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    American Honey
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    Alasky
    Alasky

    349 abonnés 3 400 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mai 2020
    Road trip caméra à l'épaule, une véritable peinture de l'Amérique désenchantée, de ces jeunes rebelles en marge de la société, n'aspirant qu'à la liberté, à rendre leur quotidien plus intense, à jouir de la vie. Portrait à la fois cru et tendre de ces vies marginales au coeur d'une Amérique rarement filmée. Oeuvre contemplative et sensible. Réel coup de coeur pour ma part.
    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2017
    3 films présentés à Cannes et 3 Prix du jury : Andrea Arnold cumule. American Honey, première incursion outre-Atlantique de la cinéaste britannique n'a pourtant rien à voir avec Red Road, du moins a priori. En tournant loin de chez elle, celle qu'on avait étiqueté trop facilement la Ken Loach au féminin semble se métamorphoser dans un road trip qui contient pourtant un large aspect social. American Honey est un double portrait de l'Amérique, celui des habitants du Midwest et celui du microcosme de ces jeunes garçons et filles, blancs, faut-il le préciser, embarqués dans une aventure apparemment libertaire mais tout de même régie par les règles du capitalisme. Dualité vue à travers les yeux de son héroïne, fraîchement intégrée dans le groupe qui vit en autarcie et trace la route, d'un motel à l'autre. Andrea Arnold filme ses protagonistes comme une entité collective s'attardant peu sur ses membres, hormis trois d'entre eux : la chef, son second et la novice. C'est un parti pris, comme celui de peu s'intéresser à la psychologie, pour un film sensoriel, captivant, notamment dans ses boucles narratives répétitives (les mêmes qui agaceront certains) pour une durée certes excessive de 2h40 mais pas si longues cela à part peut-être dans sa dernière ligne droite. Pas d'intrigue forte dans American Honey mais deux ou trois scènes marquantes dont une passablement sordide. Evidemment, on peut y trouver la musique trop forte ou les gros plans sur les insectes fastidieux mais c'est passer à côté des grandes qualités du film. Son refus de jugement et son constat documentaire s'allient ici à une forme quasi hypnotique voire poétique dans ce vagabondage chaotique et finalement bienveillant.
    Shawn777
    Shawn777

    585 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2021
    Ce film, réalisé par Andrea Arnold et sorti en 2016, n'est franchement pas mal du tout et c'est en tout cas, en ce qui me concerne, le meilleur de sa filmographie ! Malgré sa bonne réputation et les avis généraux positifs, la réalisatrice nous a habitué à des films plutôt inégaux, notamment son avant-dernier "Les Hauts de Hurlevent" qui était très long et relativement vide. J'avais donc quelques appréhensions avant de me lancer dans celui-ci, qui dure tout de même deux heures quarante. Et on voit le temps passer, certes, car la réalisatrice garde sa mise en scène très lente et ses longueurs qui cassent parfois le rythme, mais nous passons tout de même dans l'ensemble un bon moment ! Il n'y a pas vraiment d'histoire, enfin en tout cas d'intrigue principale, si ce n'est l'évolution du personnage principal, Star, qui arpente les routes états-uniennes en compagnie de sa nouvelle bande d'amis, vendeurs de journaux (par ailleurs directement inspiré de la vie personnellement de la réalisatrice). Néanmoins, malgré cette absence de fil rouge, il est tout de même agréable de suivre les aventures de cette bande d'amis qui donne envie de tout quitter et de partir avec eux, malgré l'ambiance qui tourne quelques fois au vinaigre, voire au malsain dans certaines scènes. Et ça, je reconnais que Arnold sait parfaitement capter et retranscrire cette ambiance, qu'elle soit très bonne, mauvaise ou malsaine, on a vraiment l’impression de vivre les émotions en même temps que les personnages. C'est notamment dû à sa mise en scène qui se démarque ici je trouve de ses précédents films, même si nous retrouvons sa patte, telle que la caméra à l'épaule, les paysages et horizons à n'en plus finir, qui contrastent avec les grandes villes, les animaux, notamment les oiseaux et les fils électriques qui parcourent le ciel. Les images sont très belles, notamment en ce qui concerne la lumière, bien souvent naturelle. Néanmoins, j'aurai aimé que les personnages soient un peu plus travaillés, même si beaucoup de choses passent par des non-dits et des regards. En ce qui concerne les acteurs, nous retiendrons surtout Sasha Lane et Shia LaBeouf qui jouent très bien, de même que le reste du casting, pourtant dans leur premier film pour la plupart. "American Honey" est donc dans l'ensemble un bon film, tout simplement !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 novembre 2020
    À chacune de ses étapes, à chaque halte dans des motels avec piscine ou dans des maisons en location, le road trip entrepris par American Honey prolonge un peu plus sa cartographie de la misère américaine : des solitudes millionnaires à la pauvreté économique et culturelle de familles contraintes de vivre sans figures parentales viables – ou de compenser leur absence, à l’instar de la fuite que fait subir Star à ses deux enfants en guise de préambule –, nous voyageons entre les extrêmes au son d’une playlist endiablée que crachent les enceintes du van. Le long métrage brosse le portrait d’une communauté alternative vivant en marge du monde et pourtant au cœur du monde, arpentant ses beaux quartiers comme ses banlieues, partageant ses valeurs le temps d’un entretien commercial ; un microcosme qui rejoue en mode mineur les lois qui régissent le monde, depuis la tête toute-puissante jusqu’aux travailleurs constamment menacés d’expulsion. Aussi la camionnette et ses occupants offrent-ils un observatoire en minuscule où sont captés les déséquilibres de la société américaine, et les situations vécues un kaléidoscope de possibles que Star explore de façon libérée et sauvage. Car le film d’Andrea Arnold relève de la sauvagerie quasi primitive, les corps n’ayant de cesse de se toucher, de s’exhiber – pensons ici à Corey qui passe son temps à montrer son entrejambe – ou de se cogner lors d’un rituel des losers qui n’est pas sans rappeler Fight Club. Nous errons dans un espace-temps incertain, comme coupé de la chronologie et de sa dimension horizontale, puisqu’il opère par couches successives qui s’accumulent à la manière d’un sol stratifié : rien ne s’emboîte, rien ne fait sens, tout s’entasse, et le montage insiste sur ce point en collant les journées les unes aux autres comme prises dans un sempiternel recommencement. Le long métrage établit d’ailleurs un ensemble de rituels qui incorporent aussitôt le spectateur au groupe : les règles de Krystal apprises par cœur, le départ du motel, la répartition des binômes sur le territoire de jeu, le retour en van, l’arrivée dans un autre motel etc. American Honey louvoie entre l’adulte et l’adolescent, est pris d’un mouvement qui se casse et se heurte aux rituels mis en place ; il capte merveilleusement bien cette tension entre le confort procuré par la règle et le plaisir libertaire pris à la transgresser, cette tension qui injecte dans la relation qui unit et désunit Star et Jake une passion subite, subtile, brutale, dont l’expression naïve n’est autre qu’un trésor enfantin amassé au fil des jours : tout ce qui brille… Une œuvre immense portée par deux acteurs envoûtants : Sasha Lane et Shia LaBeouf.
    Fabien S.
    Fabien S.

    546 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mars 2017
    Shia Laboeuf incarne un jeune rebelle . La quête d'évasion et de liberté est au centre du film. Du bon cinéma indépendant.
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 février 2017
    Star a dix-sept ans. Elle étouffe dans la misère crasse des petits blancs, obligée d’élever un frère et une sœur dont leur mère se désintéresse. Sur un coup de tête et sur un coup de cœur, elle quitte tout pour suivre Jake. Avec une bande de jeunes de son âge, Star sillonne l’Amérique.

    « American Honey » est le quatrième film de la réalisatrice britannique Andrea Arnold. J’avais adoré les trois premiers et tout particulièrement « Fish Tank », le portrait d’une adolescente en pleine rébellion.

    Star est la cousine d’outre-Atlantique de Mia, l’héroïne de « Fish Tank ». Mais hélas son personnage est bien moins attachant que ne l’était celui de la jeune Anglaise. Pour trois raisons.

    La première est la fadeur de l’interprétation de Sasha Lane, une inconnue… qui aurait dû le rester. Si Shia LeBoeuf joue à merveille le rôle du voyou canaille, la soi-disant jeune fille révoltée se contente de bader Jake avec des yeux de merlan frit du début à la fin du film.

    Le deuxième est la minceur de l’intrigue. Star partage la vie d’une bande de jeunes qui arnaquent des Américains crédules en leur vendant des abonnements à des magazines. Cette joyeuse bande de paumés est cornaquée par Krystal, une mère maquerelle, à peine plus âgée qu’eux, mais qui possède une autorité naturelle que personne n’ose contester. Cette situation était riche de potentialités. Andrea Arnold refuse de les exploiter. L’intrigue n’avance pas.

    La troisième est la longueur interminable de ce road movie que rien ne justifie : deux heures quarante trois. Il aurait pu durer une heure de plus – ou une heure de moins – sans que son équilibre n’en soit altéré.

    « American Honey » est un road movie qui fait du surplace.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 juillet 2021
    Perdre 163min pour montrer la vie d'un inconnu en fuite. C'est probablement ce sens profond qui a fait le succès de ce film auprès des papes de la critique. A part le bon jeu des acteurs et encore il n'y a rien dans ce film. Avec une histoire de 5 minutes maximum sur des enfants qui vendent des magazines American Honey divague sans fin. Au moment où vous commencez à vous identifier à un personnage ou a sympathiser avec lu à le comprendre et à éprouver de la tristesse ou de la joie pour lui la réalisatrice Andrea Arnold sape notre intelligence en le plaçant dans des situations qui n'ont aucun sens ou en lui faisant faire quelque chose que personne de sensé ne ferait jamais dans la vie. Il y a quelques scènes où l'on se dit que c'est parti mais c'est pour se faire à nouveau avoir...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 février 2017
    La thématique du road-movie a toujours été une source inépuisable d’inspiration pour les réalisateurs. C’est le cas avec « American Honey » de la réalisatrice de « Fish Tank », Andrea Arnold. Frais, électrisant et harmonieux, le film nous prend par la main pour mieux nous lâcher au milieu d’une Amérique qu’on connait mal, loin des clichés. Un film qu’on peut qualifier de générationnel : abordant avec subtilité les problématiques des jeunes adultes d’aujourd’hui. Mention spéciale pour le duo d’acteurs qui est tout simplement génial.
    PsychoHead
    PsychoHead

    52 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2017
    Gros coup de cœur pour ce road movie. J'ai adoré l'esthétique et la bande son du film, les acteurs sont tous géniaux. Je suis assez fan du genre Road movie de base et la j'ai été servi, j'ai même pas vu les presque 3h passer tellement j'étais à fond dedans.
    Dommage qu'il sorte dans si peu de salle et que tout le monde n'ai pas la chance de le voir.
    Une merveille.
    cinono1
    cinono1

    301 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mai 2018
    L' Anglaise Andrea Arnold a perdu une partie de sa lucidité en traversant l'Atlantique. Loin de l'acuité pour filmer la jeunesse anglaise de Fish Tank, sa vision ne l'Amérique n' est pas exempt de cliché. Elle peut toutefois compter sur une mise en scène brillante, enveloppante pour cerner ses personnages. Cette sensibilité cache parfois la misère, car à des scènes réussies se glissent d'autres scènes tout à fait ratées. Pour saisir un instant de la jeunesse, il faut souvent un scénario discret mais bien présent, bien construit, et c'est ce qui manque quand même à l'ensemble, la réalisatrice peinant à tenir un discours sur ce groupe qu'elle filme avec compassion mais sans lucidité. La bande-son sauve aussi les meubles, notamment le formidable "Dream Baby Dream" de Springsteen (reprise de groupe Suicide) qui résume un peu l'état d'esprit du film
    Hastur64
    Hastur64

    223 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2017
    Ce film est un voyage dans l’Amérique profonde (Kansas, Dakota), donc si vous voulez voir une Amérique des grands espaces et des villes du centre du pays, loin des mégapoles de la Côte Est ou Ouest, vous allez apprécier ce côté. On suit pendant plus de deux heures une bande de jeunes, un peu paumés ou en tout cas assez marginaux, qui vivent de vente de magazines en porte à porte en se déplaçant dans tout le pays. Star, séduite par Jake, décide sur un coup de tête de les suivre, malheureusement ce goût de liberté se révèle rapidement un peu amer. Un road-trip de deux heures qui est un premier film et en plus avec des acteurs en très grande majorité amateurs, tout cela laisse soupçonner le film indépendant un peu chiant. C’est en fait loin d’être le cas, le film s’avère très énergique et on suit avec plaisir les mésaventures de cette jeune fille et de la bande de doux dingues avec qui elle voyage. Alors, le film n’est pas sans temps morts, mais ils permettent une visite de l’Amérique loin des clichés hollywoodiens, en compagnie de personnages qui ne rêvent pas à un futur, ni à une petite vie tranquille. Filmé hors des circuits traditionnels des studios, le film possède une certaine authenticité qui n’est pas sans rappeler les documentaires, alors même que c’est une fiction centrée autour du personnage de Star et de son évolution personnelle au cours de cette aventure. Je pense que c’est cela qu’a récompensé le « Prix spécial du Jury » à Cannes, cette authenticité et la peinture de cette sous-culture inconnue en Europe de ces jeunes vivant de démarchage. Un beau moment de cinéma.
    Cinephille
    Cinephille

    156 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2017
    2h45 ! il fallait qu'il fasse gris et froid pour que j'envisage de supporter 2h45 d'un film sur une jeunesse américaine on the road et sous crack. Et puis....je fus embarquée dans ce bus, dans ce groupe, par le personnage de Star magnifiquement incarné au sens le plus fort du terme par Sasha Lane. Certes le film devrait faire 30 minutes de moins mais pas une heure et quart de moins. La durée dans laquelle la réalisatrice s'installe est nécessaire pour entrer dans cette vie de kilomètres avalés, de motels minables, de portes frappées. Les Etats-Unis c'est très grand et très divers et cette durée permet d'en montrer l'étendue et la diversité. Ce que j'ai également beaucoup apprécié c'est que le film aurait pu être violent d'un bout à l'autre. Or il l'est très peu, notamment pas dans les personnages rencontrés qui, pour beaucoup pourraient violer voire tuer, mais sont au contraire règlos voire bienveillants. Enfin il y a le charisme des acteurs, surtout de Sasha Lane ahurissante de présence, mais aussi des autres, de ceux qu'on voit peu mais auxquels on s'attache. Et une réalisation qui a un parti-pris qui se tient, qui est très souvent en plans serrés et rarement en plans larges sur vastes espaces industrielles ou ruraux, nous donnant juste à voir ceux-ci comme une carte postale envoyée par le groupe.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 février 2017
    Très beau film ! Les acteurs jouent avec sensibilité et émotion leur vie de nomade parsemée d'avantages et d'inconvénients. Ce film est remarquable pour ses rencontres humaines et des paysages qui nous font voyager. Je recommande ! N'hésitez pas à aller le voir.
    Comandor
    Comandor

    32 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juin 2023
    Ce film est vraiment trop sentimentale pour moi, je me suis ennuyé pendant toute la longueur du film si c'est uniquement pour voir des scènes d'amour et de la baise sans voir la moindre action et qui reste sur tout mou du genou, moi je trouve pas ça vraiment un beau film. Il n'y a que les beaux paysages qui sauve le film le reste est trop lent. J'ai juste attendu le mot fin.
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    25 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2021
    American Honey est un grand film. On pense d'abord aux grands films du genre avec Les Raisins de la colère (The Grapes of Wrath) de John Ford de 1940, puis aux Moissons du ciel (Days of Heaven) réalisé par Terrence Malick, tant la description de ces jeunes gens en grande précarité par Andrea Arnold, est rigoureuse et bouleversante. On voit aussi que malgré les années qui passent, la conditions de vie des précaires, des laissés-pour-compte, est vraiment problématique aux États-Unis. Près de 15 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté : 46,7 millions d’Américains sont dans une situation de pauvreté. On peut faire aussi un parallèle entre le film d'Andrea Arnold avec le très beau documentaire de The Other Side de Roberto Minervini. Dans les deux films, les personnages ont un état d'esprit assez libertaire. Si il existe une Amérique pudibonde, on voit que pourtant que les Rednecks de the Other Side ou les travailleurs pauvres des deux films, ont une grande liberté d'esprit. Que ce soit dans la réalité ou dans la fiction, les personnages sont autonomes, seule leur condition sociale détermine leur futur avec peu de chance d'évolution. Ce qui est frappant aussi dans le film d'Andrea Arnold, est l'abandon des personnages. Ils sont livrés à eux-mêmes, mais ils sont blindés, et leur désinvolture est une chance. Les personnages se questionnent aussi sur leur vie misérable. Star, interprétée par Sasha Lane, crève l'écran. Elle voit à la fin du film, une femme qui elle a arrêté de lutter. Cette femme droguée, abandonnée dans un taudis, seule avec 3 enfants. pourrait bien être bien Star dans 10 ou 15 ans. Une femme brisée par la vie. Pourtant au début du film il y a un autre exemple, avec une autre femme toute aussi pauvre, mais qui elle danse encore. Donc si on ne croit pas à une ascension sociale pour Star, elle pourra choisir de devenir l'une ou l'autre de ces femmes. Shia Labeouf trouve un de ses meilleurs rôles. .
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