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Au milieu de ce manège trône Marie, la toujours merveilleuse Vimala Pons, qui n’a pas besoin de forcer sa nature pour provoquer la fascination et semble ici encore plus hébétée que ses suiveurs. A chaque instant son visage est une invitation au voyage imaginaire et baudelairien (dont l’amante s’appelait justement Marie Daubrum), à la gloire « des soleils mouillés et des ciels brouillés ». Marie à tout prix.
Une touche de burlesque par-ci ; une pointe de mélancolie par-là, voire de fantastique : le récit de "Marie et les naufragés" est aussi flâneur que ses personnages.
Le couple formé par Pierre Rochefort et Wimala Pons n'est, à coup sûr, pas étranger à la beauté de cette histoire d'amour peu banale qui vient revisiter la comédie romantique de la manière la plus irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dommage qu’il se perde dans une histoire de clip cosmique fastidieuse autour d’une vision rêvée par le personnage d’André Wilms (très drôle au demeurant). Le reste du temps, c’est ludique, charmant et hilarant.
En matière d’aventure, il manque ici la véritable altérité, l’inconnu, la prise de risque, une vraie exploration. On reste trop dans l’entre-soi (entre artistes bohèmes de préférence), sans même regarder le paysage.
Les éléments à partir desquels le cinéaste entend réenchanter les codes de la romance apparaissent ici disposés trop en évidence pour séduire entièrement (...). Le charme engourdi de l’ensemble prend d’autant moins quand il s’agit d’insuffler du romantisme à un personnage de «stalker» (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Gala
Pierre Rochefort nous embarque pour une épopée romantico-romanesque, un ovni délicieux qu'on se prend de plein fouet.
Le Parisien
Vimala Pons est étincelante dans cette comédie romantique.
Les Inrockuptibles
Au milieu de ce manège trône Marie, la toujours merveilleuse Vimala Pons, qui n’a pas besoin de forcer sa nature pour provoquer la fascination et semble ici encore plus hébétée que ses suiveurs. A chaque instant son visage est une invitation au voyage imaginaire et baudelairien (dont l’amante s’appelait justement Marie Daubrum), à la gloire « des soleils mouillés et des ciels brouillés ». Marie à tout prix.
Ouest France
On perd parfois le fil mais c'est drôle, rafraîchissant et romanesque.
Positif
Une touche de burlesque par-ci ; une pointe de mélancolie par-là, voire de fantastique : le récit de "Marie et les naufragés" est aussi flâneur que ses personnages.
Studio Ciné Live
(...) une comédie générationnelle dans l'air du temps. Réussi, vivifiant, même si le fantasque empêche un peu trop l'émotion d'éclore.
Télérama
(...) le film gagne en folie douce dans son dernier tiers, grâce à une simili-odyssée dionysiaque en Bretagne.
aVoir-aLire.com
Le couple formé par Pierre Rochefort et Wimala Pons n'est, à coup sûr, pas étranger à la beauté de cette histoire d'amour peu banale qui vient revisiter la comédie romantique de la manière la plus irrésistible.
Le Dauphiné Libéré
Sébastien Betbeder filme ces errances sentimentales de manière vagabonde : c’est ludique, cocasse, et passablement flottant.
Première
Dommage qu’il se perde dans une histoire de clip cosmique fastidieuse autour d’une vision rêvée par le personnage d’André Wilms (très drôle au demeurant). Le reste du temps, c’est ludique, charmant et hilarant.
VSD
Une comédie qui se perd dans son originalité.
Cahiers du Cinéma
En matière d’aventure, il manque ici la véritable altérité, l’inconnu, la prise de risque, une vraie exploration. On reste trop dans l’entre-soi (entre artistes bohèmes de préférence), sans même regarder le paysage.
Critikat.com
Impasse, semblent nous dire ces naufragés rigolos, dont la seule porte de sortie consiste à s’enivrer de sa propre bizarrerie.
Libération
Les éléments à partir desquels le cinéaste entend réenchanter les codes de la romance apparaissent ici disposés trop en évidence pour séduire entièrement (...). Le charme engourdi de l’ensemble prend d’autant moins quand il s’agit d’insuffler du romantisme à un personnage de «stalker» (...).