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Marlon M.
46 abonnés
495 critiques
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2,5
Publiée le 8 janvier 2020
Le film par excellence où on essaie de tenir en haleine un spectateur en lui offrant des rebondissements téléphonés. Quand tout doit mal aller, on fait tout mal puis vient le moment où tout se passe bien dans le parfait timing. Alors c'est certes une fiction mais l'exigence du cinéphile au cours des années évolue et l'action et les effets spéciaux ne sont pas les uniques solutions à la réussite d'un film.
Un film d'action à gros budget dans la veine Transformers, assez aseptisé, mais une mythologie effleurée sur les titans qui rend tout de même le film savoureux. Sans compter les combats assez hallucinants visuellement. Un film que j'aurais pensé bien pire que ce qu'il n'est, quelque-part une bonne surprise malgré des défauts.
Le premier était déjà super, mais le 2e est encore un cran au-dessus. Du scénario, des effets spéciaux excellent, et de très bons acteurs qui jouent très bien leurs rôles. On croirait qu'ils vivent l'histoire du film. En d'autres termes un film à voir
Scénario inexistant, heureusement que le jeu d'acteur est assez bon et les effets spéciaux présents sinon j'aurais passé un mauvais moment cinématographique. Le nombre d'incohérence dans le scénario pour favoriser un script peu élaboré est impressionnant, on perd toute expérience émotionnelle ou plaisir de suivre une ligne directrice au profit d'effet spéciaux et de combat de monstres qui sortent un peu de nul part pour donner un sens dramatique à la chose alors qu'au final ils ne servent pas à grand chose. Le premier opus m'avait tenu bien plus en haleine, et ce n'est pas parce qu'on rajoute quelques bons acteurs que la chose passe mieux. Surtout la fin qui sent le réchauffé pour la suite, le monstre renaît de ses cendres et hop c'est reparti pour un tour pour le 3. Je le conseille pour les fans du genre, je le déconseille pour les fans de vrai cinéma.
Le film est très mauvais et à ni queue ni tête, les acteurs sont assez moyen, en tout cas il m'ont habituer à bien mieux. Se film mérite son bide et j'espère que si suite il y a elle sois mieux travailler.
J'ai bien aimer le précédent et j'ai adoré Kong Skull island, mais la c'est nul desoler.
Après le "Godzilla" de Gareth Edwards qui avait divisé son public, Legendary Pictures continue sur sa lancée, espérant bien créer un univers cinématographique de monstres géants (kaijus pour les intimes). Voilà donc ce "Godzilla: King of the Monsters", où des terroristes écologistes décident de réveiller des kaijus pour sauver la planète. Godzilla parviendra-t-il à les repousser, et les scientifiques de Monarch, l'association qui surveille les monstres, sauveront-ils le monde ? A vrai dire on s'en moque pas mal, et visiblement les scénaristes aussi. Aucun enjeu dramatique n'est jamais construit, aucun personnage n'a la moindre once de développement, à part peut-être celui de Ken Watanabe, issu du film précédent, qui apporte un peu d'émotion. Pour les autres, les protagonistes sont purement fonctionnels : le méchant fait le méchant parce qu'il faut un méchant humain, le héros fait le héros histoire d'avoir un protagoniste à suivre, mais n'a strictement aucune utilité à l'intrigue, et les personnages secondaires font sérieux à côté (parce qu'en plus le film se prend terriblement au sérieux !). Tandis que les thématiques environnementales esquissées par le pitch ne sont pas plus travaillées, et que l'intrigue est souvent invraisemblable. Quant à la forme, les fans apprécieront de voir quelques créatures emblématiques de la Toho dans un blockbuster, avec les moyens qui vont avec, mais pour le reste c'est profondément indigeste. Un déluge de numérique et de technologie qui finit de déconnecter totalement le spectateur ce qui se passe à l'écran, l'absence d'enjeu dramatique ayant déjà fait le gros du boulot. Pour preuve, les séquences spoiler: hors champ de destructions de grandes villes n'ont absolument aucun impact , un comble ! Bref, évitez cette version, mieux vaut se replonger dans les films de la Toho, dont le "Shin Godzilla" de 2016, variation et reboot bien plus intéressant.
"Godzilla 2 - Roi des Monstres" est la suite de "Godzilla" et est réalisé par Michael Dougherty. Et après un premier volet qui essayait de prendre le genre du film de gros monstres à contre-pied, ce second opus se veut être beaucoup plus classique dans sa démarche. Pour le coup, on se retrouve bien plus devant un long-métrage qui est venu pour tout faire péter et nous montrer des images absolument dantesques. Et globalement, dans ce sens-là, le film réussit son coup, bien mieux que le précédent même. La démesure est absolument affolante au sein de ce projet, on pense rêver tant tout semble absolument fou dans ce que l'on voit. Si les effets spéciaux ont quelques faiblesses, le rendu du design des différents monstres est vraiment bluffant, ils sont tellement impressionnants. Leurs combats sont vraiment dantesques et prennent vraiment une grande place au sein du film, bien plus que dans le précédent. La mise en scène traduit totalement cela d'ailleurs, grâce à des plans mettant énormément en valeur ces monstres. Que ce soit de par de nombreuses contre-plongées ou par le fait d'opposer les humains à la grandeur de ces créatures. C'est donc un film relativement divertissant et absolument dantesque à voir ! Mais forcément, comparé à l'approche plus tranquille du précédent opus, l'histoire sera donc bien moins intéressante. Elle est même complètement débile à certains moments, on sent bien que ce n'est pas la priorité. Elle contient énormément de facilités pour pouvoir amener l'action le plus vite possible. Notamment du point de vue du personnage du Dr. Emma Russell, dont on n'arrive jamais à comprendre les intentions tant elle semble tout le temps changer de point de vue sur la situation. De toute manière, tous les personnages sont absolument anecdotiques et ne répondent qu'au bon déroulement du scénario. Par conséquent, n'allez pas voir ce film si vous voulez plus que du divertissement. De ce point de vue, le film y va à fond, mais ne vous attendez pas à plus. Pour conclure, du grand-spectacle.
Plus qu’un mauvais film, il faudra retenir de ‘Godzilla 2’ qu’il constitue à lui tout seul une solide métaphore de tous les dysfonctionnements du cinéma à grand spectacle d’aujourd’hui. Que le cinéma hollywoodien mette toute son énergie à s’approprier ce qui a cartonné ailleurs est légitime. Qu’il échoue à en tirer quelque chose de potable est tout aussi prévisible tant cette industrie globalisante a du mal à comprendre que le fait qu’un bon concept devienne plus qu’un bon concept est intrinsèquement lié à une savante et imprévisible alchimie de temps et de lieu. Inexplicablement, la première tentative Gojiresque en 2014 avait offert du bon et à du gouleyant, qui ridiculisait le bouzin de Roland Emmerich de 1998 : un film étrangement respectueux de ce que devait être Godzilla, du moins de ce que devait être un opus magnum de Godzilla puisque la franchise japonaise traîne aussi son lot de casseroles derrière elle. Partant de là, l’idée de faire de sa suite un “All-stars monster-movie” était tout sauf absurde puisque ce genre de pratiques fait partie intégrante de l’ADN de la franchise. Du coup, on a droit cette fois à trois autres monstres échappés du multivers élaboré au fil des décennies par les cadres de la Toho : King Giddorah, Rodan et Mothra, sans oublier les figurants de 200 mètres de haut qui apparaissent à l’écran sans jamais être cités.. On apprend aussi au passage qu’il y a plein de monstres géants dissimulés partout sur Terre, que le Dr machin a inventé un appareil qui permet de communiquer avec eux ou, en tout cas, de trouver la fréquence qui les calmera ou les foutra en rogne. Et puis, il y a ces éco-terroristes qui pensent que les Titans peuvent ramener l’équilibre entre l’homme et la nature, l’armée qui pense qu’un bon Titan est un Titan mort, une sorte d’Agence du S.H.I.E.L.D. pour monstres et plein de personnages qui ne pensent pas grand chose mais enfin, bon, ils sont là, alors ils ont droit à leur petit tour de piste comme les autres. Honnêtement, je ne suis pas certain d’avoir bien assimilé les tenants et les aboutissants de l’histoire...mais il faut dire que je m’en foutais un peu : bordel, on parle d’un film où un iguane radioactif de 150 mètres de haut se bastonne avec un hydre volant à trois tête, pendant que son pote, un papillon psychédélique de 100 mètres d’envergure se paye un petit dogfighting aérien avec un ptérodactyle du même volume. Au fond, c’est curieux car ce qui rend justement certains épisodes de Godzilla - et a fortiori la version de 2014 - plus intéressants que ne le laisseraient supposer leur nature de blockbuster avec un monstre qui casse tout, c’est justement l’imbrication entre le destruction-porn pour sapiens de base, et diverses considérations environnementales, politiques et scientifiques. Cette fois, outre que l’action démarre dès les premières minutes là où Gareth Edwards réussissait à ménager ses effets, l’idée était de plus ou moins recycler la même formule...sauf que ça ne prend pas du tout. ‘Kong : skull island’, autre section de cet Hyper-Monster-verse, avait le mérite de ne jamais se prendre au sérieux et d’assumer totalement son statut de crétinerie pop-corn . ‘Godzilla 2’, lui, s’avance les mâchoires serrées par la conscience de sa propre valeur, comme s’il était réellement convaincu de la puissance de sa métaphore environnementale sur l’omnipotence de la nature et le principe de destruction créative symbolisées par le monstre...alors qu’on nage en plein cliché débile. Pas mieux du côté du trip familial, incohérent et sans émotion, où des motivations des terroristes, réduits à incarner les petits santons trépanés de l’anti-capitalisme. En outre, même les séquences de saccage urbain sont filmés dans le strict respect de la règle du plan-frénétique-de-trois-secondes-maximum : elles sont donc majoritairement insipides et ça, c’est juste quand elles ne sont pas tout bonnement illisibles, ce qui réduit ‘Godzilla 2’ au rang de vulgaire succédané organique de la franchise Transformers..
On l’attendait beaucoup, ce nouveau « Godzilla », tant les bandes annonces promettaient un spectacle dantesque. Mais est-ce que ce nouvel opus du célébré monstre le transforme également en roi du blockbuster ? Alors que Godzilla a disparu depuis des années, il se voit obligé de revenir suite au réveil de créatures anciennes et toutes aussi dévastatrices que lui… Il y a quelque chose de bizarre qui nous prend une fois le film terminé. C’est une sensation qu’on n’espérait pas ressentir et que les images promotionnelles promettaient de ne pas fournir. Pourtant, une fois les lumières de la salle rallumées, on a la sensation d’un manque assez douloureux. C’est comme si quelque chose bloquait le film, l’empêchait d’accomplir totalement sa promesse et que les attentes engendrées étaient peut-être bien trop élevées. Pourtant, le film de Michael Dougherty semble être passé à côté de nombreuses choses pourtant mieux abordées dans les deux films précédents du Monsterverse, aussi opposés soient-ils. C’est ainsi que le traitement des personnages humains s’avère assez ennuyant. On comprendra la cruauté d’un décès survenu de nulle part pour mieux souligner l’urgence de l’action. On acceptera certains traitements se rapprochant notamment des films originaux. Néanmoins, la gestion familiale au cœur de l’intrigue s’avère être un échec rageant tant celle-ci n’amène rien. Là où Edwards imposait un regard humain sur ses créatures pour mieux les souligner et Vogt-Roberts dissimulait derrière certains archétypes une certaine émotion, il semble que le drame familial que cherche à instaurer ce « King of the monsters » tourne à creux, pas aidé par une écriture des personnages semblant par instants trop mécanique pour réussir à réellement toucher. Cela est assez dommage tant certains visuels sont réussis et imposent les différentes créatures amenées, symbolisant chacune à leur manière la réponse d’une nature face au comportement autodestructeur de l’être humain. De quoi apporter de nombreuses scènes divertissantes où l’on sent l’amour de Dougherty pour le Kaiju Eiga et ses représentants. Pourtant, malgré certains plans qui feront hérisser les poils des fans ainsi que des rapprochements faits avec les Godzilla japonais via quelques points narratifs, il manque une étincelle pour réellement rendre le film indispensable. « King of the monsters » est loin d’être un échec tant il devrait faire plaisir aux amateurs du genre mais il lui manque quelque chose pour réellement être le grand blockbuster qu’on nous avait promis. De quoi rappeler qu’il suffit que l’humain soit traité avec peu d’intérêt pour que cela affecte la vision d’un film, même quand celui-ci donne la part belle à ses « monstres »…
Nul!!! Effets spéciaux très bons mais le scénario est vraiment nul archi nul.... j’ai loué le film , un dimanche de novembre pluvieux, mais même là, plus de deux heures à regarder un films avec un scénario digne d’un enfant de dix ans c’est dur...
Dommage que l'on ne puisse pas mettre de note en dessous de 0,5 ! Ce film est juste une catastrophe, autant par son scénario que ses effets spéciaux. Arrêtez de nous faire des Godzillas vs tous les monstres de la planète, ça en devient vraiment ridicule. Niveau effets spéciaux j'ai eu l'impression de voir un film qui passe à 2h du matin sur W9, on a vraiment l'impression que c'est un jeu vidéo ! Le Godzilla de 1998 était bien mieux !
Le meilleur de tous les " godzilla ". On en prend vraiment plein la tête : hiqtoire excellente, effets spéciaux de folie, casting simple mais efficace et un " GODZILLA, ROI DES MONSTRES " comme on les adore. A manger sans moderation
J'ai revu ce film hier afin de me faire une opinion définitive et Dieu qu'il est mauvais. Ce film c'est le grand n'importe quoi avec du réchauffé, de la pauvreté scénaristique, des personnages indigents et indigestes, bref un gros bordel. Même les effets je ne les trouve pas terribles. J'ai même parfois l'impression de regarder un genre de dessin animé. Je n'arrive pas à comprendre comment à notre époque on peut sortir des films aussi mauvais à croire que le talent s'est évaporé. Mon problème avec ce film est que je n'y suis jamais rentré et avouez que quand vous n'arrivez pas à entrer dans un film c'est problématique. Je me demande quand est-ce que viendra ce blockbuster qui va me permettre de m'évader comme ont pu le faire des films de la trilogie du seigneur des anneaux (parce que le hobbit...). Désespoir, désespoir, désespoir....
Excellent. Un aboutissement. Totale maîtrise sur le fond et la forme. J'ai adoré et je ne vais pas bouder mon plaisir en m'arrêtant sur des détails qui auraient pu être améliorés.