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Votre avis sur Jessie ?
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Excellent film, claustrophobe et glaçant jusqu'au bout avec des scenes réellement malaisantes mais aussi une exploration très profonde de la psyché de son personnage principal (même si on peut la deviner facilement) et un travail d'ambiance super abouti. La fin en particulier
spoiler:
la revelation que le "moonlight man" était réellement dans la pièce et non un produit de son imagination
me donne encore des frissons. 5 etoiles pour remonter la note de ce film que je trouve mal compris
me donne encore des frissons. 5 etoiles pour remonter la note de ce film que je trouve mal compris
Frédéric M.
Très bon film à suspense servie par des acteurs de talents, surtout Carla ! Je ne connais pas le roman, mais on reconnait une ambiance Stephen King. Après ça, les adaptations réussies s'enchainent. Vivement la suite !
ConFucAmuS
Mike Flanagan n'est pas de ceux qui considèrent la peur avec dédain. Depuis son éclosion avec Ne t'endors pas, le cinéaste-scénariste démontre une admirable capacité à conceptualiser la terreur. Celle-ci ne fonctionne qu'à taille humaine, de sa force chimérique à sa portée métaphorique.
Adaptant le roman Jessie de Stephen King, le réalisateur mêle huis-clos mental et terreur domestique avec une efficacité indéniable. Parfaitement conscient de la force de cette intrigue à plusieurs niveaux, le film du même nom tire sa réussite d'une atmosphère claustro bien tenue et de l'introspection difficile du personnage principal sur lui-même.
Le cadre se resserre de plus en plus, la tension s'étire de plus en plus, à mesure que l'issue devient incertaine et que se dévoile l'enjeu principal autour de ce thriller psychologique avec la petite pincée d'horreur.
Le temps de quelques séquences, Jessie provoque un sentiment de malaise irrépressible tout en formalisant le cloisonnement de son héroïne, tout autant menottée à son lit qu'à un passé, qu'elle pensait avoir enfermé à double-tour. L'analogie est simple mais elle fonctionne. Des images mentales de ce type, le film en contient d'autres (telle cette éclipse qui hante tout le film). Flanagan a l'intelligence de ne jamais sur-expliquer son film (malgré un final pataud), laissant le spectateur en choisir l'interprétation.
C'est tout à son honneur, et ce qui fait de Jessie un thriller tout ce qu'il y a de plus convaincant. Et confirme le talent de son réalisateur pour créer une vraie dynamique narrative, à la lisière du visible et du suggéré, du verbalisé et du non-dit, du thriller et de l'horreur.
Adaptant le roman Jessie de Stephen King, le réalisateur mêle huis-clos mental et terreur domestique avec une efficacité indéniable. Parfaitement conscient de la force de cette intrigue à plusieurs niveaux, le film du même nom tire sa réussite d'une atmosphère claustro bien tenue et de l'introspection difficile du personnage principal sur lui-même.
Le cadre se resserre de plus en plus, la tension s'étire de plus en plus, à mesure que l'issue devient incertaine et que se dévoile l'enjeu principal autour de ce thriller psychologique avec la petite pincée d'horreur.
Le temps de quelques séquences, Jessie provoque un sentiment de malaise irrépressible tout en formalisant le cloisonnement de son héroïne, tout autant menottée à son lit qu'à un passé, qu'elle pensait avoir enfermé à double-tour. L'analogie est simple mais elle fonctionne. Des images mentales de ce type, le film en contient d'autres (telle cette éclipse qui hante tout le film). Flanagan a l'intelligence de ne jamais sur-expliquer son film (malgré un final pataud), laissant le spectateur en choisir l'interprétation.
C'est tout à son honneur, et ce qui fait de Jessie un thriller tout ce qu'il y a de plus convaincant. Et confirme le talent de son réalisateur pour créer une vraie dynamique narrative, à la lisière du visible et du suggéré, du verbalisé et du non-dit, du thriller et de l'horreur.
Un thriller qui propose de très bonnes choses, notamment en terme de mise en scène et d'appropriation de l'univers de Stephen King, il est même difficile de ne pas être conquis par l'accroche de la première partie car même sans trop en dire et paraissant plutôt simple la tension monte assez rapidement et les ambiguïtés soulèvent l'intérêt. Le virage fantastique se prend tout seul, tout en gardant un côté mystérieux et éloquent, le survival se transforme en subtile croisade sensorielle, où l'on ne sait jamais vraiment dissocier le réel à la folie, là nuit laisse place aux pires empreintes et les stigmates ressurgissent, le principe étant pour le personnage de Jessie de s'en détacher. Flanagan fait preuve d'application dans sa mise en scène, dépeignant la psychose dans le ton voulu avec exactitude, le surréalisme ne semble jamais grotesque, de plus l'angoisse se fait ressentir sans jamais d'effets de style, et rien que ça c'est un énorme point positif.
Par contre je n'ai pas été franchement convaincu par la dernière partie, qui rajoute une couche de symbolisme malvenue, mais là on est typiquement dans du Stephen King, je n'ai pas lu le livre mais je suis quasi certain que l'adaptation est respectueuse de ce genre de détails, difficile pour le coup d'être pertinent, on sort quelque peu de la logique mise en place tout du long.
Mais bon globalement le film m'a beaucoup plu.
Par contre je n'ai pas été franchement convaincu par la dernière partie, qui rajoute une couche de symbolisme malvenue, mais là on est typiquement dans du Stephen King, je n'ai pas lu le livre mais je suis quasi certain que l'adaptation est respectueuse de ce genre de détails, difficile pour le coup d'être pertinent, on sort quelque peu de la logique mise en place tout du long.
Mais bon globalement le film m'a beaucoup plu.
En dehors de la pilule qu’on nous force à avaler en fin de séance, c’est une nouvelle réussite pour Mike Flanagan, dont le nom commence à s’affirmer comme un gage de qualité. On n’imaginait pas qu’une séance légèrement sadomaso puisse être si douloureuse. Alors, ne tentez pas de reproduire ces cascades chez vous, gardez toujours les clés à portée de main et profitez d’un bon petit moment de cinéma sous tension. Christian Grey peut aller se rhabiller ! Critique complète sur le site Terreurvision.com
Globalement "Gerald's game" semble être une bonne adaptation d'un livre de Stephen King et j'ai vraiment apprécié la première partie qui parvient à établir une ambiance et une monté dans l'angoisse des plus réussies. Je suis quand même beaucoup plus mitigé sur la deuxième qui ne correspond pas vraiment à ce que l'on s'attend à voir. Je ne vois pas trop l'intérêt ni le sens de placer au centre de cette histoire
spoiler:
l'événement incestueux vécu par l'héroïne
, mais le livre doit être ainsi fait...
, mais le livre doit être ainsi fait...
gabdias
Un thriller psychologique typique des adaptations de Stephen King où les personnages oscillent allègrement entre séquences cauchemars, visions de l’esprit et réalité. Sans sortir du lot, cette série B se laisse regarder notamment par la prestation de Carla Gugino, impériale.
Mise en scène intéressante, bon jeu d'acteurs, tensions grandissante, plusieurs scènes marquantes.
Malgré quelques longueurs, Gerald's Game est une bonne adaptation de l'oeuvre de Stephen King.
Malgré quelques longueurs, Gerald's Game est une bonne adaptation de l'oeuvre de Stephen King.
Très original dans la mise en scène (je n'ai malheureusement lu cette nouvelle de King), un thriller aussi bien suspens que psychologique (assez gentil au final. Un huis clos propice pour recentrer en permanence le propos. Bonnes interprétations.
Un seul regret : l'intensité qui aurait pu être plus prégnante et quelques longueurs.3.5/5 !!!
Un seul regret : l'intensité qui aurait pu être plus prégnante et quelques longueurs.3.5/5 !!!
Un film efficace tiré d'un livre de Stephen King.
Cette histoire est l'histoire d'un veritable artiste.
C'est destiné à faire peur mais il y a un fond.
On est tenu, et il y a un fond.
Bravo.
Cette histoire est l'histoire d'un veritable artiste.
C'est destiné à faire peur mais il y a un fond.
On est tenu, et il y a un fond.
Bravo.
spoiler:
Malgré une fin nettement bâclée
, Jessie reste une curiosité attrayante du genre, brillamment interprété.
, Jessie reste une curiosité attrayante du genre, brillamment interprété.
Très original, bonnes prestations des acteurs, un vrai suspense, des métaphores à n'en plus finir qui ont de quoi nous faire réfléchir, des scènes inattendues. Bien!
J'avais hâte de découvrir ce huit clos de "l'horreur", et de voir comment Jessie pouvait s'en sortir. Je me suis donc lancée dans le visionnage de ce film pleine d'entrain. Finalement après 1h40, je suis beaucoup moins convaincu. J'ai même été surprise de voir que c'était tiré d'une œuvre de Stephen King (même si c'était bien perché). Les premières minutes sont intéressantes est plutôt réalistes... Mais ça se gâte par la suite. La fin est tout bonnement improbable, du moins je n'ai pas été convaincue.
spoiler:
Pourtant j'ai beaucoup aimé que cette situation conduise à une remise en question personnelle et un lien passé.
Mais c'est bien mon seul intérêt, autant la réalisation que le casting ne m'ont pas convaincu, je me suis même endormie tellement certaines séquences sont longues. Le film aura au moins eu le mérite de me faire découvrir l’œuvre de Stephen King que j'ai hâte de lire.
Mais c'est bien mon seul intérêt, autant la réalisation que le casting ne m'ont pas convaincu, je me suis même endormie tellement certaines séquences sont longues. Le film aura au moins eu le mérite de me faire découvrir l’œuvre de Stephen King que j'ai hâte de lire.
Mike Flanagan est un réalisateur horrifique de talent et il l’a prouvé à plusieurs reprises, notamment avec la série Netflix « The Haunting of Hill House ». C’est malheureusement avec « Jessie » que je le perds un peu. Adapter un roman de 400 pages de Stephen King où la protagoniste principale est menottée à un lit presque tout du long, je dois dire que c’est osé. Cela dit, le principal défaut du film ne réside pas nécessairement dans le fait qu’il tire en longueur. Les dialogues sont intelligents et démontrent bien la souffrance intérieure du personnage. La fin tente d’expliquer mais arrive un petit peu trop « comme un cheveu sur la soupe » avec le Moonlight Man. Flanagan explique qu’il a voulu rester fidèle au livre et je peux le comprendre mais le changement de ton entre l’ensemble du film et la fin reste brusque. La frontière entre le fantastique et le réaliste demeure bien fine. Quoi qu’il en soit, j’apprécie le reste de sa filmographie et je trouve qu’il a toujours autant de talent pour travailler les effets horrifiques à l’écran. « Jessie » n’en est simplement pas le meilleur exemple.
Encore une adaptation d'un livre Stephen king que j'ai lus il y a bien longtemps cela colle assez au livre si l'on est pas trop tâtillon , quand je vois qu'un film est produit par "netflix" j'ai toujours assez peur autant niveau série il sont bon autant niveau films c'est souvent une grande déception les bon film netflix ce compte sur les doigts d'une main je dirait que c'est un bon divertissement, bon téléfilm et l'on passe un bon moment ...
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