Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
Julie Delpy met son grain de folie au service d'une comédie formidablement bien troussée et interprétée au petit poil. Cette fille a le chic pour capter l'air du temps, un sens aigu de l'autodérision, et un talent de direction d'acteurs indéniable.
Critikat.com
par Quentin Le Goff
"Lolo" est une étape pour Julie Delpy puisqu’en plus d’être son film le plus équilibré et le plus solide, il réussit le pari de la comédie populaire sans tirer sur les grosses ficelles habituellement de mise – chose rare ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Emilie Rivenq
La recette Delpy fonctionne grâce à sa pâte savoureuse où chaque trait de caractère est caricaturé sans jamais basculer dans le cliché. Elle redonne une vraie dimension comique au complexe d’OEdipe, et c’est tordant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La Rédaction
Voilà donc une histoire d'amour qui s'annonce plutôt difficile. Mais qui nous plaît !
L'Express
par Sandra Benedetti
Sous la casquette de réalisatrice, Julie Delpy passe allègrement les bornes des limites de la comédie romantique en transitant du corsé au vachard, du charmant au saignant. Même un léger manque de rythme au milieu ne suffit pas à gâcher ce drôle d'objet. Fantasque et imprévisible, donc aimable.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Metro
par Marilyne Letertre
Les personnages sont croustillants, les dialogues piquants, les mots cash. Si elle signe avec Lolo son film le plus grand public, Julie Delpy n'a assurément pas cédé aux sirènes du consensus.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Des clichés et des conventions, mais des dialogues crus et salés qui décoiffent.
Positif
par Philippe Rouyer
Delpy a l'art d'électriser les scènes du quotidien. (...) Le film vaut pour son rythme, la qualité de l'interprétation et les petites surprises qu'il nous reserve.
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Dialogues d'un piquant réjouissant au début, petite baisse de régime dans l'écriture au milieu et dernier tiers épatant.
Télé 2 semaines
par Gwenola Trouillard
Bien qu’estampillé « comédie grand public », "Lolo" ne fait pas de quartier et brosse un tableau très cru, très noir et très drôle de la famille recomposée. Vincent Lacoste en Tanguy diabolique va très très loin !
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
VSD
par Olivier Bousquet
Julie Delpy avance prestement sur son fil, sans hésiter à goûter à l’hénaurme. On la connaissait actrice, réalisatrice et chanteuse. La voici désormais funambule.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Son "Lolo" aurait pu devenir un nouveau "Tanguy", archétype du personnage de fiction qui définit avec justesse une réalité au point d’entrer dans le vocabulaire de la vie quotidienne. À défaut d’avoir tout à fait l’étoffe du film d’Étienne Chatilliez, sa comédie tisse de façon efficace une intrigue où chaque acteur a une belle partition à jouer (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Même si on y retrouve la fraîcheur de Julie Dely, “Lolo” s'épuise dans une mécanique comique artificielle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Cette couleur fantastique de la mise en scène (et surtout de l’esprit) de Delpy, qui n’était jusqu’ici apparue que dans le seul drame qu’elle ait réalisé à ce jour, "La Comtesse" (le portrait d’une criminelle sadique célèbre, la comtesse Báthory), représente une véritable originalité dans la comédie contemporaine (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
"Lolo" est ainsi habité par la drôlerie sympathique de "Two Days in Paris" et de "Looking for Jimmy." (...) "Lolo" ennuie davantage quand il veut se moquer des fossés sociaux, manque de pincettes lorsqu’il illustre trop fortement la différence entre une bourge et un beauf (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
Y allant franco dans le registre de la comédie, Julie Delpy démarre son film sur les chapeaux de roues, à coups de dialogues cinglants et de situations hilarantes. (...) l’aspect trop diabolique du chérubin fait virer l’ensemble au cartoon grotesque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Vincent Lacoste, principal atout du film, est, lui, irrésistible de sournoiserie et d'arrogance, avec une dextérité burlesque nouvelle, un timing parfait de l'expression et du geste. Le scénario conduit ce personnage aussi mignon que détestable au bout de son ignominie. De sorte que "Lolo" se termine d'une façon moins consensuelle, plus féroce que prévu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La rédaction
Sympathique, souvent drôle, parfois poussif ou surécrit.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le ton est à la bonne humeur communicative et l’énergie est débordante, tout ici désopile, des premiers instants girlie et bitchy, au final parodiant de près le Tanguy de Chatiliez qui aurait rencontré le Damien de La Malédiction.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un quadragénaire provincial gentiment timide – parfait pour Dany Boon – rencontre une Parisienne branchée speedée – tout Julie Delpy : tout les oppose, tout doit donc, selon la bonne logique de la comédie romantique, les réunir, sauf que le fils à maman s’interpose. Et comme c’est Vincent Lacoste, le film devient lourd, lourd…
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les dialogues, parfois vulgaires, ne font pas rire, la mise en scène manque de rythme. L’actrice réalisatrice a quand même la bonne idée d’inviter dans son cinéma Dany Boon, un Ch’ti qui tire son épingle du jeu, face au diabolique Vincent Lacoste.
Le Monde
par Isabelle Regnier
La réalisatrice réduit ceux qui lui tournent autour à de simples silhouettes, et se prive des épices qui auraient pu donner de la saveur à son film.
L'Obs
par La Rédaction
Julie Delpy est au fond trop gentille pour se délecter d’un quelconque affrontement, trop triviale pour se moquer des beaufs, trop complaisante pour faire bisquer les bobos et les gosses de riches.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
TF1 News
par Romain Le Vern
On a toujours témoigné beaucoup de sympathie envers Julie Delpy mais sur ce coup, carton rouge : son "Lolo" ressemble à l'interminable blague d'une bourgeoise qui s'autorise à être vulgaire.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Parisien
Julie Delpy met son grain de folie au service d'une comédie formidablement bien troussée et interprétée au petit poil. Cette fille a le chic pour capter l'air du temps, un sens aigu de l'autodérision, et un talent de direction d'acteurs indéniable.
Critikat.com
"Lolo" est une étape pour Julie Delpy puisqu’en plus d’être son film le plus équilibré et le plus solide, il réussit le pari de la comédie populaire sans tirer sur les grosses ficelles habituellement de mise – chose rare ces dernières années.
Elle
La recette Delpy fonctionne grâce à sa pâte savoureuse où chaque trait de caractère est caricaturé sans jamais basculer dans le cliché. Elle redonne une vraie dimension comique au complexe d’OEdipe, et c’est tordant.
Femme Actuelle
Voilà donc une histoire d'amour qui s'annonce plutôt difficile. Mais qui nous plaît !
L'Express
Sous la casquette de réalisatrice, Julie Delpy passe allègrement les bornes des limites de la comédie romantique en transitant du corsé au vachard, du charmant au saignant. Même un léger manque de rythme au milieu ne suffit pas à gâcher ce drôle d'objet. Fantasque et imprévisible, donc aimable.
Metro
Les personnages sont croustillants, les dialogues piquants, les mots cash. Si elle signe avec Lolo son film le plus grand public, Julie Delpy n'a assurément pas cédé aux sirènes du consensus.
Ouest France
Des clichés et des conventions, mais des dialogues crus et salés qui décoiffent.
Positif
Delpy a l'art d'électriser les scènes du quotidien. (...) Le film vaut pour son rythme, la qualité de l'interprétation et les petites surprises qu'il nous reserve.
Studio Ciné Live
Dialogues d'un piquant réjouissant au début, petite baisse de régime dans l'écriture au milieu et dernier tiers épatant.
Télé 2 semaines
Bien qu’estampillé « comédie grand public », "Lolo" ne fait pas de quartier et brosse un tableau très cru, très noir et très drôle de la famille recomposée. Vincent Lacoste en Tanguy diabolique va très très loin !
VSD
Julie Delpy avance prestement sur son fil, sans hésiter à goûter à l’hénaurme. On la connaissait actrice, réalisatrice et chanteuse. La voici désormais funambule.
La Croix
Son "Lolo" aurait pu devenir un nouveau "Tanguy", archétype du personnage de fiction qui définit avec justesse une réalité au point d’entrer dans le vocabulaire de la vie quotidienne. À défaut d’avoir tout à fait l’étoffe du film d’Étienne Chatilliez, sa comédie tisse de façon efficace une intrigue où chaque acteur a une belle partition à jouer (...).
Les Fiches du Cinéma
Même si on y retrouve la fraîcheur de Julie Dely, “Lolo” s'épuise dans une mécanique comique artificielle.
Les Inrockuptibles
Cette couleur fantastique de la mise en scène (et surtout de l’esprit) de Delpy, qui n’était jusqu’ici apparue que dans le seul drame qu’elle ait réalisé à ce jour, "La Comtesse" (le portrait d’une criminelle sadique célèbre, la comtesse Báthory), représente une véritable originalité dans la comédie contemporaine (...).
Libération
"Lolo" est ainsi habité par la drôlerie sympathique de "Two Days in Paris" et de "Looking for Jimmy." (...) "Lolo" ennuie davantage quand il veut se moquer des fossés sociaux, manque de pincettes lorsqu’il illustre trop fortement la différence entre une bourge et un beauf (...).
Première
Y allant franco dans le registre de la comédie, Julie Delpy démarre son film sur les chapeaux de roues, à coups de dialogues cinglants et de situations hilarantes. (...) l’aspect trop diabolique du chérubin fait virer l’ensemble au cartoon grotesque.
Télérama
Vincent Lacoste, principal atout du film, est, lui, irrésistible de sournoiserie et d'arrogance, avec une dextérité burlesque nouvelle, un timing parfait de l'expression et du geste. Le scénario conduit ce personnage aussi mignon que détestable au bout de son ignominie. De sorte que "Lolo" se termine d'une façon moins consensuelle, plus féroce que prévu.
Voici
Sympathique, souvent drôle, parfois poussif ou surécrit.
aVoir-aLire.com
Le ton est à la bonne humeur communicative et l’énergie est débordante, tout ici désopile, des premiers instants girlie et bitchy, au final parodiant de près le Tanguy de Chatiliez qui aurait rencontré le Damien de La Malédiction.
Le Dauphiné Libéré
Un quadragénaire provincial gentiment timide – parfait pour Dany Boon – rencontre une Parisienne branchée speedée – tout Julie Delpy : tout les oppose, tout doit donc, selon la bonne logique de la comédie romantique, les réunir, sauf que le fils à maman s’interpose. Et comme c’est Vincent Lacoste, le film devient lourd, lourd…
Le Journal du Dimanche
Les dialogues, parfois vulgaires, ne font pas rire, la mise en scène manque de rythme. L’actrice réalisatrice a quand même la bonne idée d’inviter dans son cinéma Dany Boon, un Ch’ti qui tire son épingle du jeu, face au diabolique Vincent Lacoste.
Le Monde
La réalisatrice réduit ceux qui lui tournent autour à de simples silhouettes, et se prive des épices qui auraient pu donner de la saveur à son film.
L'Obs
Julie Delpy est au fond trop gentille pour se délecter d’un quelconque affrontement, trop triviale pour se moquer des beaufs, trop complaisante pour faire bisquer les bobos et les gosses de riches.
TF1 News
On a toujours témoigné beaucoup de sympathie envers Julie Delpy mais sur ce coup, carton rouge : son "Lolo" ressemble à l'interminable blague d'une bourgeoise qui s'autorise à être vulgaire.