Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Elle
par Florence Ben Sadoun
Le pitch du dernier film d'Atom Egoyan peut surprendre et pourtant il tient le spectateur en haleine jusqu'au dernier plan.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Drame bouleversant, thriller psychologique, ce film magnifiquement réalisé, nous tient en haleine jusqu'à la fin.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On est à la fois ému, amusé et admiratif de la ténacité de Zev (Christopher Plummer impressionnant) qui, dans une Amérique où la violence est devenue banale, veut faire justice pour sa famille avant de mourir. Mais la vérité n’est pas toujours bonne à entendre. Un film que vous n’êtes pas près d’oublier.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Après des années de déceptions cinématographiques, le Canadien Atom Egoyan revient à son meilleur.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Atom Egoyan surprend avec ce thriller malin qui, s'il manque de rigueur, se révèle finalement assez troublant.
Marianne
par Anne Dastakian et Guy Konopnicki
La fable, à tous égards surprenante, appelait une écriture précise (...). L'éblouissante distribution (...) rend crédible cette improbable course d'un vieillard obéissant à l'impératif de faire justice (...).
Paris Match
par Alain Spira
Quelle prestation de Christopher Plummer, magnifique en vieillard héroïque et pathétique, et quelle joie triste de retrouver le regretté Martin Landau mêlé, une ultime fois, à une mission tellement impossible.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
(...) le travail du cinéaste, qui sait construire des ambiguïtés narratives, tisser des liens entre les personnages, déployer sa mise en scène dans la fluidité, diriger remarquablement des acteurs, est toujours présent au meilleur niveau.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Egoyan, dont la carrière s'est inexplicablement ensablée dans un académisme dévitalisé, se situe entre les deux, entre le téléfilm peu crédible et la master class magnifique d'un acteur shakespearien.
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
"Remember" invite à regarder de plus près les mécanismes sélectifs de la mémoire et à envisager avec plus de cruauté et moins de compassion les amnésies comme des zones d’ombres du refoulement.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ça frise le grotesque par moments, mais sans y tomber complètement. Disons qu’il y a quelque chose d’antinomique dans ce film d’action au ralenti, dont le héros devient soudain efficace lorsque c’est nécessaire au récit. Curieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un scénario qui repousse habilement la résolution de l’intrigue, un film qui ne parvient que trop tardivement à trouver quelque intensité.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Un film servi magistralement par Christopher Plummer.
TF1 News
par Romain Le Vern
Toujours situé à la frontière du "ça passe ou ça casse", "Remember" instille un climat dérangeant et invite à se méfier des apparences, jusqu'à son exorbitant coup de théâtre final.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
VSD
par Bernard Achour
La mémoire de l’Holocauste au centre d’un récit poignant et sophistiqué.
Le Monde
par Noémie Luciani
Le road-movie vengeur d'Atom Eyogan est aussi imprévisible que son crépuscule protagoniste, et plus trouble moralement.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Egoyan, cinéaste souvent sophistiqué, a du mal à se débarrasser du simplisme psychologique des personnages. Heureusement, Christopher Plummer vaut toujours d’être regardé.
Libération
par Clément Ghys
Chacune de ces rencontres tend à créer un suspense vers un dénouement expiatoire. Mais quand celui-ci arrive, il est d’une incohérence absolue. Comme si Egoyan s’était promis de cuisiner quelque chose de super, mais qu’il n’avait pas pensé aux ingrédients à utiliser.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard Delorme
Tous les artifices y passent (...), jusqu’à une révélation finale d’un goût que Claude Lanzmann trouverait certainement douteux.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Eric Libiot
Egoyan est incapable de faire, en creux, le portrait de l'Amérique par le biais de ceux que Zev croise sur son chemin.
L'Obs
par La Rédaction
Tandis que Zev Guttman, qui pendant soixante-dix ans s’est appliqué à oublier les horreurs vécues en Allemagne, traverse une partie de l’Amérique du Nord et perd peu à peu les derniers repères qui lui restent, le cinéaste ne parvient pas à retrouver les siens.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Guillemette Odicino
Le suspense est fâcheux et la mise en scène, empesée. Quant au rebondissement final, il est carrément déplaisant : concernant la Shoah, on n'utilise pas la mémoire comme un simple ingrédient de thriller.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
Le pitch du dernier film d'Atom Egoyan peut surprendre et pourtant il tient le spectateur en haleine jusqu'au dernier plan.
Femme Actuelle
Drame bouleversant, thriller psychologique, ce film magnifiquement réalisé, nous tient en haleine jusqu'à la fin.
Le Journal du Dimanche
On est à la fois ému, amusé et admiratif de la ténacité de Zev (Christopher Plummer impressionnant) qui, dans une Amérique où la violence est devenue banale, veut faire justice pour sa famille avant de mourir. Mais la vérité n’est pas toujours bonne à entendre. Un film que vous n’êtes pas près d’oublier.
Studio Ciné Live
Après des années de déceptions cinématographiques, le Canadien Atom Egoyan revient à son meilleur.
Les Fiches du Cinéma
Atom Egoyan surprend avec ce thriller malin qui, s'il manque de rigueur, se révèle finalement assez troublant.
Marianne
La fable, à tous égards surprenante, appelait une écriture précise (...). L'éblouissante distribution (...) rend crédible cette improbable course d'un vieillard obéissant à l'impératif de faire justice (...).
Paris Match
Quelle prestation de Christopher Plummer, magnifique en vieillard héroïque et pathétique, et quelle joie triste de retrouver le regretté Martin Landau mêlé, une ultime fois, à une mission tellement impossible.
Positif
(...) le travail du cinéaste, qui sait construire des ambiguïtés narratives, tisser des liens entre les personnages, déployer sa mise en scène dans la fluidité, diriger remarquablement des acteurs, est toujours présent au meilleur niveau.
Charlie Hebdo
Egoyan, dont la carrière s'est inexplicablement ensablée dans un académisme dévitalisé, se situe entre les deux, entre le téléfilm peu crédible et la master class magnifique d'un acteur shakespearien.
Culturopoing.com
"Remember" invite à regarder de plus près les mécanismes sélectifs de la mémoire et à envisager avec plus de cruauté et moins de compassion les amnésies comme des zones d’ombres du refoulement.
L'Humanité
Ça frise le grotesque par moments, mais sans y tomber complètement. Disons qu’il y a quelque chose d’antinomique dans ce film d’action au ralenti, dont le héros devient soudain efficace lorsque c’est nécessaire au récit. Curieux.
Le Dauphiné Libéré
Sur un scénario qui repousse habilement la résolution de l’intrigue, un film qui ne parvient que trop tardivement à trouver quelque intensité.
Le Figaroscope
Un film servi magistralement par Christopher Plummer.
TF1 News
Toujours situé à la frontière du "ça passe ou ça casse", "Remember" instille un climat dérangeant et invite à se méfier des apparences, jusqu'à son exorbitant coup de théâtre final.
VSD
La mémoire de l’Holocauste au centre d’un récit poignant et sophistiqué.
Le Monde
Le road-movie vengeur d'Atom Eyogan est aussi imprévisible que son crépuscule protagoniste, et plus trouble moralement.
Les Inrockuptibles
Egoyan, cinéaste souvent sophistiqué, a du mal à se débarrasser du simplisme psychologique des personnages. Heureusement, Christopher Plummer vaut toujours d’être regardé.
Libération
Chacune de ces rencontres tend à créer un suspense vers un dénouement expiatoire. Mais quand celui-ci arrive, il est d’une incohérence absolue. Comme si Egoyan s’était promis de cuisiner quelque chose de super, mais qu’il n’avait pas pensé aux ingrédients à utiliser.
Première
Tous les artifices y passent (...), jusqu’à une révélation finale d’un goût que Claude Lanzmann trouverait certainement douteux.
L'Express
Egoyan est incapable de faire, en creux, le portrait de l'Amérique par le biais de ceux que Zev croise sur son chemin.
L'Obs
Tandis que Zev Guttman, qui pendant soixante-dix ans s’est appliqué à oublier les horreurs vécues en Allemagne, traverse une partie de l’Amérique du Nord et perd peu à peu les derniers repères qui lui restent, le cinéaste ne parvient pas à retrouver les siens.
Télérama
Le suspense est fâcheux et la mise en scène, empesée. Quant au rebondissement final, il est carrément déplaisant : concernant la Shoah, on n'utilise pas la mémoire comme un simple ingrédient de thriller.