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"The Yellow Birds" est un film réalisé par Alexandre Moors, adapté du roman de Kevin Powers. L'histoire se concentre sur deux jeunes soldats, Bartle et Murph, qui se battent en Irak pendant la guerre. Le film explore les thèmes de l'amitié, du trauma et des conséquences de la guerre.
Le film illustre la brutalité et l'absurdité du conflit armé, mettant en avant les horreurs vécues par les soldats.
La relation entre Bartle et Murph est centrale. Leur lien montre comment les soldats se soutiennent mutuellement dans des moments difficiles.
Bartle souffre de souvenirs traumatisants après son retour, soulignant l'impact psychologique durable de la guerre.
Les difficultés rencontrées par les soldats pour réintégrer la société après la guerre sont mises en avant.
Le style visuel du film est sombre et poignant, renforçant les émotions des personnages. En somme, "The Yellow Birds" est une réflexion intense sur le coût humain de la guerre et l'importance de l'amitié face à l'adversité.
Le film illustre la brutalité et l'absurdité du conflit armé, mettant en avant les horreurs vécues par les soldats.
La relation entre Bartle et Murph est centrale. Leur lien montre comment les soldats se soutiennent mutuellement dans des moments difficiles.
Bartle souffre de souvenirs traumatisants après son retour, soulignant l'impact psychologique durable de la guerre.
Les difficultés rencontrées par les soldats pour réintégrer la société après la guerre sont mises en avant.
Le style visuel du film est sombre et poignant, renforçant les émotions des personnages. En somme, "The Yellow Birds" est une réflexion intense sur le coût humain de la guerre et l'importance de l'amitié face à l'adversité.
Un film qui ne révolutionne pas le cinéma américain basé sur les conflits en Irak et en Afghanistan mais qui dépeint de manière crue et sombre le côté humain et psychologique de la guerre.
On évite ici les clichés habituelles des gentils contre les méchants pour rentrer dans un combat plus intime, celui du soldat contre lui même, sur place et après son retour du front.
Un film intéressant, bien qu'assez lent pour la thématique traitée, qui se passe de fusillades à outrance.
On évite ici les clichés habituelles des gentils contre les méchants pour rentrer dans un combat plus intime, celui du soldat contre lui même, sur place et après son retour du front.
Un film intéressant, bien qu'assez lent pour la thématique traitée, qui se passe de fusillades à outrance.
Drame de guerre américain pas mauvais, bien interprété et au scénario simpliste mais suffisant. On ne passe ni un bon ni un mauvais moment. Cela mériterait un scénario plus approfondi avec des personnages attachants. Mais le final est pas mal.
L’absurdité de la guerre est mise en évidence dans ce film dramatique. Le contraste est flagrant entre l’innocence lors de s’engagement et le difficile retour à la vie civile... film intéressant qui aurait gagné à plus approfondir le volet psychologique des personnages
une évocation parmi d'autres d'horreurs vécues par les soldats lors d'une guerre, notamment ici en irak. si la mise en images est léchée, le récit, avec de nombreux flashbacks, est saccadé et laborieux, sur un rythme apathique. face à une pâle J. Aniston, T. Collette est peut être la seule à apporter une once d'émotion dans un drame qui manque notamment de force pour y trouver une utilité. très décevant!
Dans les films sur les traumatismes de la guerre, il y a le film rock'n roll et le film intimiste, il y a Full Metal Jacket et les oiseaux jaunes. Comprenez que c'est pas les scènes d'actions de combat qui foisonnent mais une vie plus réaliste des journées, longues journées en région de guerre, les interrogations et remises en question, le poids de la culpabilité, le retour au pays. C'est bien joué, bien filmé, belle photo mais lent, si lent que c'est dur de tenir malgré un montage plutôt recherché pour maintenir l'éveil.
Excellent film pour une fois assez déconnecté des films de guerre. Les américains sont cette capacité à s'interroger sur les dégâts et les traumatismes avec ici une rare acuité.
FaRem
Deuxième film pour le frenchie Alexandre Moors qui comme beaucoup de réalisateurs avant lui raconte la guerre d'un point de vue personnel en mettant en avant la psychologie du personnage. "The Yellow Birds" est un drame sur la guerre et l'après-guerre avec toutes les conséquences qu'il peut y avoir avec notamment le syndrome de stress post-traumatique. L'histoire n'a rien d'original, c'est un thème traité maintes fois au cinéma, mais le réalisateur parvient néanmoins à la rendre intéressante et à véhiculer des émotions. Ce qui fait un peu défaut au film, c'est ce scénario complètement décousu et rempli d’ellipses. L'histoire est racontée dans le désordre, peut-être pour créer un peu de mystère alors que tout est prévisible, ce qui est étrange et pas toujours agréable, car cela casse souvent le rythme. Je ne parle pas de plusieurs allers-retours entre les scènes de guerre et les scènes de retour à la vie normale, c'est encore plus désordonné que ça... Heureusement Alexandre Moors peut s'appuyer sur un très bon casting pour faire fonctionner son histoire. Toni Collette et Jennifer Aniston s'en sortent bien, mais c'est surtout Alden Ehrenreich et Tye Sheridan qui crèvent l'écran. Au final, "The Yellow Birds" est un beau film de guerre avec une histoire forte, bien que mal maîtrisée, et d'excellents acteurs.
Un très belle galerie de personnages, dans un film américain qui pour une fois, n'est ni manichéen ni tout à la gloire de l'armée. Ce film étudie les dégâts qu'une guerre peut faire sur des soldats, mais c'est aussi un film sur la résilience.
Dur mais réaliste dans sa psychologie. Beau scénario et personnages très bien interprétés.
Dur mais réaliste dans sa psychologie. Beau scénario et personnages très bien interprétés.
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