2015
    Un film d'une grande beauté qui rend intelligent...
    Sans atermoiements et en évitant le mélo, le cinéaste évoque le Sud du Chili et ses premiers habitants avec une profondeur et un humanisme rares.
    cyclo86
    cyclo86

    15 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 novembre 2015
    Autre film nous venant d'Amérique latine : le dernier Patricio Guzmán, "Le bouton de nacre", essai cinématographique d'une beauté sidérante.
    Ici, il est question des rapports qu'il y a entre la mer et le détroit de Magellan, l'éradication des tribus indiennes, et la dictature de Pinochet. Il faut voir ce magnifique documentaire à la fois géographique, historique et politique, mais qui est aussi un poème de l'exilé Patricio Guzmán.
    On est donc dans l’extrême sud du pays. Les indigènes qui vivaient là depuis dix mille ans ont été systématiquement exterminés par les colons (payés pour chaque Indien mort). Ils ne reste plus qu'une petite vingtaine de survivants, deux parlent ici. Et puis il y a les victimes de Pinochet, dont certaines ont disparu, après avoir été torturées, et jetées à la mer par hélicoptère, lestées d'un bout de rail. Le cinéaste filme la mise au jour par un plongeur sous-marin d’un de ces bouts de rail : sous la rouille et les coquillages incrustés, on a retrouvé un bouton de nacre – d'où le titre du film – sans doute celui de la chemise d’un disparu. Des entretiens avec l’historien Gabriel Salazar, le poète Raúl Zurita, tous deux victimes survivantes de Pinochet, et les Indiens de Patagonie, ponctuent le film. Mais le cinéaste fait la part belle aussi à la nature ; l'eau, le ciel, la mer, les glaciers, un magnifique cristal de quartz dans lequel est restée incrustée une goutte d'eau.
    On a affaire ici à un cinéma humaniste, en même temps qu'à un film de poète, qui relie admirablement l'éternité (la mer, les glaciers, les Indiens survivants), la géographie et l'histoire du XXème siècle : Pinochet n'a fait que continuer à l'échelle entière du pays le massacre des opposants, tel qu'initié par les colons envers les Indiens. Ce documentaire est aussi ambitieux que son précédent film, l'exceptionnel "Nostalgie de la lumière". Là, il parlait du désert, du ciel et de la terre. Ici, il parle de l'eau (fil conducteur), de la mer, des étoiles (les Indiens pensent que les âmes des morts transitent par les étoiles), de l'histoire, notamment de deux événements majeurs : l'implication des États-Unis dans le coup d'état de Pinochet, l'extermination des nations indigènes de Patagonie.
    Un film enchanté, souvent touché par la grâce de la poésie.
    leobis
    leobis

    59 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2015
    Superbe idée, à partir d'un bouton de nacre retrouvé en mer, on assiste à un véritable documentaire sur la disparition des indigènes de Patagonie due à la colonisation espagnole et ensuite sur la dictature Pinochet soutenue par les USA. Les paysages sont, de plus, remarquables et les interviews menés avec une grande humanité et délicatesse.
    pierre72
    pierre72

    137 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 novembre 2015
    Ce documentaire, aussi poétique que politique, aussi libre qu'émouvant, envoûte autant par sa beauté plastique que par la profondeur de son propos. Poème mémoriel pour un pays scindé en trois pour cause de longueur excessive lorsqu'on doit l'afficher sur une carte et en deux quand il s'agit d'évoquer le passé , "Le bouton de nacre" est un grand voyage au coeur des éléments naturels qui façonnent le Chili mais aussi d'un passé que beaucoup voudraient effacer.
    Porté par la belle voix grave et lente de Patrizio Guzman, nous nous embarquons dans un pays où l'eau fait corps avec le ciel, où tous les climats existent, du plus aride au plus froid. Pour nous couper de notre réalité et mieux nous préparer à la suite, la caméra du réalisateur caresse de magnifiques paysages marins, souvent glacés, survole sur les télescopes du désert d'Atacama, se balade dans l'espace au milieu des étoiles. Et puis, en s'attardant en Patagonie, évoque la disparition des premiers habitants de cette terre peu hospitalière, quatre tribus magnifiques qui vivaient au fil de l'eau, en accord complet avec la nature. Exterminés par les colons autant que par la civilisation, ils ressuscitent devant nos yeux grâce notamment aux photos émouvantes de Martin Gusinde prise au début du siècle dernier mais aussi par la grâce des derniers et ultimes descendants qui ont conservé un peu de la langue originelle. Dans une magnifique scène où le réalisateur leur demande la traduction de mots courants dans leur langue aujourd'hui presque disparue, aux mots dieu ou police, ils ne peuvent répondre car ils n'ont aucun sens pour eux.
    De ces peuples premiers du Chili, demeure l'histoire de Jimmy Button, indigène échangé contre un bouton de nacre et emmené durant une année en Angleterre pour être éduqué. Ce bouton de nacre fait écho à un autre bouton de nacre retrouvé lui collé à un rail rouillé de chemin de fer au fond du Pacifique. Il a appartenu à un des nombreux prisonniers que le régime de Pinochet a largué en mer, bien lestés. Deux boutons pour deux terribles massacres que la mémoire collective essaie d'oublier mais qui remontent à la surface, portés par les eaux qui ont gardé ces horreurs en mémoire.
    La fin sur le blog
    Xavier_Bonastre
    Xavier_Bonastre

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 novembre 2015
    Si le commentaire en voix-off (dit par le réalisateur lui-même) n'avait pas été psalmodié à la manière d'un Jean-Claude Ameisen ("Sur les épaules de Darwin"), peut-être n'aurais-je pas sombré, dès les premières minutes du film, dans une profonde somnolence, de laquelle seuls la beauté des images et l'intérêt historique du propos réussirent à m'extirper par moments.
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