Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
La Croix
par Arnaud Schwartz
Avec ce film retenu en compétition lors du dernier Festival de Cannes, Jia Zhang-Ke, cinéaste de la mémoire et de l’oubli, livre une œuvre majeure.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
De l'histoire, des sentiments forts, le temps qui passe et les personnages qui vieillissent,une intelligence des paysages et des mouvements des coeurs : Jia Zhangke nous a encore surpris, entraînés, et pris dans les mailles de sa toile d'araignée de maître du cinéma.
Libération
par Clément Ghys
Que Jia Zhangke soit l’un des quelques immenses cinéastes vivants au monde est une chose quasi évidente. Mais le plus surprenant face à son cinéma, c’est qu’il ne nous exclut jamais. On est happés dans son monde de fiction comme on l’est dans le comté de Yoknapatawpha de Faulkner, le faubourg Saint-Germain de Proust ou le Japon médiéval de Mizoguchi.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
La transposition de l’intrigue dans un futur déshumanisé, vision foudroyante de mélancolie du cinéaste démiurge, achève d’emmener cet Au-delà des montagnes vers des cimes d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Jia Zhang-ke met en scène une glaciation progressive des rapports humains, une "éclipse" des sentiments, sur fond de matérialisme, de technologie et de migrations sans fin. Mais sa fougue romanesque, son énergie pop et ses talents d'artificier conjurent la froideur du constat : cette fresque somptueuse nous donne moins le bourdon que le frisson.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
De 1999 à 2025, une fresque sentimentale couronnée par un épilogue sublime.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
La grande force de "Mountains may depart" est de traiter ce thème de l’effritement des liens sociaux avec l’écrin d’un beau mélodrame, audacieux dans sa construction.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Autour de trois genres qu’il a mis en scène par le passé, le film d’espionnage, la tragédie familiale, la chronique amoureuse, il offrait un condensé réflexif de son œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film en deux parties que séparent plusieurs années, où le regard perçant de Jia Zhang-ke ausculte, dans un somptueux mélo, la Chine en voie de mondialisation.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ce décalage entre la Chine inébranlable et tous les possibles, désormais tendus par un matérialisme forcené, contamine tout le film. Mais le plaisir de se laisser emporter dans un drame profondément humain nous tient ici, et nous invite à traverser le temps en pleine conscience.
TF1 News
par Romain Le Vern
Grand mélodrame, d'une ampleur sidérante, qui bouleverse le regard et le cœur. Son absence au palmarès du dernier Festival de Cannes Cannes demeure une énigme.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Au regard de son précédent film, le virulent "A Touch of Sin", "Au-delà des montagnes" est aussi un retour à un ton plus calme, et aussi un appauvrissement, qui en fait un film mineur.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Jia Zhang-ke filme l’universalité du sentiment amoureux avec cette magnifique idée que les renoncements et sacrifices des héros sont également les re¬flets contemporains de ceux que traverse une nation en pleine confusion idéologique.
Paris Match
par Yannick Vely
Dommage que l'émotion se dilue au fil du temps et des personnages évoqués, que l'on a l'impression, aussi, que le passage par la langue anglaise de la troisième partie affaiblit les dialogues. Reste qu'il s'agit sans doute de son film le plus accessible (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
Le dernier plan, magnifique et élégiaque, (…) sans doute l’un des plus beaux vus cette année, n’y changera pourtant rien : Au-delà des montagnes est film bizarrement absent, boiteux, oscillant du sublime au confondant, empêtré dans sa volonté criante de faire œuvre en nous assénant sa dialectique terre-à-terre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Ces montagnes qui traversent les temps et l'espace est le projet le plus ambitieux de Jia Zhang-ke. Mais pèche par manque de profondeur.
Transfuge
par François Bégaudeau
Comme il est délivré d'emblée, avant que la maladie se déclare, c'est tout le film qui est joué d'avance, tout le processus en cours jugé d'avance.
La Croix
Avec ce film retenu en compétition lors du dernier Festival de Cannes, Jia Zhang-Ke, cinéaste de la mémoire et de l’oubli, livre une œuvre majeure.
Les Inrockuptibles
De l'histoire, des sentiments forts, le temps qui passe et les personnages qui vieillissent,une intelligence des paysages et des mouvements des coeurs : Jia Zhangke nous a encore surpris, entraînés, et pris dans les mailles de sa toile d'araignée de maître du cinéma.
Libération
Que Jia Zhangke soit l’un des quelques immenses cinéastes vivants au monde est une chose quasi évidente. Mais le plus surprenant face à son cinéma, c’est qu’il ne nous exclut jamais. On est happés dans son monde de fiction comme on l’est dans le comté de Yoknapatawpha de Faulkner, le faubourg Saint-Germain de Proust ou le Japon médiéval de Mizoguchi.
Première
La transposition de l’intrigue dans un futur déshumanisé, vision foudroyante de mélancolie du cinéaste démiurge, achève d’emmener cet Au-delà des montagnes vers des cimes d’émotion.
Télérama
Jia Zhang-ke met en scène une glaciation progressive des rapports humains, une "éclipse" des sentiments, sur fond de matérialisme, de technologie et de migrations sans fin. Mais sa fougue romanesque, son énergie pop et ses talents d'artificier conjurent la froideur du constat : cette fresque somptueuse nous donne moins le bourdon que le frisson.
VSD
De 1999 à 2025, une fresque sentimentale couronnée par un épilogue sublime.
aVoir-aLire.com
La grande force de "Mountains may depart" est de traiter ce thème de l’effritement des liens sociaux avec l’écrin d’un beau mélodrame, audacieux dans sa construction.
Critikat.com
Autour de trois genres qu’il a mis en scène par le passé, le film d’espionnage, la tragédie familiale, la chronique amoureuse, il offrait un condensé réflexif de son œuvre.
Le Dauphiné Libéré
Un film en deux parties que séparent plusieurs années, où le regard perçant de Jia Zhang-ke ausculte, dans un somptueux mélo, la Chine en voie de mondialisation.
Le Journal du Dimanche
Ce décalage entre la Chine inébranlable et tous les possibles, désormais tendus par un matérialisme forcené, contamine tout le film. Mais le plaisir de se laisser emporter dans un drame profondément humain nous tient ici, et nous invite à traverser le temps en pleine conscience.
TF1 News
Grand mélodrame, d'une ampleur sidérante, qui bouleverse le regard et le cœur. Son absence au palmarès du dernier Festival de Cannes Cannes demeure une énigme.
Cahiers du Cinéma
Au regard de son précédent film, le virulent "A Touch of Sin", "Au-delà des montagnes" est aussi un retour à un ton plus calme, et aussi un appauvrissement, qui en fait un film mineur.
La Septième Obsession
Jia Zhang-ke filme l’universalité du sentiment amoureux avec cette magnifique idée que les renoncements et sacrifices des héros sont également les re¬flets contemporains de ceux que traverse une nation en pleine confusion idéologique.
Paris Match
Dommage que l'émotion se dilue au fil du temps et des personnages évoqués, que l'on a l'impression, aussi, que le passage par la langue anglaise de la troisième partie affaiblit les dialogues. Reste qu'il s'agit sans doute de son film le plus accessible (...).
Culturopoing.com
Le dernier plan, magnifique et élégiaque, (…) sans doute l’un des plus beaux vus cette année, n’y changera pourtant rien : Au-delà des montagnes est film bizarrement absent, boiteux, oscillant du sublime au confondant, empêtré dans sa volonté criante de faire œuvre en nous assénant sa dialectique terre-à-terre.
Studio Ciné Live
Ces montagnes qui traversent les temps et l'espace est le projet le plus ambitieux de Jia Zhang-ke. Mais pèche par manque de profondeur.
Transfuge
Comme il est délivré d'emblée, avant que la maladie se déclare, c'est tout le film qui est joué d'avance, tout le processus en cours jugé d'avance.