Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Andrea Arnold ne se contente pas de regarder ses personnages vivre, elle vit avec eux, et mettant en lumière la puissance des liens fraternels, choisit l'espoir plutôt que la défaite.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Bien que puissamment ancré dans le réel, "American Honey" ressemble à un film trip, un long travelling rêvé sur les routes d'Amérique, perfusé d'images mentales et d'allégories délirantes.
VSD
par Olivier Bousquet
Trop long, avide de digressions, chaotique, American Honey déborde de tout, et c’est pour ça qu’on l’aime.
Bande à part
par Olivier Bombarda
Dans une étourdissante proximité et avec beaucoup de sensualité, la caméra d'Andrea Arnold se fond dans le quotidien de ces ados américains impétueux, livrés à eux-mêmes, déboussolés et qui survivent en abusant de la naïveté d'autrui.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Le pari d’Andrea Arnold serait de tremper cette exigence dans l’eau sucrée d’une esthétique teenage et sexy, qu’elle ne maitrise pas moins. Pari assez habilement réussi, d’autant que son récit en faux-plat parvient à contourner beaucoup d’écueils prévisibles, à commencer par celui de l’ennui (2h40, quand même).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
Andréa Arnold, grande réalisatrice anglaise qui signe son quatrième film, "American Honey", Prix du jury à Cannes, après "Red Road" et "FishTank", a incroyablement réussi à nous faire entrer dans ce van qui sillonne les routes du Midwest américain.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La bonne idée du palmarès de Cannes 2016 : décerner son Grand prix à "American Honey" d’Andrea Arnold. Un road movie qui prend son temps dans la lignée d’un Larry Clarks doublé d’un Gus Van Sant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) on regrette seulement que son auteur n’ait pas su en limiter la durée : "American Honey" ne justifie pas ses 2h42. Plus court, il n’aurait pas été moins bien. Il aurait même été meilleur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Renaud Baronian
POUR : "American Honey" fait figure d'ode à la liberté, envisagée sous l'angle d'une jeunesse affranchie de toutes règles, hardie et indépendante. On a rarement vu film aussi libre.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
La peinture amrèe de la perte des idéaux, sous la forme d’un road-trip envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Acteurs et musiques sont au rendez-vous pour décrire une Amérique joyeuse et déprimante en même temps.
Première
par Frédéric Foubert
L'Anglaise Andrea Arnold (...) affirme dans ce road-movie hypnotique son regard lyrique et sensoriel.
Transfuge
par Frédéric Mercier
La vraie beauté d'un cinéma au présent.
Télé Loisirs
par Thierry Cheze
Une oeuvre intense et fascinante.
Télérama
par Louis Guichard
POUR : Cette passion, tour à tour assouvie et empêchée, inspire des scènes splendides, et finalement très romantiques, à Andrea Arnold (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Ce road trip R'n'B rappelle qu'au delà de ses happenings chelous, Shia LaBeouf est d'abord un grand acteur.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Andrea Arnold explore l’Amérique white trash sur fond de beats trap incantatoires. Un voyage sombre et ensorcelant, que l’on traverse en état de transe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce qui impressionne, c’est la liberté du film. Liberté des personnages, du filmage et de la mise en scène, souvent improvisée. (...) À l’arrivée, une œuvre fracassée qui fouille les entrailles des États-Unis ordinaires pour en extraire un précipité primitif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
À trop vouloir filmer la liberté, la réalisatrice abandonne ses acteurs à leurs errances. Interminables.
Libération
par Luc Chessel
"American Honey" (...) a quelque chose de synthétique - une grande reprise, sous forme de chaos, autant qu’une recherche du naturel par le plus voyant artifice. S’il est bien une épopée pop (...), c’est celle de la grande circulation des apparences, de la non-originalité des formes, l’infini de la reproductibilité et de la reprise (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un faux film punk, à peine romanesque.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) l’échappée belle reste balisée de bout en bout et si chemins de traverse il y a, ils ne font jamais oublier la dimension programmatique de l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
En dépit du regard empathique de la réalisatrice sur ce groupe d’adolescents, de sa capacité à décrire sans juger une Amérique sans perspective et engluée dans son désespoir, "American Honey" vire à l’épreuve pour le spectateur qui se lève de son siège comme on sort de sa voiture après un long voyage : les jambes engourdies et le cerveau bourdonnant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Délaissant la tradition du cinéma social britannique, la réalisatrice dresse un portrait de l’Amérique white trash à grand renfort d’hyperboles photogéniques.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un road movie qui, centré sur un personnage rebelle et ses aventures sentimentalo-existentielles, fait défiler l’Amérique profonde, pas spécialement belle à voir malgré la volonté formaliste de la réalisation : et la route n’en finit pas…
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
On pourrait s’y attacher si le road movie d’Andrea Arnold ne s’éternisait pas pendant près de trois heures. Certes, les jeunes acteurs sont plus vrais que nature, les images gorgées de lumière du Midwest américain belles et la bande-son, entraînante. Mais le scénario est paresseux et la répétition de leurs "aventures " finit par désintéresser le public.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Mathieu Macheret
"American Honey" a cela d’intéressant qu’il montre comment ce libertarisme n’est, en définitive, que la façade d’un libéralisme encore plus implacable que celui du monde adulte. Mais en refusant la moindre digression, Andrea Arnold livre un film paradoxalement étriqué malgré ses grands espaces et sa longue durée.
Le Parisien
par Thierry Dague
CONTRE : On s'attache d'abord à ces gamins déracinés et à ce portrait en creux de l'Amérique profonde, avant de ne plus supporter les scènes répétitives et le rap tonitruant qui nous fracasse les oreilles.
Paris Match
par Yannick Vely
Rien ne justifie la durée de presque trois heures, si ce n'est de faire grand Sujet, grand Auteur, et le cinéma indépendant américain a déjà témoigné de l'errance de sa jeunesse (...), si bien que l'on se demande ce qu'a voulu témoigner Andrea Arnold d'original dans «American Honey».
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Le charisme rugueux (des comédiens) l'aide à montrer l'envers du rêve américain mais n'empêche pas le film de se fracasser sur une enfilade de clichés.
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
"American Honey" se transforme en une interminable playlist (près de 3 heures), les morceaux s’enfilant comme autant d’idées qui manquent à ce portrait de la vie en collectivité.
L'Express
par Christophe Carrière
En route pour une traversée de l'Amérique où les clichés se disputent aux simagrées esthétiques.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Pendant presque trois heures, Andrea Arnold déroule délinquance, bagarres, prostitution et paysages. Et fait d'"American Honey" un film paresseux et filandreux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Michel Ciment
Son talent, qui s'était révélé parfois inégal, semble aujourd'hui s'être fourvoyé.
Télérama
par Jacques Morice
CONTRE : Ce qui chagrine n'est pas tant l'esthétique déjà datée (...). Ni le fait que la cinéaste tente de poétiser une réalité plutôt sinistre — n'est pas Larry Clark ou Harmony Korine qui veut. Non, ce qui gêne, surtout, c'est la manière désinvolte de tournoyer sans cesse autour de ses personnages, de les survoler, de les éviter, en fait.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Andrea Arnold ne se contente pas de regarder ses personnages vivre, elle vit avec eux, et mettant en lumière la puissance des liens fraternels, choisit l'espoir plutôt que la défaite.
Les Inrockuptibles
Bien que puissamment ancré dans le réel, "American Honey" ressemble à un film trip, un long travelling rêvé sur les routes d'Amérique, perfusé d'images mentales et d'allégories délirantes.
VSD
Trop long, avide de digressions, chaotique, American Honey déborde de tout, et c’est pour ça qu’on l’aime.
Bande à part
Dans une étourdissante proximité et avec beaucoup de sensualité, la caméra d'Andrea Arnold se fond dans le quotidien de ces ados américains impétueux, livrés à eux-mêmes, déboussolés et qui survivent en abusant de la naïveté d'autrui.
Chronic'art.com
Le pari d’Andrea Arnold serait de tremper cette exigence dans l’eau sucrée d’une esthétique teenage et sexy, qu’elle ne maitrise pas moins. Pari assez habilement réussi, d’autant que son récit en faux-plat parvient à contourner beaucoup d’écueils prévisibles, à commencer par celui de l’ennui (2h40, quand même).
Elle
Andréa Arnold, grande réalisatrice anglaise qui signe son quatrième film, "American Honey", Prix du jury à Cannes, après "Red Road" et "FishTank", a incroyablement réussi à nous faire entrer dans ce van qui sillonne les routes du Midwest américain.
Franceinfo Culture
La bonne idée du palmarès de Cannes 2016 : décerner son Grand prix à "American Honey" d’Andrea Arnold. Un road movie qui prend son temps dans la lignée d’un Larry Clarks doublé d’un Gus Van Sant.
L'Obs
(...) on regrette seulement que son auteur n’ait pas su en limiter la durée : "American Honey" ne justifie pas ses 2h42. Plus court, il n’aurait pas été moins bien. Il aurait même été meilleur.
Le Parisien
POUR : "American Honey" fait figure d'ode à la liberté, envisagée sous l'angle d'une jeunesse affranchie de toutes règles, hardie et indépendante. On a rarement vu film aussi libre.
Les Fiches du Cinéma
La peinture amrèe de la perte des idéaux, sous la forme d’un road-trip envoûtant.
Ouest France
Acteurs et musiques sont au rendez-vous pour décrire une Amérique joyeuse et déprimante en même temps.
Première
L'Anglaise Andrea Arnold (...) affirme dans ce road-movie hypnotique son regard lyrique et sensoriel.
Transfuge
La vraie beauté d'un cinéma au présent.
Télé Loisirs
Une oeuvre intense et fascinante.
Télérama
POUR : Cette passion, tour à tour assouvie et empêchée, inspire des scènes splendides, et finalement très romantiques, à Andrea Arnold (...).
Voici
Ce road trip R'n'B rappelle qu'au delà de ses happenings chelous, Shia LaBeouf est d'abord un grand acteur.
aVoir-aLire.com
Andrea Arnold explore l’Amérique white trash sur fond de beats trap incantatoires. Un voyage sombre et ensorcelant, que l’on traverse en état de transe.
L'Humanité
Ce qui impressionne, c’est la liberté du film. Liberté des personnages, du filmage et de la mise en scène, souvent improvisée. (...) À l’arrivée, une œuvre fracassée qui fouille les entrailles des États-Unis ordinaires pour en extraire un précipité primitif.
Le Journal du Dimanche
À trop vouloir filmer la liberté, la réalisatrice abandonne ses acteurs à leurs errances. Interminables.
Libération
"American Honey" (...) a quelque chose de synthétique - une grande reprise, sous forme de chaos, autant qu’une recherche du naturel par le plus voyant artifice. S’il est bien une épopée pop (...), c’est celle de la grande circulation des apparences, de la non-originalité des formes, l’infini de la reproductibilité et de la reprise (...).
CinemaTeaser
Un faux film punk, à peine romanesque.
Critikat.com
(...) l’échappée belle reste balisée de bout en bout et si chemins de traverse il y a, ils ne font jamais oublier la dimension programmatique de l’ensemble.
La Croix
En dépit du regard empathique de la réalisatrice sur ce groupe d’adolescents, de sa capacité à décrire sans juger une Amérique sans perspective et engluée dans son désespoir, "American Honey" vire à l’épreuve pour le spectateur qui se lève de son siège comme on sort de sa voiture après un long voyage : les jambes engourdies et le cerveau bourdonnant.
La Septième Obsession
Délaissant la tradition du cinéma social britannique, la réalisatrice dresse un portrait de l’Amérique white trash à grand renfort d’hyperboles photogéniques.
Le Dauphiné Libéré
Un road movie qui, centré sur un personnage rebelle et ses aventures sentimentalo-existentielles, fait défiler l’Amérique profonde, pas spécialement belle à voir malgré la volonté formaliste de la réalisation : et la route n’en finit pas…
Le Figaroscope
On pourrait s’y attacher si le road movie d’Andrea Arnold ne s’éternisait pas pendant près de trois heures. Certes, les jeunes acteurs sont plus vrais que nature, les images gorgées de lumière du Midwest américain belles et la bande-son, entraînante. Mais le scénario est paresseux et la répétition de leurs "aventures " finit par désintéresser le public.
Le Monde
"American Honey" a cela d’intéressant qu’il montre comment ce libertarisme n’est, en définitive, que la façade d’un libéralisme encore plus implacable que celui du monde adulte. Mais en refusant la moindre digression, Andrea Arnold livre un film paradoxalement étriqué malgré ses grands espaces et sa longue durée.
Le Parisien
CONTRE : On s'attache d'abord à ces gamins déracinés et à ce portrait en creux de l'Amérique profonde, avant de ne plus supporter les scènes répétitives et le rap tonitruant qui nous fracasse les oreilles.
Paris Match
Rien ne justifie la durée de presque trois heures, si ce n'est de faire grand Sujet, grand Auteur, et le cinéma indépendant américain a déjà témoigné de l'errance de sa jeunesse (...), si bien que l'on se demande ce qu'a voulu témoigner Andrea Arnold d'original dans «American Honey».
Studio Ciné Live
Le charisme rugueux (des comédiens) l'aide à montrer l'envers du rêve américain mais n'empêche pas le film de se fracasser sur une enfilade de clichés.
Cahiers du Cinéma
"American Honey" se transforme en une interminable playlist (près de 3 heures), les morceaux s’enfilant comme autant d’idées qui manquent à ce portrait de la vie en collectivité.
L'Express
En route pour une traversée de l'Amérique où les clichés se disputent aux simagrées esthétiques.
Le Figaro
Pendant presque trois heures, Andrea Arnold déroule délinquance, bagarres, prostitution et paysages. Et fait d'"American Honey" un film paresseux et filandreux.
Positif
Son talent, qui s'était révélé parfois inégal, semble aujourd'hui s'être fourvoyé.
Télérama
CONTRE : Ce qui chagrine n'est pas tant l'esthétique déjà datée (...). Ni le fait que la cinéaste tente de poétiser une réalité plutôt sinistre — n'est pas Larry Clark ou Harmony Korine qui veut. Non, ce qui gêne, surtout, c'est la manière désinvolte de tournoyer sans cesse autour de ses personnages, de les survoler, de les éviter, en fait.