Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
L'originalité de cet exercice de style revendiqué tient autant à son scénario, clairement littéraire (signé par Jauffret lui-même), qu'à son esthétique : celle d'un roman-photo perverti.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"Loup-Garou" est en effet un film plus détraqué que dentu, stylistiquement, verbalement, un film huis clos solaire (…) mais néanmoins flottant, porté par les dialogues torves de l’écrivain Régis Jauffret.
La critique complète est disponible sur le site Libération
En fin de chaîne alimentaire, le pauvre réalisateur Stéphane Lévy, dont c’est le premier long métrage, est réduit à broder de chichiteuses afféteries stylistiques pour tenter d’exister un peu.
Un huis clos dont la prétention à mettre en scène la relation sadomasochiste entre un homme vieillissant, un brin pervers, et une jeunette, pas très claire, échoue sûrement.
Un dénouement vaguement explicatif nous laisse indifférent: il y a longtemps qu'on s'est désintéressé de ces deux épaves ennuyeuses et déplaisantes (les personnages).
Les Inrockuptibles
Un pari risqué qui se révélera réussi pour ce huis clos intense et déstabilisant, aussi onirique qu'asphyxiant, entre un homme et une femme.
Télérama
L'originalité de cet exercice de style revendiqué tient autant à son scénario, clairement littéraire (signé par Jauffret lui-même), qu'à son esthétique : celle d'un roman-photo perverti.
Libération
"Loup-Garou" est en effet un film plus détraqué que dentu, stylistiquement, verbalement, un film huis clos solaire (…) mais néanmoins flottant, porté par les dialogues torves de l’écrivain Régis Jauffret.
Première
D'abord intrigant, le magnétisme de ce vénéneux mélo s'effrite hélas à force d'artifices.
Transfuge
Ce "Loup-Garou" a de solides crocs, hélas consciencieusement limés.
Critikat.com
À vouloir prendre trop de chemins, le film échoue à trouver sa voie.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
En fin de chaîne alimentaire, le pauvre réalisateur Stéphane Lévy, dont c’est le premier long métrage, est réduit à broder de chichiteuses afféteries stylistiques pour tenter d’exister un peu.
Le Monde
Ce huis clos psychologique (...) se noie dans un esthétisme affecté.
Les Fiches du Cinéma
Un huis clos dont la prétention à mettre en scène la relation sadomasochiste entre un homme vieillissant, un brin pervers, et une jeunette, pas très claire, échoue sûrement.
Positif
Un dénouement vaguement explicatif nous laisse indifférent: il y a longtemps qu'on s'est désintéressé de ces deux épaves ennuyeuses et déplaisantes (les personnages).