Derniers Avis : Godzilla 2 - Roi des Monstres - Page 13

On passe un bon moment de cinéma popcorn avec ce second volet du reboot Gidzilla. Pas sûr qu'à la longue, les scénaristes réussissent à maintenir en haleine le téléspectateur, car à chaque épisode, il ne reste plus grand chose de notre environnement. Seul véritable intérêt dans cet opus, la dualité entre ceux qui veulent préserver le monde quitte à le détruire....et ceux qui veulent le détruire pour le préserver. Vous avez 4h !

Cette nouvelle mouture de Godzilla ne se distingue pas par son scénario, loin d'être transcendant et avec un air de déjà vu. Néanmoins j'apprécie le casting, et visuellement le film envoie du lourd. Les combats entre les créatures gigantesques valent le coup d'œil et rendent le tout divertissant. Côté défauts , malheureusement l'antagoniste principal est inintéressant et de façon générale la plupart des personnages manque de profondeur. Godzilla 2 est donc un blockbuster plutôt efficace visuellement mais le reste est moyen : l'exemple typique de la forme privilégiée au fond.

Bon, ça va pas révolutionner le cinéma, revoyez plutôt les originaux japonais, au fond bien mieux réalisés...Ici, Godzilla, Mothra, Ghidorah (les trois têtes), Tetra, Roda Priscilla aussi sont de sortie et ravagent le monde….Malheureusement, tout est pauvre, le scénario, les images monochromes, les effets spéciaux (bravo les ordis), les dialogues, la musique (quel boucan), même les monstres dont la démesure devient désuète scénaristiquement…..bref si vous avez le cerf volant, ça peut vous reposer, parce que c'est connu, il ne faut jamais réfléchir….Passez votre beau chemin….aller marcher ça fait plus de bien;;;; Bon personne n'est obligé, non plus….

Les images sont superbes, le jeu d'acteur est très bien, la musique est cool ... juste peu convaincu par le scenario qui ne m'a pas vraiment emporté avec lui !

Je ne comprends pas les critiques, à quoi vous attendiez vous?... Ce n'est pas la liste de schindler, c'est Godzilla!
Pour moi tout-y est.
Des effets spéciaux de cinglés, des monstres énormes, titanesques, qui s'en mettent plein la gueule, on ajoute toute la quincaillerie militaire et le tout sur un fond mythique. Personnellement j'ai adoré et je ne me suis pas ennuyé une seconde. On en prends plein la gueule! Oui certains passages sont un peu clichés... comme dans tous les films de ce genre à mon avis.

J'ai apprécier le film un instant quand il était dans le sous-marin ils ont trouvés ATLANTIS c'était superbe 😅

Le monsterVerse ou l'univers de ces monstres titanesques, qui ont peuplé la terre autrefois dont Godzilla, créature emblématique réveillée par" la bêtise" et les agissemenys irréfléchis de l'homme (les essais nucléaires au pacifique pendant la seconde guerre mondiale...). La scène post- générique du très symparhique Kong Skull Island, second de la série du MonsterVerse, laissait penser à un Godzilla2 prometteur, où il y avait matière à faire. Une idée assez intéressante à la base, mais qui se vautre hélas, dans une trame basique,convenue, qui recycle les codes et les clichés du genre, et entreprend les chemins de la facilité scénaristique, parsemés d'incohérences, qui ont font considerablement,perdre en impact et qualité à cette œuvre.Le point noir du long métrage de Michael Daugherty qui change de registre, connu pour son très bon Trick'rTreat ou encore Crampus assez bon, réside donc dans un scénario qui manque cruellement de profondeur ,assez brouillon à mon goût, qui ne surprend jamais le spectateur, qui s'attend à "quelque chose" d'exceptionnel qui n'arrivera pas malheureusement... Les personnages étaient pourtant intéressants "du moins sur papier", mais qui s'avèrent au final peu consistants et clichés,de la scientifique aux intentions confus,au groupe de pseudo écologistes criminels et leur leader énigmatique qui sort de nulle part,en passant par cette jeune adolescente et la relation ambiguë qu'elle entretien avec sa mère, une scientifique qui fait partie de "Monarch" une organisation, qui rescence et surveille les créatures de près...Une relation mère/fille dont l'utilité est plus que discutable, ainsi que le deuil de cette famille suite à une tragédie qui ne sert en rien l'histoire, sans oublier le corps de l'armée patriotique (à ce stade, ça relève du suicide que autre chose...) et leurs comportements invraisemblables.....Néanmoins le film maîtrise son rythme, effréné qui ne laisse que peu de temps mort, c'est plutôt dynamique (contrairement au Godzilla de 2014), et la tension est bien menée lors de scènes d'affrontements et de combats entre Godzilla et une panoplie de créatures au designs surprenants, de ce côté là, Godzilla 2 n'est pas avare en action, soutenue et jubilatoire, et les séquences de baston et de destruction entre Godzilla et le monstre à trois têtes sont impressionnantes et jouissives ( même si j'aurais aimé qu'il affronte les autres créatures aussi ,une petite déception...) un Godzilla plus présent et plus imposant lors de ses apparitions efficaces, et qui rehaussent une tension insoutenable....Autant dire que le spectacle est assuré et de loin, meme si ça part dans la surenchère des SFX (un visuel pas souvent maîtrisé) et dans tout les sens, lors d'un dernier acte "hilarant" on va dire ,mais bon, dans un sens, on ne peut pas le reprocher à ce film. Godzilla 2 est un blockbuster qui se complait dans sa condition, et suit aveuglément les poncifs du genre, offrant un minimum syndical,niveau histoire, et un scénario qui aurait gagné à être plus travaillé, ainsi que ses protagonistes trop cliché et fades pour que lon s'y intéresse,mais jouit néanmoins d'une action fluide et lisible,lors de nombreuses scènes de combats maîtrisées, jouissives et parfaitement chorégraphiées.... J'avoue avoir été un peu déçu par ce long métrage que j'attendais avec impatience ( ai-je eu peut-être des attentes élevées ?) Un énième Blockbuster, qui se laisse suivre,mais qui s'oublie facilement....j'espère que le prochain MonsterVerse Godzilla VS.King Kongsera à la hauteur de cet univers et relèvera le niveau...Ma note: 2,5/5

Ce sont dans les détails qu'on voit les défauts. Dès le début, la gentille Madison crame du bacon en faisant le ptit dèj. Cliché me direz-vous? Quand un scénariste commence son histoire comme ça faut pas s'attendre à grand chose.

Et le pire sera...de pire en pire: des clichés à n'en plus finir, des clichés familiaux, des clichés militaires, des clichés sur les écoterroristes, des clichés sur les gentils et les méchants, cliché du papa qui échappe à tout et n'a même pas une égratignure, cliché de l'assistant comique de service (Sam, le ptit barbu Thomas Middleditch -Silicon Valley), des clichés sur les GI-joe qui utilisent des gros hélicos, des gros avions futuristes, des gros missiles, grosse base cachée qui en jette
...et y a Gozilla, sa légende, sa tanière, sa copine (enfin, un truc comme ça) et ses amis.

Le scénario est donc un naufrage remplis d'incohérences et de facilités scénaristiques, ensuite y a l'image qui est assez difficile à discerner car très souvent dans des atmosphères ternes, grises, pluvieuses, parfois aquatiques. C'est en fait une débauche d'effets de particules en CGI et de destruction de tout ce qui possible et imaginable. C'est bien fait, mais ça devient lassant et, à force, complètement inutile.

Au moins y a la musique, forte et imposante, Bear McCreary ayant composé dans l'idée de ressentir des monstres combattants à l'image.

En ce qui concerne les acteurs, Millie Bobby Brown s'en sort plutôt bien en ado survivaliste, Kyle Chandler a utilisé son regard de surpris une bonne cinquantaine de fois, et Vera Farmiga a plutôt opté pour le regard 'désolé' sans pouvoir battre Chandler. Reste Ken Watanabe qui est le seul à avoir l'instant 'classe' à chaque fois qu'il ouvre la bouche.

Voilà...Gozilla 2 c'est fini, 300 millions de budget (yc marketing) pour 380mio au box office mondial, les studios récoltant moins de 35%, Sony doit pas avoir envie de reproduire ce genre d'échec à nouveau et à mon avis, ils ont raison.

Un gros navet venu des usa, le scenario est incoherent les acteurs bofs et les dialogues nuls. Bref une vrai purge, l'exemple parfait du blockbuster ricain qui sert a rien.

On assiste une fois de plus a une surexploitation des ficelles habituelles. Images percutantes pour camoufler la pauvreté des situations et la reproduction de dialogues pseudos scientifiques copiés collés d'un blockbuster a l'autre . Ca en devient risible . En outre les mêmes têtes servent d'une production a l'autre. J'ai décroché assez vite devant ce produit stéréotypé .

Si vous avez aimé ce film, ne me lisez pas. Ennui, rires narquois, déception devant ce pavé de plus de 2 heures dans lequel le budget sans doute faramineux n'a pas permis de tourner la plupart des scènes d'action en plein jour: plus c'est sombre, moins les effets spéciaux ont besoin d’être parfaits. Le papa qui veut retrouver sa fifille, ça sent le réchauffé et cela n'amène RIEN au film si ce n'est une trentaine de minutes en trop. Le scénario oublie le vraisemblable: spoiler: Les soldats et le papounet, au lieu de fuir devant le monstre à 3 têtes, le contemplent et partent au dernier moment. Et qui s'en sort? Oui, le papa qui laisse derrière lui les neuneus calcinés. Et dans cet immense espace de combat où tout le monde est exterminé, papounet retrouve sa fille dans les ruines alors que tous les autres sont cramés par la bestiole tricéphale
. Donc, s'il y a un numéro 3, je passerai mon chemin!

J'ai trouvé ce film très bien. Les images sont spectaculaires, la musique magnifique et les scènes d'action vous laissent sans voix.

Les effets spéciaux sont d'une extrême laideur. C'est à se demander comment c'est possible. La fumée en CGI est immonde. Tout est insipide: L'histoire, les acteurs..etc.... La franchise est sur de mauvais rails.

Un film absurde et inutile
un scenario incohérent
les vieux poncifs avec la famille us déchirée
le fillette héroïque
un tournage si sombre qu'on ne distingue rien
autant le premier Godzilla était sympa, autant là, c'est pathétique de nullité

GODZILLA: LE ROI DES MONSTRES : Une prouesse technologique sans précédent ?

Si le film Godzilla : le roi des monstres peine à convaincre par son scénario alambiqué - que l'attitude de certains personnages semble un peu caricaturales - : il dispose d'un arsenal technologique indéniable qui génère des effets visuels (au sommet des attentes) qui écrasent tout sur son passage.

Et Si dans sa première moitié, il prend le temps de bien installer les enjeux entre les personnages et les créatures (pas trop sympathique - mis à part notre iguane préféré -), Michael Dougherty à qui on doit le sympathique film "Krampus", malgré quelque dégringolade de mis en scène moins inspirée, parvient dans les derniers moments, à insuffler dans son œuvre, un spectacle jouissif (plus maîtriser dans son ensemble).

Mais au final on en revient quand même à regretter l'excellent Gareth Edward qui prenait son œuvre très premier degré, très prenante, et avec plein de délicatesses. Sans oublier par là que son scénario avait une charme irréprochable ! (rappelant la méticulosité de Spielberg des seventies) dont le seul défaut aura été une absence un peu maigre d'enjeux dramatiques que ce nouveau opus a su rectifier dans sa mise en perspective pour rendre l'œuvre plus attachante.